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Noir et blanc Résumé Texture
Photo du rédacteurLexia White

#37- CLASSE ITALIENNE

Dernière mise à jour : 17 avr. 2022



Depuis quelques jours je n’en peux plus… Il est dans ma tête sans arrêt… Mes pensées pour lui me gênent presque. Un contremaître des chantiers pour la rive-sud avec lequel je dois régulièrement travailler... Je ne saurais expliquer cet homme… Physiquement il a un magnifique sourire, des yeux bleus foncés comme il est rare d’en connaître, pas très grand mais le corps robuste, des mains d’italien et une de ses paires de fesses…Ouufff… Mais au-delà de sa belle apparence soignée, son charisme et sa galanterie font de lui un homme à part.

Nous nous sommes tout de suite bien entendu, comme probablement toutes les femmes du siège social. C’est unanime « le beau David-Charles » est un coup de cœur pour tout le monde ! Je n’ai jamais eu ce genre d’attirance pour un collègue de travail alors c’est tout à fait nouveau pour moi. Je crois qu’il flirt peut-être un peu, mais je distingue mal la gentillesse standard ou le flirt, peut-être que je me trompe… Je ne suis pas très habituée à la gentillesse masculine, les hommes dans ma vie m’ont malheureusement appris que la gentillesse s’utilise très bien comme outil de manipulation. Niveau flirt, je serais plutôt du genre à être très claire et sans équivoque mais lui, je ne sais pas. Hors relation de travail je n’aurais pas hésitée une seule seconde à lui laisser savoir mon intérêt ! Ce genre d’homme franchement ça ne passe pas souvent …Et ça rends le tout un peu plus excitant, cette attente, ce suspense, ce mystère…

Je repense à sa façon de me tenir les portes, de ne pas me laisser soulever des choses trop lourdes ou encore de déposer sa main au creux de mes reins en me demandant si j’ai besoin d’aide alors qu’il se penche attentivement vers moi, sa façon de se rapprocher lorsque nous nous esclaffons de rire ou encore lorsqu’il me pose des questions sur ma vie. Les hommes que j’ai connus étaient tellement ignorants des façons de séduire ou d’exciter une femme… Un homme avec une éducation, une carrière (pas besoin d’être millionnaire), du charisme, un physique agréable et DE BONNES MANIÈRES tourne n’importe quel fuck boi dealer de cochonnerie au passé criminel douteux et aux anciennes relations malsaines au ridicule en un claquement de doigt. Plus que tout, se faire traiter avec galanterie et respect…Quel aphrodisiaque !

Aujourd’hui, inspection d’un chantier prêt du nouveau pont Champlain. Nous travaillons ensemble sur cette inspection comme je dois lui faire le compte rendu de l’inspection de son chantier. Aux petites heures du matin la couleur du ciel est particulièrement magnifique, teinté de rose d’orangé alors que je me stationne juste à côté de son camion. Je sors vêtue d’un pantalon Dickies bleu marin, mes Dr.Marten mauve et d’un petit tshirt blanc bien simple. Je décharge mon équipement alors qu’il vient m’aider.

D-C : « Hey bon matin ! »

L : « Hey ! Ça va ?!»

D-C : « Un peu raqué de mon match de soccer d’hier mais ça va et toi ?! Laisse-moi donc t’aider avec tout ça ! »

L : « C’est gentil merci ! Oui ça va, brûlée mais ça va ! »

Nous échangeons quelques minutes sur nos activités respectives alors que nous déchargeons le contenu de ma voiture et déplaçons mes équipements vers le chantier.

L : « Je pensais commencer mon inspection ici » que je lui dis en pointant le coin Nord-Est du site.

D-C : « Ok pas de troubles…par contre, c’est la plus grosse section pis avec les gros nuages on va peut-être se faire pogner par la pluie… »

L : « Hmmm, ouais j’aurais aimée être capable de finir une des 4 sections aujourd’hui…On vas commencer pis si la température se gâte je verrai ce que je fais ! ».

