#38- CLASSEUR & MOUSQUETONS

Les jours auprès de David-Charles se suivent mais ne se ressemblent pas ! Je suis tellement contente d’enfin pouvoir satisfaire toutes mes envies sexuelles à nouveau ! Plutôt vanille, David possède tout de même un un sexe à en faire pâlir de jalousie plus d’un en plus d’un appétit à la hauteur de mes attentes et une curiosité qui me ravis. Je crois qu’il a toujours eu un côté dominant en lui mais jamais vraiment de partenaire auprès desquelles il peut s’exprimer complètement sexuellement.

Un matin avant de me diriger vers le siège social de la compagnie pour laquelle je travail, je décide de passer lui faire une petite surprise dans son bureau au chantier 1030. En temps normal je suis toujours vêtue plutôt sport ou avec mes habits de travail (pantalon de job et tshirt) et mes souliers de sécurité. Aujourd’hui comme je dois passer au siège social j’en ai profiter pour revêtir une jupe, des collants un joli haut, des talons hauts et une paire de lunette. Je me suis légèrement maquillée, mis un peu de parfum et je me sens d’humeur joueuse. Je stationne ma voiture à côté de son camion et me dépêche d’entrer dans le bureau, une espèce de maison mobile tout prêt du chantier. Heureusement il est seul lorsque j’entre et semble un peu surpris de ma venue

D-C : « Hey Lexia ! Tu avais affaire sur le chantier ?! »

L : « Non pas du tout, mais je devais aller au siège social alors en passant je me suis dit que je pourrais te faire un petite surprise… »

D-C : « Quel genre de surprise ?! » qu’il me demande souriant

L : « Oh, hmmm..Tu verras, tu verras…» que je réponds en restant évasive

Je m’approche et enlève mon manteau que je dépose sur le dossier de la chaise sur laquelle je m’assoie en croisant les jambes. J’appuie un bras contre le dossier, ma jupe se retrousse sur mes cuisses dévoilant mon porte jarretelle noir, mes collants en fishnet noir le tout complété par une paire de botte en suède qui montent jusqu’à mi-cuisse. David cherche un document dans un classeur alors que je joue avec mes cheveux de façon désintéressé, il se retourne toujours debout et me regarde de la tête aux pieds avec un grand sourire que j’ignore savamment

L : « Est-ce que je te dérange David-Charles ? » que je demande innocemment

D-C : « Hmmm…Non non pas du tout… »

L: « Parfait, alors assied-toi… » que je lui demande en me levant

Je me déplace vers la porte que je barre puis je ferme les stores et tamise quelques lumières. Je m’installe face à lui, les fesses appuyées sur le rebord de son bureau et de dépose mon pied sur sa cuisse. Je passe le bout de mon pied dans l’appuie bras de sa chaise et tire, ce qui a pour effet de le rapprocher de moi comme la chaise est à roulette. Ma jupe se retrousse à nouveau sur mes cuisses et une fois plus proche, j’étire ma jambe et appuie ma botte doucement sur son épaule.

L: « Comme tu travail si fort je me disais que tu avais besoin de te relaxer un peu… » que je lui dis à mi-voix

D-C : « En tout cas tu sais me convaincre… » qu’il me dit en déposant sa main sur ma jambe

Sa caresse se déplace alors vers ma cuisse et ses doigts rencontrent le fishnet. Je reste silencieuse alors que je le regarde, ses mains montent plus haut sur mes cuisses, touchent le porte jarretelle, s’attarde sur ma culotte et effleure mon sexe alors que ses yeux pétillent. Bien que mon idée de pose d’aguicheuse semblait prometteuse, il n’en faut pas très longtemps pour que je devienne inconfortable et je retire ma jambe. J’en profite pour m’assoir complètement sur son bureau, les jambes bien écartées. Alors qu’il s’approche pour saisir mes cuisses, je lui donne une tape sur la main

L: « Tss tss…il faut être patient…»

Je retire doucement mon haut pour révéler un soutient gorge de dentelle et de cuir noir. J’écarte et referme doucement mes cuisses, tire sur ma jupe, caresse mes seins et mes cuisses en l’ignorant. David-Charles se lève, s’approche, écarte davantage mes cuisses qu’il passe autour de sa taille d’une main et m’agrippe le cuir chevelu de l’autre. Alors que nos regards se toisent, je m’avance pour l’embrasser mais il recule tout en me retenant par les cheveux, ma tête bloque alors qu’il me dit à quelques cm de mes lèvres :

« Tu aimes bien faire ton agace Mademoiselle White… »

Je ferme les yeux et gémis doucement, de si jolis mots dans mes oreilles ! Quand je les rouvre son regarde bleu profond est planté dans le mien et il s’avance pour plaquer sa bouche contre la mienne. Le baiser est tout de suite très intense alors que son parfum empli mes narines et que je passe mes bras autour de son coup pendant qu’il relâche légèrement sa poigne. Je caresse son dos, son torse ma bouche toujours contre la sienne alors qu’il caresse mon sexe de l’autre main. Me respiration s’accélère alors que notre étreinte devient de plus en plus excitante. Je caresse ses fesses et défait habillement sa ceinture que je dépose sur le bureau.

