#9- CHIENNE

Suite à une discussion avec un Monsieur de FL, je me rends compte que mes chroniques détaillent d’avantage mon côté Dominante puisque c’est ce que j’explore le plus actuellement. La réalité c’est qu’à ce jour j’ai toujours été plus soumise que dominante. J’ai connu plusieurs dominants, pas très bons malheureusement, pour la plupart. Je ferai donc un retour dans le temps pour vous parler de mes expériences comme soumise. Comme ses expériences sont moins récentes, il y aura peut-être moins de détails mais je resterai toujours précise et je tenterai de combler de façon réaliste ce que ma mémoire aura oubliée. [S.V.P ne pas prendre les attitudes de Christian en exemple].

Retour dans le temps >> mi-février 2018

18h30

Lexia à Christian par [texto] : <<Hey salut !>> C: << Salut, ça va ?! >> L: <<Correct et toi ?!>> C: << Grosse semaine, mais ça va ! >> L: <<Good, as-tu quelque chose de prévu ce soir ?>> C: << Non, quelques clients, sans plus>> L: <<Je pourrais passer si ça te tente, on se fume quelques joints ont écoute de la musique…tranquille !>> C: << Tu t’attends à quoi de cette soirée ? >> L: <<Absolument rien, juste passé du bon temps : relaxer, fumer, discuter.>> C: << Tu peux être là à quelle heure ? >> L: <<Je prends une douche et je peux être là dans 2h, c’est bon ?>> C: << Ouais, dis-moi quand tu pars>>

Heyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy, 18h30, faut je prenne une douche, je me lave les cheveux, je me rase en dessous du nez jusqu’en dessous des pieds PAS L’TEMPS D’NIAISER !! Bon, tu vas me dire que je suis censée m’attendre à rien, mais je le connais depuis longtemps ce Christian. Vaut mieux être prête.

Toujours.

On s’est revu moi et Christian au jour de l’an, après s’être croiser sur un site de rencontre, on ne c’était pas vu depuis 3 ans ! Sans même s’en rendre compte ont défonçait la nouvelle année pendant qu’il me défonçait moi et que moi je me faisais défoncer ma voiture. Nous revoilà un mois et demi plus tard, certaine de pas me présenter chez lui l’entre jambe velue, même si c’est juste pour fumer et écouter de la musique.

Dans ma vie trépidante quotidienne, à 18h30 un soir d’hiver, je viens de finir de souper et je m’enligne vers un roman au chaud dans mon lit coller sur mon chien avec un verre de rouge. Qu’à cela ne tienne, ce soir je sors !

[texto]

L: <<Je part, je suis là dans 50 minutes>> C: << Ok, dis-moi quand t’es là je vais aller t’ouvrir >>

Une fois ma toilette complète, je choisi un bas de pyjama, un chandail et un par-dessus sans manche en laine. Pas de sous vêtement parce que j’en porte jamais anyway. Le look total ‘’je ne m’attends à rien / laisse-moi te séduire par ma personnalité / j’te promets d’essayer de pas te sauter dessus’’. Par contre, je maquille légèrement mes yeux et ajoute un petit gloss rosé sur mes lèvres : cute juste ce qu’il faut pour quelqu’un en pyjama pour une soirée bien relaxe. Je saute dans ma voiture. Choisi une playlist joyeuse en entraînante pour me rendre jusqu’à Montréal par ce foutu froid glacial en espérant que ça me réveille un peu. Je me questionne : pourquoi est-ce qu’il a voulu savoir à quoi je m’attendais ? C’est vrai que la dernière fois qu’on s’est vu y’a eu des ajustements à faire…Lui il est devenu beaucoup plus Master alors qu’avant il était plutôt Switch. Est-ce qu’on est encore capable de s’entendre sexuellement ou pas vraiment ? Est-ce que ça vas être weird ? Bah, anyway, ami standard ou fuckfriend c’est deux options qui me conviennent alors on verra bien ! Moi j’ai juste envie de passé une bonne soirée relax, alors on arrête de s’en faire please.

Une fois rendue à Montréal

La rue est tranquille, il tombe de gros flocons de neige, très doucement. Les branches des arbres sont couvertes d’une neige toute légère et la lumière de lampadaires donnent un look féérique à cette rue.

[texto]

L: <<Je suis là !>>

Bzzzippppppp la porte se débarre. Je monte les escaliers.