D-C : « C’est toi l’boss ! » qu’il me dit taquin

Nous déroulerons la carte du chantier sur la porte arrière de la boîte de son camion puis décidons de l’ordre des choses. Je m’appuie contre la carte :

L : « Ce coin-là est vraiment pas clair, faudrait avertir l’équipe de faire attention la prochaine fois…» que je dis en pointant un endroit sur la carte

D-C : « Hein, où ça ?! »

Il s’appuie aussi sur la carte puis nos bras se croisent et s’entrecroisent alors que nous discutons de façon animée sur la qualité de la carte. Sans trop s’en rendre compte nos corps se rapprochent au fur et à mesure que nous parlons. Lorsque l’intensité de la conversation redescends, nous sommes prêt un de l’autre…si prêt…Son regard magnifique, son sourire taquin… Mes yeux passent de ses yeux à sa bouche, puis je détourne la tête un peu gênée.

L : « Bon maintenant que j’ai finis de chialer on peut y aller !» que je dis en riant tout en enfilant mon casque mauve

D-C : « Hey t’as un nouveau casque ?!?»

L : « Oui j’ai trouvée ça en fin de semaine…même couleur que mes Dr.Marten !!» que je réponds bien fière en soulevant un de mes pieds

D-C : « Ben juste toi pour être coloré de même !» qu’il me dit en touchant un dread de couleur turquoise qui dépasse du bas de mon casque

Nos regards se croisent quelques secondes, puis il donne un petit coup sur la palette de mon casque.

D-C : « Safety 101 Mademoiselle, on ne peut pas te manquer ! »«

L : « Gnehh, gnehh…» que je lui réponds en tirant la langue

Je saisi mon équipement, il ferme la boîte du camion, puis prend les équipements de mes mains

D-C : « Tu vas quand même pas trainer ça sur toute la partie Nord-Est du chantier …»

Je ne dis rien et le laisser porter mes choses, plutôt flattée de la galanterie de cet homme même si j’ai l’habitude de marcher plusieurs km avec tout mon attirail. Je m’assure tout de même de prendre les petits trucs susceptibles de tomber pour lui faciliter le tout. L’air est humide étant donné la pluie de la veille et le terrain est glissant, je me retrouve rapidement les bottes pleines de boue et nous veillons à faire attention où nous mettons les pieds. La progression est lente étant donné le terrain vaseux, inégal et glissant et je me dis que mon projet de finir la section est bien peu réaliste dans ses conditions. Nous sommes rendus à mi-chemin entre le camion et le lieu d’inspection lorsque David-Charles semble perdre pied. Je tente de l’attraper mais la vase le fait tanguer pendant quelques secondes puis il tombe et se cogne contre un rocher en échappant mon matériel.

L : « Fuck David est-ce que ça vas ?!?!» que je demande un peu paniquée en laissant tomber mes choses tout en me rapprochant rapidement

D-C : « Je…oui… mon genou…» qu’il me réponds incertain les mains pleines de boue, une sur son genou et l’autre prenant appuie au sol

L : « Laisse-moi t’aider » que je lui dis en lui tendant la main

Il tente de se relever de lui-même, ah l’orgueil masculin ! Tangue et retombe encore.

L : « Prends ma main David, c’est vraiment glissant !! Arrête de niaiser là…»

Il prend la main que je lui tends puis sous la force de nos deux poids combiné et du terrain glissant je glisse moi aussi et tombe lourdement sur mes fesses. Mon casque par dans un sens et mes pieds dans l’autre. Je reste quelques secondes étendues dans la bouette, remerciant la vie d’autant de bonté !

D-C : « Lexia es-tu correct ?!?» me demande mon collègue inquiet

Je m’assieds, pleine de bouette gluante et piquante jusqu’en dessous de mon chandail.

D-C : « T’es correct ??»

Je m’époussette un peu, bouge mes jambes.

L : « Oui…»

Pendant que j’enlève la terre d’en dessous de mon chandail je me met à rire, mais à rire, plus capable de m’arrêter ! Je revois David tomber, puis moi qui tente de l’aider mais qui glisse et qui l’entraîne dans ma chute ce qui ne fais qu’augmenter mon fou rire. Je ris tellement que j’ai mal au ventre et je me recouche dans la bouette. David-Charles se met lui aussi à rire et lorsque notre fou rire diminue, je réalise que mes jambes sont par-dessus les siennes, que mon chandail est relevé jusqu’en haut de mon nombril crotté de bouette. Gênée je tente de me recoiffer maladroitement avec mes mains complètement sales, puis je vois le regard de mon collègue qui glisse de mon visage jusqu’à ma poitrine. Je regarde plus bas, puis réalise que mon encolure révèle maintenant mon soutient gorge en dentelle lilas…