D-C : « Couche-toi sur le dos…j’ai envie de te goûter…»

J’obéis, puis je l’entends qui prends la ceinture sur le bureau.

D-C : « Tes bras au-dessus de ta tête…»

J’obéis, il contourne le bureau, accroche la ceinture après une des pattes du bureau et attache mes deux poignets avec l’autre extrémité. Il resserre doucement les liens et m’agrippe par les hanches pour me faire glisser sur la table, resserrant les liens davantage et passant mes bras au-dessus de ma tête. J’essaie de me défaire, pour la forme, mais son attache et solide.

D-C : « Plus tranquille comme ça non ? » qu’il me demande en écartant largement mes cuisses

Il longe doucement ses doigts contre mes cuisses, puis effleure doucement ma culotte qui est surement déjà humide. Toujours attachée je tente de lui caresser maladroitement les fesses et le bas du dos avec mon pied, n’ayant rien d’autre pour le toucher. Je me tortille un peu sur la table alors qu’il s’assoit et caresse mes jambes. Ses mains saisissent mes pieds puis retirent doucement mes talons haut Louboutin.

D-C : « Tu es tellement sexy avec ses talons haut…» qu’il mentionne en enlevant le deuxième soulier qu’il fait tomber.

Il embrasse mes mollets, mes cuisses, mord doucement l’intérieur et tire la langue sur le bord de ma culotte. Je soupire doucement et ma tête ballotte vers l’arrière alors que je suis appuyée sur mes coudes. Ses doigts tassent ma culotte et sa langue lèche doucement une de mes lèvres. Je soupire, me laisse tomber sur le dos alors qu’il lève ses beaux yeux bleus vers moi.

D-C : « Hmmm… »

Je me tortille, c’est tellement dur de ne pas le toucher ! Il étend maintenant généreusement sa salive sur mon sexe maintenant complètement à découvert. Sa langue lèche chaque centimètre de mon sexe, sa bouche mordille mes cuisses et ses lèvres pincent doucement mon clitoris. Mon corps tremble légèrement, à cause du froid mais aussi à cause sa bouche habille. Bientôt ses doigts viennent partager la danse de sa bouche et ma respiration est rauque et forte. J’halète de plus en plus vite alors que je sens de plus en plus de liquide couler entre mes cuisses, un savant mélange de sa salive et de l’excitation qu’il provoque en moi à me manger ainsi, attacher au bureau. Il m’amène plusieurs fois très proche de l’orgasme, qu’il ne me donne pas. Je deviens impatiente et je me lamente doucement.

D-C : « Qu’est-ce qui se passe Mademoiselle White, on perd patience ?? » qu’il me demande taquin

Pour toute réponse je lui fais une grimace et soupire longuement.

D-C : « Je ne veux plus t’entendre » qu’il me dit en en retirant ma culotte et en l’enfonçant dans ma bouche

Je le regarde, bouche-bée (littéralement).

D-C : « Je vais te détacher, je veux que tu sois dans la même position mais sur le ventre, comme ça je vais avoir accès à ton cul et à ta belle chatte »

Il défait mes liens aux poignets et me laisse quelques secondes pour que je puisse baisser mes bras et les bouger un peu. Il me fait signe de me tourner et de remettre mes bras légèrement vers le haut. J’obéis, le bureau est redevenu froid et lorsque je m’installe mon corps se couvre de frisson

D-C : « Hmmm…Délicieuse peau. Comme tu es bâillonnée lève la main gauche pour rouge et la main droite pour jaune » qu’il me dit en me caressant pour me réchauffer.

Il descend complètement ma jupe pour découvrir mes fesses nues. Il commence doucement par me réchauffer les fesses avec une fessée de faible intensité, couvrant toute le largueur et la hauteur de la fesse. Je sens ma peau qui s’échauffe doucement et je gémis, toujours bâillonnée. Doucement la fessée augmente en intensité, toujours entrecoupée de caresses. Ses mains passent de mes fesses jusqu’à mon sexe toujours complètement mouillé.

D-C : « Tu aimes ça te fais attacher Lexia… Ta petite chatte toute humide semble bien apprécier en tout cas… »

La fessée devient plus intense et chaque claque fait vibrer le bureau sous moi. Je suis tellement mouillée que mes cuisses sont toutes humides. J’entends un bruit de ceinture, puis un pantalon que l’on retire. Je sens sont gland qui se frotte sur mes lèvres humides et qui titille doucement mon anus. Je gémis davantage

D-C : « C’est triste que tu ne puisses pas parler, sinon je te ferais supplier pour que je te pénètre… »

Je râle, le bruit étouffé par ma culotte alors qu’il continu de frotter son membre contre mon sexe. Je pousse mes fesses pour qu’il me pénètre mais lorsque le bout de son gland se glisse en moi, il se retire aussitôt.

