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Noir et blanc Résumé Texture
Photo du rédacteurLexia White

#40- JOYEUX ANNIVERSAIRE


Aujourd’hui c’est le jour de mon anniversaire alors avec certains membres de ma famille et quelques ami(e)s proches nous sommes allés souper dans un restaurant de sushis, puis nous sommes sortis jouer au billard. Pour l’occasion j’avais une paire de legging noir avec des motifs floraux cuivré, une camisole noir ample, un soutient gorge mauve avec des strap sur l’avant et un collier en triangle noir et doré. Pour le maquillage je suis allée all in : mes yeux sont soulignés d’un smokey eyes noir et or, eye liner et faux cils. J’ai invité Patrice que j’ai vu à quelques reprises et rencontrer il y a peu à se joindre à l’événement afin de pouvoir profiter de sa présence en ce jour de célébration. J’étais très contente de le voir car nos plans de la veille sont tombés à l’eau et je n’ai pas pu profiter de l’après-midi en sa présence comme espéré donc lorsqu’il vient me chercher je m’assoie dans la voiture souriante, heureuse de la soirée qui s’annonce.

Nous prenons quelques secondes pour nous dire bonjour

P : « Wow, t’es magnifique ! » qu’il me dit après quelques secondes

Dans la pénombre de la voiture je rougie

L : « Merci quand je sors j’essaye de faire une effort »

P : « Je ne suis pas un fan de maquillage, surtout que parfois c’est comme perçu comme une obligation pour les femmes…Mais ça t’ajoute vraiment un petit quelque chose ! »

L : « Je me maquillais beaucoup moins avant, maintenant que je ne rush plus le matin j’aime bien prendre le temps… Je m’en viens pas mal bonne aussi alors ! »

P : « Je t’avais déjà vu maquillée mais la…je ne sais pas… est-ce que je t’avais déjà vu avec un rouge à lèvre foncé comme ça ? »

L : « Ah hmmm, non je pense que non ! C’est peut-être ça que tu remarques plus ! »

P : « En tout cas j’aime beaucoup ! »

Nous continuons d’échanger sur le chemin jusqu’au restaurant.

P : « Je dois te dire… Je me suis dépêché de m’en venir et donc, je suis commando. J’ai pas de boxer en dessous de mes jeans… »

Je m’esclaffe de rire, puis je reviens sérieuse en l’imaginant nue sous ses jeans noirs.

L : « Commando ?! Comment ça ?! »

Il m’explique sa mésaventure avec sa brassée de lavage et je tente de restée sérieuse

P : « C’est juste pour pas que tu sois surprise quand on va se coucher… parce que j’aimerais bien ne pas dormir avec mes jeans»

L : « Je suis prête à me sacrifier pour ça » que je réponds avec l’intonation de quelqu’un qui fait un effort surhumain

P : « Tu crois que ça vas aller ? Je ne voudrais surtout pas que tu sois mal, que ce soit insupportable pour toi » dit-il mi-figue mi-raisin.

L : « Je vais faire mon possible pour que ce soit tolérable » que je réponds à la blague

P : « Tsé moi je veux juste pas que tu sois surprise demain matin… »

L : « God que tu dois avoir froid il fais genre -50… mais fais-toi en pas si t’es pas à l’aise je peux te prêter une de mes culotte en dentelle, j’ai aussi une paire de boxer pis des short de basketball pour homme» que je dis en sortant de la voiture

P : « Ahahaha la culotte de dentelle mais, what, tu traine des vêtements pour homme chez toi comme ça ? » qu’il me demande en riant

L : « Oui j’ai surement l’équivalent d’une garde-robe complète juste au cas où un gars oubli de mettre ses boxer pis vienne dormir ici commando » que je réponds en suivant son jeu

Je continue « Ahahaha, j’ai des shorts d’homme parce que l’équivalent dans les shorts de femmes pour le basket ça ne se fait pas vraiment… »

Avant de rentrer dans le restaurant je m’arrête et lui demande

L : « Est-ce que je peux avoir un câlin ? »

P : « Un calîn ?! Mais bien sûr ! » qu’il me répond en ouvrant les bras en riant

Je me loge dans ses bras alors qu’il les referme doucement sur moi

P : « Oh my god en plus tu sens tellement bon »

Je prends une grande inspiration

L : « Hmmm, toi aussi tu sens bon »

Nous restons quelques secondes blotti un contre l’autre dans le froid, faiblement éclairés par l’enseigne du restaurant. Nous rentrons et déjà des ami(e)s m’attendent. Le souper se déroule très bien, je suis assise à côté de Patrice et sans trop m’en rendre compte nos cuisses se touchent, nos bras se frôlent et un peu plus tard en discutant sans trop y penser je dépose ma main sur sa cuisse. Quand je réalise, je suis un peu mal à l’aise à l’idée d’avoir fait quelque chose qui ne fallait pas et retire ma main. La conversation continue et quelques minutes plus tard c’est sa main que je sens contre ma cuisse, soulagée je la presse doucement dans la mienne. Tout le monde mange bien et discute, plus le repas avance plus nos petites attentions sont de moins en moins subtiles et je suis ravie de ce soit aussi facile et naturel.