L : « Bon heureusement tout est encore en place, mes deux boules sont là! » que je dis à la blague en replaçant mes vêtements

Le regard de mon collègue toujours silencieux passe de ma poitrine à mon ventre, puis à mes jambes sur lesquels les pantalons ont légèrement remonté. Je remercie silencieusement le ciel de m’être rasée les jambes hier. Je me racle la gorge alors qu’il continu de me reluquer

L : « David est-ce que je peux t’aider tu sembles chercher quelque chose…» que je dis en riant

Il ne répond rien mais me fait un petit sourire en coin. Je me redresse quand subitement je reçois un tas de terre sur mon chandail. Surprise je le regarde ahuri alors qu’il est tout souriant

L : « Tu paye rien pour attendre ! » que je réponds en lui lançant aussi une boule de bouette qui déclenche une petite bataille qui dure quelques minutes.

D-C : « OKAY OKAY, temps mort !! Fuck, mon genou…»

Inquiète je m’approche

L : « T’es correct ? Laisse-moi voir…»

Rendue proche de lui il m’écrase une bonne galette de bouette directement sur la tête…Ça me coule sur le visage…Je le regarde, sans un mot, dégoulinante…

L : «Mon p’tit criss…» que je marmonne entre mes dents avant de bondir sur lui

L’impact est solide, nos corps se rencontrent comme deux blocs de bétons et j’entends un grognement alors que nous roulons dans la vase et l’eau. Je crois heurter une roche mais la douleur est éphémère alors nous continuons de nous chamailler un peu. Plus fort il prend rapidement le dessus et m’immobilise, assis sur mes cuisses alors que j’ai la tête au sol.

D-C : « T’es solide pour ta taille… je n’aurais pas cru… »

L : « Mais tu sais rien encore… » que je dis en continuant de me débattre

Je profite de ce moment de diversion pour passer ma jambe contre ses côtes et en transférant mon poids vers l’avant j’arrive à le faire basculer au sol et je me retrouve sur lui. Mon chandail est plein de bouette et il est maintenant pendant sur ma poitrine, découvrant mon soutient gorge lui aussi très sale. Je respire de façon saccadé et ma poitrine se soulève rapidement, ses yeux s’attardent. Je suis légèrement en sueur de notre bataille et mon visage ainsi que mon dos me piquent du mélange de vase et de roches provenant du sol.

D-C : « T’es pleine de terre…» qu’il me dit en passant sa main sur le rebord de mon pantalon, effleurant un petit partie de mon ventre au passage

Je prends conscience de la proximité de nos corps, mon chandail mince maintenant lourd et pendant sur ma poitrine ainsi que sa main sur ma hanche. Il continu de se débattre un peu pour la forme alors qu’il arbore son air contrarié qui lui va si bien ! Il s’énerve finalement et me plaque au sol puis s’installe sur mes fesses, satisfait

D-C : « Changement de situation mademoiselle ?» qu’il me demande un peu baveux

Sa main tente de dégager mes cheveux mais c’est tellement mêler que ça tire plus qu’autre chose

Je grogne puis m’immobilise, excitée par son corps par-dessus le mien, notre petit jeu de corps à corps et l’odeur de son parfum qui me parvient parfaitement.

D-C : « Tes cheveux sont tellement mêlés…Veux-tu ben arrêter de gigoter, je ne te tirerai pas les cheveux si tu bouges moins ! » qu’il me dit la main dans mes cheveux tentant de les dégager.

L : « Pis mettons que je n’ai pas envie d’arrêter de bouger ? » que je lui réponds en ondulant doucement des fesses contre son entre jambe

Je tourne légèrement ma tête par-dessus mon épaule pour voir son visage, il me regarde, bouche-bé.

D-C : « Lexia…» qu’il prononce doucement en faufilant deux doigts sous le rebord de mon chandail

Je retiens mon souffle alors que sa main est maintenant à moitié sur ma fesse et à moitié dans mon dos. Je sens sa main qui parcours mon dos, étendant la terre ici et là, puis qui saisit mes fesses.