C: <<Hey salut !>> L: <<Salut !>>

Je m’avance pour lui donner deux becs sur les joues, je le vois qui tente de capter mon regard. Tandis que je m’enligne pour deux becs rapide il pose sa main dans le bas de mon dos et dépose très lentement ses deux becs sur mes joues. Le temps s’arrête quelques secondes lors du deuxième baiser : ses lèvres quittent doucement ma joue alors que son visage reste à quelques centimètres du mien, sans le toucher. Je sens sa respiration contre mon oreille, mes cheveux chatouillent mon coup et je ris d’un petit rire nerveux. Mon corps est parfaitement immobile et sa main toujours dans le bas de mon dos, il recule légèrement pour me regarder et me demande à nouveau très sérieusement :

C: <<Qu’elles sont tes attentes ?>>

Je prends un pas de recul, déstabilisée par le fait de me faire reposer la même question. Je réponds à la fois baveuse et insouciante :

L: <<Je te l’ai dit tantôt : moi je veux juste passer une agréable soirée !>>

Sur ce je lui lance mon plus beau sourire et m’apprête à me diriger vers le salon. Il plaque sa main sur mon sternum, surprise je recul de quelques pas et je me retrouve plaquer contre la porte alors qu’il remonte sa main pour saisir mon coup.

C: << Est-ce que tu trouves ça drôle ?>> qu’il me demande en me toisant dédaigneusement

Je tente tant bien que de mal de garder mon fou rire mais c’est plus fort que moi, je serre bien fort les lèvres et les dents pour ne pas éclater de rire.

L: <<Non…>>

C: <<À partir de maintenant ça vas être ‘’Non..[Maître]’’ et chaque fois que je te poserai une question tu me répondras de la même façon. Est-ce que c’est compris ? >>

L: <<Ah ben la tu invente des règles dont je n’étais même pas au…>>

Il m’interrompt, fâché :

C: << Qu’est-ce que je viens de te dire ?!?>>

Sa main se resserre autour de mon coup.

Je sens mon pouls qui s’accélère, je trouve sa demande exagérée surtout que nous n’en avons pas discuté ensemble. Insultée je détourne le regard et je lève la tête, ma mâchoire est contractée et mon corps tendu. Je réfléchis alors qu’il me regarde à quelques centimètres de mon visage et je sais que cette attente l’irrite. L’envie de lui foutre un bon coup de coude pour le faire lâcher prise est là, mais je comprends aussi que c’est sa façon de jouer.

Je tourne lentement mon visage et je plante mon regard dans le sien pour répondre sèchement :

L: <<Oui, Monsieur>>

Il me regarde, je le regarde. Nous sommes à quelques centimètres un de l’autre, le souffle de l’un est le souffle de l’autre. Il sait que j’ai délibérément choisi le mot Monsieur au lieu de remplir ça demande et de l’appeler Maître. Mon cœur bat fort dans ma cage thoracique ; un mélange d’anticipation et de colère. Je n’aime pas qu’il décide des règles sans m’en parler d’abord pour tenter de me punir ensuite.

C: << Lexia, c’est Maître, pas Monsieur>> qu’il me répond durement en poussant son corps contre le mien

L: <<Christian, c’est Monsieur ou rien du tout. C’est ce qui me vient le plus facilement, pis déjà ça je vais me faire punir parce que c’est sûr que je vais l’oublier !!>>

Je plante mes yeux dans les siens : c’est mon compromis. Il roule des yeux puis pose sa bouche sur la mienne, durement, bestialement. Il lèche le côté de mon visage et toujours plaquer sur moi me dit :

<<Tu vas avoir du travail à faire pour devenir une petite sub obéissante>>

Je m’esclaffe de rire et lui réponds :

<<Mon cher, c’est toi qui vas avoir du travail pour me faire devenir une sub obéissante !!>>

Devant son air mi- fâché mi- hébété je m’empresse de me reprendre :

L: <<Oui…>> Tandis que je laisse passer quelques secondes L: <<…Monsieur !>>

Amusée par ma propre audace je fais alors onduler de façon presque imperceptible mon bassin contre l’énorme bosse qui tends le tissu de son pantalon puis baisse les yeux le sourire aux coins des lèvres.

Il glisse sa main sur ma nuque, saisi mes cheveux et me pousse doucement vers le salon.

<<On va fumer et ensuite je vais te punir pour avoir rouspété>>

Je le regarde souriante :

L: <<Oui Monsieur !>>

Il secoue la tête, clairement découragé par mon ton de braverie. Il s’assoit sur la section en L de son divan, moi sur l’autre section, je m’occupe de la musique et lui de notre consommation.

Je remarque que la bosse dans son pantalon est toujours là, très visible étant donné la taille de son membre. Pendant qu’il exalte la fumée de son joint, il se caresse et moi je fais mon innocente à l’autre bout du divan. Je lui jette de temps à autre des regards, puis retourne à mon occupation musicale.

<<Qu’est-ce que tu fais ?>> qu’il me demande de façon plutôt sèche

Moi de répondre innocemment :

<<Je m’occupe de la musique Monsieur>>

Il sort alors complètement sa queue de son pantalon, cette énorme queue que j’adore sucer et je ne peux dériver mon regard plus longtemps. Il me regarde le regarder. Toujours assise sur le divan, j’attends sa commande.