Après le souper je dis au revoir à quelques personnes qui doivent quitter tôt, puis nous sommes six à aller au billard. Nous prenons quelques verres en discutant, je tente d’aller voir un peu tout le monde individuellement sans laisser Patrice tout seul, lui qui ne connait personne. Étant moi-même plutôt mal à l’aise dans un groupe de plusieurs personnes je lui porte une attention particulière. J’ai un peu de chance au billard et fait quelques bons coups, à ma grande surprise étant donné mes capacités très limitées à ce jeu. Patrice s’installe en arrière de moi, je sans ses cuisses contre mes fesses.

P : «Pour quelqu’un qui dit ne pas être bonne moi je trouve que tu as une belle assurance, en plus ça te fais des jambes magnifiques tes leggings et tes talons hauts…»

Je regarde mes talons hauts de style bottillon à talon carré de trois pouces de hauts…En effet le résultat est pas mal

L : « Merci…je me doutais bien que ça te plairait avec ton petit faible pour les jambes… » que je réponds avec un sourire en dépliant ma jambe dans un petit mouvement coquin

C’est son tour de jouer, je regarde ses belles petites fesses et l’imagine nu sous ses jeans. Lorsqu’il finit je suis toujours debout, il s’assoit sur un banc et j’en profite pour m’appuyer sur lui. J’ondule doucement des fesses au rythme de la musique comme si de rien n’était.

P : « Hmmm, tu sais que si tu continues je ne pourrai plus me lever… » qu’il me dit à l’oreille

Je ris et continue mon mouvement pendant quelques secondes puis c’est à mon tour d’aller jouer. Lorsque je reviens vers lui je dépose mes mains sur ses cuisses et nous discutons quelques secondes ses mains sur mes fesses. Nos regards se prolongent et les gens autour disparaissent

P : « J’ai vraiment envie de t’embrasser, est-ce que je peux… »

L : « Hmmm, oui… » que je réponds en souriant

Alors que nos visages se penchent un vers l’autre, un éclair me traverse : c’est la première fois qu’on s’embrasse si jamais ne ça se passe pas bien, devant tout le monde en plus ?!?! Sans avoir le temps de réfléchir d’avantage nos lèvres se rencontrent. Je pourrais décrire se baiser dans les détails mais tout était parfait. Juste un petit ajustement à cause de mon piercing de langue mais sans plus. Le baiser très doux au départ, pour s’apprivoiser, augmente en intensité : nos langues se frôlent et nos corps se rapprochent. Mes mains sur ses cuisses glissent de son torse jusqu’à son coup que je caresse doucement. La douceur fait place à la sensualité alors que j’agrippe sa nuque et ses mains pressent mes fesses. Après quelques secondes nous nous séparons, souriants. Il essuie légèrement ses lèvres

L : « Fais-toi en pas tu as pas de rouge à lèvre… » que je dis en riant

Il me sourit et hausse les épaules

P : « Ce n’est pas bien grave… »

Je reste une peu surprise, habituellement ça préoccupe tellement les hommes d’avoir des traces de rouge à lèvre…

L : « C’est mon meilleur rouge à lèvre je dois l’avoir en 10 couleurs…Je l’appel mon rouge à lèvre à pipe, il tient et résiste à beaucoup de choses… » que je réponds avec un clin d’œil

Patrice me fait des grands yeux et je m’esclaffe de rire avant de changer de sujet. Le reste de la soirée se déroule dans la bonne humeur et le rire. À minuit nous commençons à nous habiller pour quitter, plusieurs doivent prendre la route pour retourner à la maison, d’autres travaillent le lendemain. Je remercie tout le monde de leur présence et paye la note pour la table. Une fois à l’extérieur Patrice m’offre son bras que je prends avec plaisir et nous marchons tranquillement vers la voiture en discutant.

Une fois arrivés chez moi j’allume la chandelle que j’ai reçue pour ma fête par @Mlle_peAch, allume ma lampe de sel et m’empresse de me coller dans les bras de Patrice. Nous discutons un peu de notre semaine, je lui montre la belle couverture en fausse fourrure que je me suis achetée pour nous garder au chaud. Dans ses bras la fatigue me rattrape et je somnole doucement.