L : « L’inspection vous plait, Monsieur ? » que je lui demande, taquine

D-C : «Hmmm, Mademoiselle…si mon genou ne me faisait pas aussi mal…»

Je me rappelle qu’il s’est cogné le genou contre une roche lorsqu’on se chamaillait. Je me retourne alors qu’il se déplace à côté de moi.

L : « Veux-tu je jette un coup d’œil ? »

D-C : « Oui, mais je pense pas que ça soit quelque chose de grave… »

Je me rapproche et relève son pantalon, inspecte son genou qui saigne légèrement, fait bouger son articulation.

L : « En effet rien de grave mais une bonne plaie, il faudrait retourner au camion, j’ai une trousse dans ma voiture je vais te désinfecter et te mettre un diachylon »

D-C : « Oui Madame » qu’il me réponds avec un grand sourire

Nous marchons péniblement jusqu’à la voiture, plein de bouette, mes outils heureusement ne sont pas cassés. Une fois arrivé au camion je demande à David-Charles d’enlever son pantalon et de s’asseoir sur le rebord de la boite le temps que j’attrape la trousse de secours et range mes choses. Lorsque je reviens je le vois assis en boxer Jack & Jones gris et rouge qui attends, je m’approche en souriant

D-C : « Pourquoi ce sourire ? » qu’il me demande un peu mal à l’aise alors qu’il tire sur le rebord de son caleçon.

L : « Je ne croyais pas que c’était ton genre le boxer avec des flamingo rouge… Je te croyais plus conservateur ! »

D-C : « Sont nice mes boxers okay ?! »

L : « Très sexy oui… » que je réponds avec un grand sourire

Il sourit puis baise les yeux au sol, je vois des petites couleurs s’ajouter à ses joues. Timide.

Je déballe donc ma trousse et réalise qu’avec la bouette la tâche sera plus longue que prévue. Je me concentre donc pour nettoyer son genou avec ma bouteille d’eau puis procède à la désinfection et au pansement. Une fois finit, ma main passe doucement de son genou jusqu’à sa cuisse que je caresse, puis je descends vers son mollet que je masse doucement. Je lève les yeux, à la recherche de son approbation sentant le frisotis de ses poils entre mes doigts. Je n’oublierai jamais son regard, bleu, féroce. Ses sourcils sont froncés, sa mâchoire crispée.

L : « On mon doux est-ce que je t’ai fait mal ?! » que je demande inquiète d’une petite voix aigüe en retirant ma main

D-C : « Pas du tout Lexia…pas du tout… »

Il saisit mon poignet pour que je me relève, toujours assis sur le rebord de la boîte. Sa main passe de mon poignet à mon avant-bras, montre le long de mon bras, caresse mon épaule, redescends et attrapes mes fesses pour le rapprocher de lui. Je suis maintenant entre ses jambes dont je sens la chaleur et la fermeté. Plus grand que moi, il me dépasse de quelques centimètres même s’il est toujours assis et son autre main se dépose dans le bas de mon dos. Nous échangeons un regard, ses sourcils toujours froncés, comme il est beau ! Mon regard s’attarde sur sa bouche, ses belles lèvres pleines…

D-C : « Est-ce que je peux t’aider avec quelque chose… » qu’il me demande

L : « Oui, justement je me demandais quand est-ce que tu allais te décider à m’embrasser… »

Il éclate de rire alors qu’il attrape ma nuque et plaque ma bouche contre la sienne. Ses lèvres sont douces et chaude, le baiser d’abord timide et doux devient rapidement profond et sensuel alors que sa main s’enfonce dans mes cheveux. Je passe mes bras autour de son coup et je plaque mon corps au siens, je m’étais imaginé ce moment tellement de fois que j’arrive à peine à y croire. Nos dents s’entrechoquent, nos langues se mêlent, enfin ! La chaleur de sa bouche, la texture de sa langue, le goût de sa salive, tout me ravis ! Notre embrassade dure quelques minutes puis je sens des gouttes d’eau tombées sur mes bras. Je me détache à regret et regarde vers le ciel, David-Charles réalise lui aussi qu’il commence à pleuvoir. Mon chandail sale est maintenant presque transparent et plus qu’inconfortable. Je monte sur la boîte puis m’installe à califourchon sur David-Charles qui me regarde surpris

