#55- EXHIBITIONNISTE

>>De retour en 2016 avec Christian.

Nous n’avons pas pu sortir depuis plusieurs semaines déjà à cause de l’horaire de travail de Christian et je suis tellement heureuse que nous ayons une journée ensemble, enfin ! La journée est grise, nous décidons tout de même de nous rendre au RibFest du Vieux Port de Montréal. Nous écoutons de la musique à tue-tête pour le trajet de l’allée tout en papotant et je me sens légère.

Une fois arrivée au Vieux Port, nous nous stationnons et profitons du moment pour nous fumer quelques joints. Nous sommes stationnés sur un des quais, face à l’eau et la vue est magnifique. Quoi de mieux qu’un trip de bouffe dans un RibFest ?!

Une fois notre petite affaire finit, nous nous dirigeons vers le festival. C’est la première fois que j’assiste à ce genre d’événement et je suis curieuse. L’entrée est magnifique et colorée, nous payons et entrons. Le festival est fait sur le long, complètement clôturé avec les kiosques au fond de chaque côté. Les affiches de chacun des kiosques sont immenses, colorés, bruyantes, des gens à chacun kiosque crient, chantent… L’atmosphère rappel les fêtes foraines et une journée ensoleillée aurait vraiment été magique, mais nous avons plutôt droit à une journée grise.

Christian part un peu dans tous les sens et j’ai de la misère à le suivre au travers tous les gens alors qu’il marche vite et je comprends mal son empressement. Je me rappel sont TDAH, mais habituellement le cannabis ça le calme plus que ça. Nous attendons en file et je danse un peu au rythme de la musique dans les haut-parleurs. Je me colle doucement sur lui alors qu’il est immobile et je le sens tendu alors que l’ambiance est à la fête. J’essaye de le faire rire, mais je le sens très rigide. Je me décolle donc de lui et nous attendons toujours en file jusqu’à temps d’arriver au premier kiosque. Nous nous commandons tous les deux une portion et il paye. Nous nous installons à une table à piquenique avec un pichet de bière et nos portions pour profiter de notre repas tout en discutant. Lorsque nous avons finit il recommence à marcher rapidement vers un autre kiosque. J’avoue que je trouve le fait de courir à moitié plutôt ridicule, nous ne sommes pas pressés. Après avoir bu le pichet de bière à moitié à la table avec notre première portion à moitié en courant, nous décidons de retourner fumer un peu. Nous sortons du festival et nous dirigeons vers un banc proche du bord de l’eau pour fumer et j’espère silencieusement qu’il sera moins pressé après ses joints. Nous discutons fave à l’eau puis Christian passe son bras autour de mes épaules et m’embrasse. Le baiser s’approfondi alors que sa langue me pénètre et que ses mains courent sur moi. Je suis une peu gênée comme nous sommes en public, mais aussi pas mal excitée. Sa main se faufile sous mon jean, effleurent mon sexe alors que je me cache le visage dans son épaule.

C : « Hmmm, attends, je sais quoi faire pour que ce soit subtil... »

Son autre main se glisse à l’arrière de mon jean sur mes fesses, puis entre mes fesses. Je sens son doigt qui presse contre mon anus, je me lève donc et je passe mes jambes sous mes fesses lui libérant l’espace entre mon cul et le banc. Il profite de cet intermède pour cracher sur son doigt alors qu’il tire sur la taille de mon jean pour y glisser sa main. Sans trop d’efforts son doigts pénètre dans mon cul, puis il entame un vas et vient alors que je regarde partout autour de moi.

C: « Oh oui p’tite chienne...tu aimes ça dans le cul hein ? Devant tout le monde en plus...»

Je ferme les yeux et profite de cette stimulation, peu importe qui nous voit, ses insultes m’excitent au plus haut point. Son autre main déboutonne le devant de mon jean et s’y faufile également pour aller stimuler mon clitoris. L’excitation causée par le fait d’être dehors, à la vue de tous alors qu’il me regarde prendre du plaisir sous ses doigts en me traitant de salope fait en sorte qu’en quelques secondes seulement j’atteins un orgasme. Christian sort les mains de mes culottes, satisfait. Il me regarde et lèche les doigts qui étaient sur mon clitoris tandis qu’il essuie l’autre mains sur des serviettes jetables. Gênée je reboutonne mon pantalon. Je jette un coup d’œil à son entre-jambe dont le jean et déformé sous l’érection de son queue imposante.

Le reste de la journée oscille entre côtes-levées et joints. Nous profitons de la fête pour manger comme des rois. Lorsque le soleil se couche nous devons retourner chez Christian puisqu’il commence à travailler tôt le lendemain. Sur le chemin du retour, au centre-ville, je ne peux m’empêcher de repenser à ses doigts à l’intérieur de moi et à ses insultes et incertaine, je dépose une main sur son entre jambe. Sans perdre une seconde il déboutonne son jean et sort son sexe hors de son jean. Nous sommes à une lumière rouge et incertaine je regarde autour de moi. Des piétons sur le trottoir, des voitures à notre hauteur. Je regarde toujours son sexe, massif même quand il est au repos. Il conduit, la queue hors du pantalon et je le trouve tellement sexy, confiant.