D-C : « Non non mademoiselle… »

Il passe devant moi, son sexe magnifique à hauteur de mes yeux et retire ma culotte de ma bouche. Son sexe n’est qu’à quelques centimètre de ma bouche, légèrement reluisant de mon jus. Je regarde son sexe, puis plonges mon regard dans les beaux yeux bleus de David-Charles et tente de me rapprocher pour le prendre dans ma bouche.

D-C : « Hmmm, petite cochonne…Tu veux ma queue ? »

L : « Oui Monsieur… » que je réponds la voix rauque en me tortillant pour gagner quelques centimètres

D-C : « Tu sembles avoir très faim mon trésor… » dit-il en frottant son sexe sur mes joues, puis contre mes lèvres entrouvertes

Je tire la langue alors qu’il passe le bout de son gland contre ma bouche, je l’entends soupirer

D-C : « Hmmm oui, tu vas la prendre dans ta bouche pour bien la mouiller que je te baise ensuite… »

À peine sa phrase finit il insère doucement son sexe dans ma bouche. D’où il est placé je peux prendre le temps de bien lécher son gland, puis toute la longueur de sa verge jusqu’à ses testicules. Je m’applique doucement à le prendre dans ma bouche, appuyer ma langue contre son sexe bien bandé, faire une succion avec mes lèvres même si le tout est un peu plus compliquer comme je suis sur le ventre les mains attachées. Après plusieurs minutes je sors sa queue de ma bouche et n’ayant pas avaler ma salive, un long coulis de salive suit son sexe entièrement mouillé. Je suis à quelques pouces de lui, le long filet de salive reliant toujours ma bouche à son sexe. Je le regarde dans les yeux et sa main vient rejoindre mon coup qu’il sert légèrement

D-C : « Hmmm, tu suce tellement bien. Bonne petite chienne. » dit-il en passant un de ses doigts dans la salive coulant sur mon menton

Il tourne autour de moi, touche mes cheveux, mes épaules, mon dos puis écarte mes fesses et pénètre mon sexe de deux doigts. Il me doigte ainsi pendant quelques minutes pour être bien certain que je sois excitée au maximum. Il détache mes liens et m’ordonne de rester coucher sur la table. Je sens son sexe qui pousse sur mes lèvres pour se frayer un chemin dans mon intimité et je soulève ma jambe pour mieux l’accueillir. Nous soupirons tous les deux lorsque ses couilles se heurtent à mon clitoris. David m’envoie une claque sur les fesses puis sa main remonte pour saisir mes cheveux. Ses pénétrations sont dures, rapide et intenses, comme j’aime. Je m’agrippe à la table et mes gémissements se transforment en cris.

D-C : « Caresse-toi Lexia, ta bouche sur ma queue tantôt c’était trop bon et je ne pourrai pas te baiser comme ça longtemps… » qu’il me dit entre deux gémissements

Mes doigts se faufilent jusqu’à mon clitoris et je commence à me caresser. Je remarque que ma chatte est toute étirée par son sexe et je frotte mes doigts sur sa verge qui me pénètre. Son sexe va et vient de plus en plus vite, mes doigts eux aussi s’activent et le plaisir monte rapidement alors que je cris de plaisir. Je sens chaque centimètre de son sexe me remplir, m’écarter, ses testicules qui cognent contre mes doigts et sa main toujours enfouie dans mes cheveux alors que de ma main restante je m’agrippe après le bureau. Je l’entends qui gémis derrière moi et je me concentre sur ses gémissements, c’est tellement bon que je me cambre et il sait que l’orgasme est proche. J’ai légèrement glissé de sur le bureau et je peine à me tenir sur un jambe alors qu’il plaque ma tête contre la table

D-C : « Je vais venir trésor, partout dans ta jolie chatte…Allez, je veux t’entendre jouir… »

Il agrippe ma gorge par derrière et c’est alors que légèrement privée d’air j’atteins un orgasme fort et intense. Je jouie pendant plusieurs secondes, tremblante alors qu’il éjacule. Chaque jet de sperme fait tressauter son sexe et le rend encore plus dure ce qui a pour effet de faire durer mon orgasme encore plus longtemps.

Nous prenons quelques secondes pour nous remettre de l’état second dans lequel cet orgasme commun vient de nous plonger. Il retire son sexe dégoulinant, écarte mes fesses

D-C : « Avoir eu plus de temps, je te jure que j’aurais eu un malin plaisir à baiser ta chatte pleine de mon sperme… »

Je gémis doucement et je le vois attraper son cellulaire

D-C : « Ne bouge pas, je veux un souvenir de ton sexe tout rose débordant de mon sperme…Allez, écarte un peu tes fesses … »

Je me cambre et j’entends le son caractéristique d’une photo.

D-C : « Hmmm parfait … »