P : « Vas falloir que tu aille te démaquiller avant de t’endormir, je sais comment tu aimes ça… » qu’il me dit doucement

Je grogne et prends quelques secondes de plus le nez plongé dans son coup pour apprécier son odeur. Je me lève quelques minutes plus tard, attrape une nuisette gris pâle au tissu très mince et doux mais aux manches longues (pas particulièrement sexy mais très confortable) et me dirige vers la salle de bain. Je me démaquille et me change en vitesse puis retourne dans ma chambre. L’air sent délicieusement bon, un mélange de chandelle et de son odeur à lui. Lorsque j’entre je sens son regard sur moi

P : « Hmmm, c’est joli ce que tu portes… »

Je ris doucement en me disant que c’est vraiment une vieille affaire en plus. Je m’approche et me blottie à nouveau dans ses bras.

P : « Hmmm, j’avais tellement hâte à ce moment… »

L : « Moi aussi, moi aussi… »

Le câlin se fait plus serré, ses mains passent doucement de mon dos au-dessus de ma fesse puis à mes jambes.

P : « Wow, j’adore vraiment tes jambes, en plus ta peau est tellement douce… » qu’il m dit en retirant son chandail

C’est la deuxième fois que nous dormons ensemble, la première fois nous étions restés très sage et en toute honnêteté sur le coup ça m’avait pris au dépourvu. Je suis plutôt habituée que les hommes s’essayent sur moi et sur le moment j’étais un peu anxieuse, je me demandais si quelque chose clochait avec moi, ou peut-être était-il simplement pas intéressé ? Bref, n’étant pas habitué à ce comportement cela avait suscité un peu d’insécurité. Heureusement une conversation sur le sujet avait permis de clarifier les choses et après coup c’est vrai que le moment n’était pas le plus idéal et que rien ne presse non plus.

Ses mains passent donc doucement de mon mollet à ma cuisse, puis à mes fesses. J’embrasse doucement son coup, je sens sa respiration qui s’accélère. Lorsque nos lèvres se rejoignent, ses caresses deviennent plus insistantes, je sens ses doigts qui s’enfoncent dans la chair de mes fesses. Je sais qu’il ne pourra rien arriver ce soir, étant dans ma semaine et je tente donc de rester sage. Je caresse son torse, je sens ses mamelons dures sous mes doigts. J’hésite et j’en agrippe un entre le pouce et l’index et sert doucement attentive à sa réaction. Sa respiration s’accélère, je sers un peu plus alors qu’il grogne doucement. Je fais subir le même sort à l’autre mamelon alors qu’il me dit doucement :

« Hmmm, il va falloir que tu sers un peu plus que ça… »

L : « Ah oui ?! Hmmm » que je réponds un peu surprise avant d’augmenter significativement la pression.

Cela a pour effet de le faire gémir plus fort et il me repousse durement sur le côté, ce qui me surprends. C’est maintenant à son tour de se plaquer sur moi, ses mains griffent légèrement mon dos, puis passent sur le dessus de mon ventre. Ma respiration s’accélère et j’appuie tout mon corps contre le siens. Doucement sa main effleure ma cage thoracique et le côté de mon sein. Je m’appuie de plus en plus contre lui, j’ai tellement envie qu’il agrippe mes seins ! Sa main se fait torture, légère, tantôt sous mon sein ou encore sur le côté ou encore voletant légèrement sur le dessus de ma poitrine à la naissance de ma gorge. Ma respiration s’accélère et je deviens impatiente. Nous nous embrassons à perdre le souffle et je n’en peux plus de ses mains qui restent sagement contre mes cuisses, dans mon dos ou sur ma taille. J’agrippe sa nuque et lèche doucement son coup, je sens son entre jambe qui durcie. Je continue de l’embrasser et je poursuis mon chemin de baiser sur son bras que je lèche également ici et là. Je remonte doucement, pour planter mes dents dans son coup et son épaule. Je l’entends grogner et je n’en suis que plus excitée. Je lèche et embrasse son torse de haut en bas, plantant à nouveau mes dents où le chair me semble tendre tout en frottant mes seins contre ses cuisses ou ses bras. Lorsque je suis de nouveau à sa hauteur, il agrippe mes cheveux et me plaque au matelas alors que son autre main remonte rapidement ma nuisette pour agripper mon sein. Je ferme les yeux et gémis sans subtilité, j’anticipais tellement ce moment ! Je caresse son entre jambe dure sous son jean et remarque que sa raideur semble de taille tout à fait délicieuse. Toujours plaquée au matelas il écarte mes jambes et s’installe par-dessus moi un sein dans chaque main qu’il mordille et lèche chacun leur tour.

P : « Tes seins…Un délice… » qu’il me dit la tête plongée dans ma poitrine

Je passe mes mains dans ses cheveux et dans son coup alors que mon entre jambe se plaque à la sienne, son érection de plus en plus dure. Ses baisés passent de mes seins à mon ventre, à mes hanches, puis à mes cuisses. J’en profite pour retirer mon chandail alors qu’il se redresse à genou toujours entre mes cuisses et caresse mes jambes qu’il fait plier et déplier, bouge d’un côté comme de l’autre, attentif. Je suis un peu gênée d’être ainsi observée, mais la petite étincelle dans ses yeux me confirme ne pas avoir à m’en faire.