<< Viens>>

Je franchie les quelques pieds qui nous séparent à genou pour me retrouver agenouillée devant lui alors qu’il est toujours assis sur le divan, les culottes au genou et le sexe bien bandé. Il tire une longue bouffée de son joint avant de se pencher vers moi pour rapprocher son visage du mien : il fait passer l’épaisse fumée blanche de sa bouche à la mienne avant de conclure par un long baiser.

Il me fait signe alors de m’occuper de son sexe. Son sexe trop gros pour ma petite bouche qui produit très peu de salive. Toujours agenouillée je glisse ma langue sur mes lèvres pour l’humidifier. Je saisi sa queue entre mes mains et je le lèche de bas en haut, en prenant soin de bien licher ses couilles aussi. J’étends soigneusement ma salive partout sur sa queue du bout du gland jusqu’aux testicules. Hmmm, comme sa queue est bonne, un mélange de savon et de son goût à lui.

Il m’encourage de par ses gémissements.

J’enfonce sont sexe le plus loin possible : les larmes me montent aux yeux et mon cœur se soulève, je le retire légèrement tout en le gardant dans ma bouche. J’effectue des vas et vient en laissant le plus de salive possible, j’aime sentir son gland sur mes lèvres et les veines de sa queue sur ma langue. J’augmente la rapidité du vas et vient de ma bouche et je l’entends qui gémis de plus en plus fort. Je m’appliquer à lécher chaque cm de sa queue et de ses couilles pour ensuite l’aspirer le plus profondément possible dans ma gorge.

<< Osti j’avais oublié à quel point tu suce, pis t’aime ça sucer des queues ma petite saloppe…>>

Je cesser de sucer pour répondre

<<Oui, Monsieur !>>

Je reprends sa queue toute chaude dans ma bouche, maintenant bien pleine de salive. Je descends presque jusqu’à la base et j’appuie fortement ma langue piercée contre sa verge et je remonte doucement tout en effectuant une succion avec mes lèvres.

Il agrippe mes cheveux avec plus de force

<<J’pense t’es la seule personne dans le monde à pouvoir me faire venir en me suçant après 10 minutes…criss de bonne chienne, mais tu me fera pas venir tout d’suite>>

Il tire sur mes cheveux et ma bouche se retrouve toute vide, je le regarde dans les yeux la bouche toujours ouverte alors qu’il me crache dans la bouche. Je me liche les lèvres et ouvre ma bouche toujours en le regardant, il recrache à nouveau dans ma bouche pour ensuite plaquer sa bouche contre la mienne.

<< Tu dois être punit pour ton rouspétage de tantôt. Agenouille toi sur le divan, dos à moi les mains sur le dossier>> qu’il m’explique sa bouche humide contre la mienne

Je m’exécute.

Il baisse mon pantalon de pyjama et soupire pendant qu’il caresse mes fesses librement exposées

<<J’pense que je pourrais jamais me tanner de ton cul…>>

Il caresse mon dos, mes fesses, mes cuisses, puis glisse ses doigts sur ma chatte entièrement rasée mais aussi entièrement mouillée

<<AHH, et tu mouille tellement, comme une vraie chienne n’est-ce pas ?>>

L: <<Oui Monsieur…>>

C: <<Pendant que je vais te donner la fessée, tu vas devoir être tranquille car ici c’est très mal isolé>>

Il m’administre la première claque, qui m’arrache un petit cri bien malgré moi.

C: <<Je t’ai dit d’être tranquille ! >>

Il me bâillonne avec mon chandail avant de recommencer la fessée, elle ne dure pas longtemps car je le sais très excité par la fellation de tout à l’heure et la vue de mon cul qui s’offre à lui. Je le sens maintenant qui se frotte à ma chatte toute mouillée, son énorme queue qui tente d’entrer dans ma toute petite intimité.

Je pousse un soupir lorsque je sens le bout de son gland qui me pénètre et qu’ensuite je sens chaque centimètre de son membre m’écarter et me remplir. Il me baise ensuite violement tantôt en tirant mes cheveux ou encore en agrippant ma gorge par derrière. Les coups sont si bons que j’ai beaucoup de difficulté à retenir mes cris et a restée agenouillée sur le divan. Je sens mon sexe devenir extrêmement sensible et je sais que l’orgasme est proche, chaque coup me rapproche de ce moment. J’ai les jambes molles et j’effectue un vas et viens avec mon bassin afin que chaque pénétration soit plus intense, c’est la tête contre le mur du salon que j’ai mon premier orgasme. Un orgasme qui me laisse les jambes molles et le corps frémissant.