C : « Tu vas me regarder longtemps ou tu vas la prendre dans ta bouche ? »

L : « Mais, y’a du monde partout qui peuvent nous voir... »

C : « Plein de monde mais personne qui nous connait pis depuis j’ai mis mes doigts dans ton cul je pense juste à ta bouche sur ma queue...Montre-moi combien tu as apprécié ton orgasme de cet après-midi ma p’tite chienne...»

Je déboucle donc ma ceinture et me penche vers son sexe que je prends dans ma bouche. Malgré le changement de vitesse, je tente de m’appliquer à le sucer du mieux que je peux. Son sexe grossit dans ma bouche et il devient rapidement difficile de l’avoir complètement en bouche. J’alterne entre caresse et stimulation orale pendant un bon 20 minutes sous ses encouragements.

C : « Lexia, j’ai envie de te baiser, tout de suite... »

Je lève la tête et je regarde autour de moi. Nous sommes proche de chez moi, je reconnais la pharmacie et le Maxi.

L : « On est bientôt rendu, quelques minutes seulement...»

C : « J'ai dit tout de suite...»

Christian tourne dans le stationnement du Maxi et se dirige vers l’arrière, là où les camions viennent décharger et se stationne.

C : « Bébé, suce-moi encore un peu... c’était tellement bon tantôt pis j’ai pas pu apprécier autant vu que je conduisais... » qu’il me demande en reculant son siège et en débouclant sa ceinture de sécurité

Alors que j’arrive pour me pencher vers lui, il m’embrasse et déboutonne mon jean

C : « Enlève ton jean et ta culotte que je puisse voir ta belle petite chatte et ton cul... »

J’obéis et lance mes vêtements à l’arrière et prends sa délicieuse queue à nouveau dans ma bouche. Ses mains trouvent le chemin de mon sexe, déjà complètement humide et il me doigte avec savoir-faire pendant plusieurs minutes, toujours en arrêtant avant que je puisse avoir un orgasme

C : « Je veux te baiser et voir ta chatte toute mouillée avant que tu puisses jouir... »

Sans plus attendre il sort de la voiture alors que je reste pantoise sur mon siège

C : « Lexia, vient ici... »

L : « Une minute je remets mes panta... » que je dis en cherchant mon jean

C : « Non, viens ici tout de suite, pas de pantalon ! » qu’il m’interrompt

Je regarde autour de moi, une lumière plombe directement sur la voiture et bien qu’il fasse noir partout autour nous sommes visibles comme en plein jour au milieu du stationnement. Je sors donc le rejoindre et je réalise qu’il est appuyé contre la voiture, la queue entre ses mains, sexy. Je m’appuie contre lui sur la pointe des pieds, frottant mon sexe contre son sexe et enfonçant ma langue dans sa bouche.

C : « Couches-toi sur le dos, sur le capot... »

J’obéis, un peu nerveuse à l’idée d’abîmer sa voiture

C : « Écarte tes jambes... »

J’écarte mes jambes, gênée.

C : « Bonne petite salope mon cœur... j’avais tellement hâte de te baiser...»

Il frotte son sexe contre le miens et en moins de deux me pénètre sur le capot de sa voiture tout en tenant mes jambes dans les airs par les chevilles. Son sexe me remplis, m’écarte, me fait sentir toute petite. Je suis tellement excitée que je ne pense plus aux gens qui peuvent si facilement nous voir. Il lève mon chandail pour agripper mes seins alors que je cris de plus en plus fort au rythme des gémissements de Christian

C : « Hmmm, Lexia... t’es tellement bonne...j’espère que quelqu’un te voit en train de te faire baiser... »

Il retire son sexe me laissant haletante

C : « Ventre contre le capot... Montre-moi ton beau petit cul...»

Je me tourne et appuie mes avant-bras contre le capot qui est encore légèrement chaud de la route. Il fait glisser sa queue toute mouillée entre mes fesses, puis me pénètre à nouveau. Par derrière est ma position préférée, il n’en faut pas davantage pour que mes cris reprennent. Alors qu’il me pénètre avec agressivité je tente de me tenir après le capot, les essuie-glaces, sans grand succès. Il m’écrase contre le capot de tout son corps tout en me plaquant une main sur la bouche et l’autre autour de mon coup. Cette restriction ne fait que m’exciter davantage alors que l’air me parvient difficilement. Mon esprit bourdonne pendant que son sexe, toujours aussi dure, continu de me pénétrer sans aucun ménagement, agressivement. Je sens que tout mon corps se contracte à l’arrivée de l’orgasme et nous jouissons intensément et simultanément lorsqu’il retire sa main de mon coup et que l’air parvient enfin à mes poumons.

C : « Tourne-toi...»

J’obéis et lorsque je m’appui contre le capot de sa voiture il s’agenouille et plaque sa bouche contre mon sexe.

C : « Écarte tes jambes et pousse, je veux que tout mon sperme sorte de toi...Je veux me boire à même ta chatte... »

C’est la première fois que j’ai ce genre de demande et je ne suis pas certaine d’être capable de faire sortir son sperme à la demande. J’écarte donc les jambes et tente de ‘’pousser’’, la bouche de Christian toujours sur mon sexe. Après quelques longues secondes durant lesquelles je n’ai pas du tout foi en la capacité de mes muscles pelviens, je sens un liquide chaud et visqueux qui coule entre mes lèvres. Christian lèche mon sexe de plus bel, grognant de satisfaction