P : « Hmmm… j’adore ton corps, c’est dure de te résister mais je dois dormir pour être en forme demain, ça sera pas facile… »

Il se couche à côté de moi et remarque que le renflement de son pantalon est inconfortable et se tortille pour en sortir. Je ferme les yeux lui offrant un peu d’intimité, mais aussi pour me garder la surprise, puis le recouvre de ma couverte de faux poil douce et chaude. Je me colle doucement contre lui, peau à peau et nous soupirons tous les deux. Mes petites mains reprennent leur exploration, n’ayant maintenant plus aucun vêtement dans son chemin. Je m’attarde sur ses cuisses, ses hanches, son ventre…J’effleure doucement son sexe bien dur. Trop curieuse je ne peux résister plus longtemps et l’empoigne. Son sexe est massif, très large et d’une longueur parfaite. Je reste surprise, ne faisant pas le tour du tout avec ma main. Je suis tellement excitée, mon fétiche pour les sexes imposant … Je caresse ses testicules et son périnée attentive à sa réaction. Il gémit doucement lorsque je passe mes ongles sur ses couilles puis les attrape fermement entre mes doigts et ma paume. Son érection n’en devient que plus impressionnante et j’en profite pour le masturber mon corps plaqué au sien. Ses gémissements ne font qu’accroître mon excitation et bientôt je gémis moi aussi en frottant mon entre jambe sur sa cuisse toujours en le caressant. Ses gémissements m’excitent tellement que j’ai l’impression que je pourrais avoir un orgasme juste en l’écoutant jouir.

Je prends quelques secondes pour reposer mon bras alors qu’il décide de me prendre dans ses bras, ses mains agrippent mes seins et doucement descendent vers mon sexe. Je ne peux m’empêcher de gémir d’avantage, jusqu’à présent j’avais réussie à garder le contrôle mais s’il se met à me caresser je ne sais franchement pas comment je pourrai lui résister… Ses doigts poussent doucement ma culotte, écarte délicatement mes lèvres et se faufilent jusqu’à mon clitoris. Je me tourne sur le côté, appuyant mes fesses contre son entre jambe et me frottant doucement. Après quelques secondes il me demande à l’oreille

P : « Est-ce que c’est un piercing que je sens ? »

L : « Hihihi, oui… »

P : « Oh, je…Je ne suis pas très habille je pense … »

Cette humilité est délicieuse, le piercing est peu commun et peu d’hommes auraient avoués candidement être incertains que leurs caresses soient adéquates dans cette situation. Peu en fait ce serait simplement questionner à savoir si leur méthode donne du plaisir à leur partenaire…

L : « Le piercing passe légèrement au-dessus de mon clitoris mais passe complètement au travers la capuche qui le recouvre » que j’explique de peine et de misère alors qu’il continu ses caresses.

Moi aussi au début je n’avais pas trop compris l’installation du piercing, mais avec quelques recherches en biologie des organes génitaux féminin et les explications de mon perceur j’avais finis par comprendre que la boule de chair située entre les lèvres que nous croyons être le clitoris est en fait une petite capuche de chair et le clitoris se situe sous cette capuche. L’un est souvent pris pour l’autre étant donné que la stimulation de la capuche stimule souvent le clitoris en même temps.

L : « En tout cas, ne t’en fais pas tu sais vraiment bien comment t’y prendre, il suffit de rester doux… » que je dis non sans peine

P : « Ah oui, tu trouves ? » qu’il me répond taquin

Mes gémissements sont de plus en plus forts, il est doué de ses doigts et il va me faire jouir s’il continue ainsi…

P : « Tu vas me rendre fou, j’adore t’entendre gémir » qu’il me murmure la bouche contre mes cheveux

Oh my god, oh my god, oh my god que j’adore me faire dire des trucs cochons, sa voix un peu rauque est délicieuse dans mon oreille. Mon excitation monte encore un peu et je continue de gémir. Sa main entre mes cuisses bouge plus rapidement et plus je gémis plus je sens son érection durcir contre mes fesses.

P : « Je te jure que si je ne travaillerais pas demain, que tu sois dans ta semaine ou non… »

J’adore le sous-entendu et je m’imagine qu’il m’arrache ma culotte pour me pénétrer sur-le-champ avec sa queue très large qui écarterait toute ma petite chatte…Avec cette idée en tête et sa main toujours sur mon sexe, je jouie tremblante d’un long orgasme au son de sa voix chaude qui m’encourage à l’oreille.

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