Loin d’avoir fini, Christian me retourne et me disant :

<<Maintenant tu vas goûter au jus de ta chatte petite saloppe>> qu’il me dit en agrippant sa queue

Je prends sa queue dans ma bouche et sur le coup je suis un peu écœurée de mon goût mais je continue tout de même de sucer jusqu’à temps que sa queue soit toute propre de mon jus.

C: <<Couche-toi sur le dos sur le divan>>

Cette fois c’est lui qui s’agenouille devant moi pour poser sa bouche sur mon sexe entièrement détrempé. J’essaie encore de rester tranquille, mais c’est si difficile pour moi de ne pas faire de bruit. Je le sens qui lèche mes grandes lèvres, qu’il écarte ensuite pour titiller mon clitoris piercé.

Il me retourne sur le ventre, il tate mon cul alors que j’ai les genoux au sol mais le torse sur l’assise du divan. Je suis un peu réticente, il me dit de me détendre. Il pousse légèrement pour faire entrer son doigt : je soupire.

<<Chérie est-ce que ton cul ne serait pas tout prêt pour moi ?>> qu’il me demande en souriant

L: <<Oui Monsieur>>

Il frotte son sexe encore bien dure contre ma chatte toujours mouillée et se glisse ensuite doucement dans mon cul.

<<Chienne, c’est aussi facile te baiser par la chatte que par le cul>> qu’il me dit en riant.

Il commence donc a me pénétrer rapidement et fort, je retiens mes cris mais je gémis tout de même. Je sens mes jambes de plus en plus molles et je plante mes doigts dans le tissu du divan lors d’un deuxième orgasme.

Sans perdre de temps il me tourne pour m’avoir couché sur le dos sur le divan, les fesses dans le vide face à lui. Il touche mon sexe ultra-sensible et bien rapidement je suis de nouveau haletante, c’est à ce moment qu’il décide de me pénétrer avec ses doigts.

C: <<Ton point G est tout gonflé >>

Il sait parfaitement comment s’y prendre pour stimuler mon point G et je sais ce qu’il veut… Je le laisser me toucher, le plaisir monte toujours de plus en plus chaque fois qu’il enfonce durement ses doigts dans ma chatte. J’essaie de me détendre, et au moment de jouir j’éjacule partout, une quantité que je ne pensais pas possible.

C: <<T’aime ça jouir ma cochonne, vient partout allez…Hmmm continue…>>

L’orgasme est si fort que pendant quelques minutes je perds la carte. Je reviens à moi pleine de mon propre liquide, les mains de Christian et son plancher aussi. Haletante, les cheveux en bataille, il est debout et me regarde triomphant :

<<Ça va ?!>>

L: <<Ben ouin hein c’est sûr que ça va ! Mais laisse-moi donc quelques petites minutes pour me remettre>> que je lui réponds en riant

C: <<Prends quelques minutes, mais je n’ai pas fini de baiser ta chatte>>

Il quitte pour se nettoyer dans la salle de bain, j’en profite pour nettoyer du mieux mon dégât. Il n’a pas fermé complètement la porte et je le vois laver son énorme queue et j’imagine le goût de son sexe fraîchement lavé. Il ne m’en faut pas plus pour me rendre jusqu’à la porte et m’agenouiller les mains sur les cuisses, les paumes vers le ciel pour attendre sagement sa sortie.

Lorsqu’il me voit agenouillé il me regarde interrogateur, c’est à ce moment que j’ouvre la bouche en le regardant dans les yeux, Il comprend rapidement ce que je désire …

<<Tu ne cesses jamais de me surprendre, bonne petite chienne…>> pendant qu’il glisse son sexe entre mes lèvres offertes

Je me remets donc à sucer cette queue que j’aime tant sucer, agenouillée au centre du corridor. Je lèche ses couilles et son cul du mieux que je peux. Je le regarde, il comprend ce que je veux et il s’installe de façon à ce que je puisse manger son cul plus confortablement. Je le lèche pendant plusieurs minutes, puis ma bouche devient graduellement très sèche et je cherche quelque chose à boire des yeux. J’aperçois la bouteille de champagne que nous avions ouverte en début de soirée, je l’attrape et je fais glisser doucement une petite quantité du liquide froid et pétillant entre ses fesses pendant que Christian gémit de surprise. Je lape ensuite le breuvage en poussant doucement ma langue contre son anus que je sens parfaitement détendu. Je me sers ainsi à boire quelques fois jusqu’à temps d’enfoncé doucement ma langue dans son cul pendant que je caresse son sexe très dur.

Excité par mes caresses Christian gémit de plus en plus fort, je reconnais les brefs spasmes qui annonceront bientôt son orgasme. J’intensifie mes caresses puis il éjacule en grognant, ma bouche toujours coller sur son cul et ma main maintenant couverte de son sperme.

Pendant ce temps le soleil se lève sur Montréal…