D-C : « On s’ennuit jamais avec toi hein ?!» qu’il me lance taquin

L : « Oh mais attends… » que je lui réponds avec un clin d’œil

Une fois bien installée sur ses cuisses je retire doucement mon chandail, me retrouvant à califourchon sur lui en soutien-gorge. Il passe ses mains sur ma gorge, caresse mon épaule, le galbe de mes seins, mes cuisses et le haut de mes fesses… Je suis ruisselante d’eau et ses mains glissent sur moi en étendant la saleté. La pluie qui était légère est maintenant de plus en plus intense et ma respiration de plus en plus saccadée au fil de ses caresses.

L : « Tant qu’à être mouillée aussi bien en profiter pour me rincer !!»

Je me lève avec une idée en tête lorsque je remarque la bosse dans son boxer qu’il tente vaguement de cacher.

L : « J’aime bien moi…Laisse-moi voir…» en l’embrassant

Il laisse son érection tranquille alors que je retire mes pantalons et me retrouve en tanga, nue fesse sous la pluie en tentant de me rincer.

D-C : « Ben juste toi pour te rincer sous la pluie… Comment tu vas faire pour te sécher ?! » qu’il me dit en riant en tentant de se protéger de la pluie avec une bâche de plastique.

L : « J’ai une serviette dans mon auto…J’ai encore plus de bouette que toi, ça pas d’allure d’aller m’asseoir dans mon char de même ! T’es pas trop sale toi, tu peux aller dans ton camion… »

L : « Non, non, j’aime bien la vue…» qu’il me dit plus fort pour couvrir le bruit de la pluie qui tombe maintenant intensément.

Je ris et me recule de 2 pieds afin qu’il puisse bien me voir, je passe doucement mes mains partout sur moi pour enlever la bouette collée qui se liquéfie avec la pluie. Je me penche pour nettoyer mes jambes, prenant soin de lui offrir une vue imprenable. Une fois le plus gros enlever je retourne vers la boîte du camion.

D-C : « Hmmm… » qu’il grogne avant de m’attraper pour m’embrasser rudement.

Je gémis doucement contre ses lèvres me pressant de plus en plus fermement contre lui, toujours en sous-vêtements. Je suis déjà tellement excitée…

D-C : « Vient on va aller au chaud dans le camion avant qu’on attrape le rhume »

On se précipite pour se mettre au sec, une fois à l’intérieur je branche mon téléphone et fais jouer une playlist de mon choix de genre un peu lounge. Enroulée dans ma serviette je jette un coup d’œil à David-Charles toujours en boxer et en chandail.

L : « Ton chandail est tout mouillé tu devrais l’enlever… » que je lui suggère non sans intérêt

D-C : « Ouin, mais tsé moi j’ai pas ton âge la j’ai pu d’adbo depuis un boutte… »

L : « J’ai fantasmée sur toi pendant des mois…je m’en fou tellement… »

D-C : « T’as…quoi ?!? Pendant des mois ?!? » qu’il me répond surpris les yeux ronds en déposant sa main sur ma cuisse

L : « Depuis le jour où je suis arrivée dans cette firme … » que je réponds en passant ma main sur son torse.

Je suis assise du côté passager, tout mon corps est tourné vers lui et je retire ma main pour m’éponger doucement avec ma serviette mon regard planté dans le siens.

D-C : « Lexia… »

Il retire son chandail puis m’agrippe pour me faire glisser vers lui. Heureusement la console centrale s’abaisse ce qui nous permet d’être maintenant plaqué un contre l’autre, son bras autour de ma taille, mes jambes enroulées à la sienne.

D-C : « C’est pourquoi ce petit sourire ? » qu’il me demande taquin

L : « Rien…je…je…t’es juste trop… »

D-C : « Charmant ?! » qu’il me demande souriant

Je fais signe que oui alors qu’il me fait basculer sur le côté, écarte mes jambes et se plaque contre moi. Je sens sa solide érection contre ma culotte.

D-C : « Pis comme ça, comment tu me trouve » me fait-il mi-figue mi-raisin

L : « Hmmmm… si tu savais tous les soirs où je me caresser en pensant à toi… » que je lui dis en me frottant contre lui

D-C : « Ayoye…tu vas m’rendre fou… »

Je passe mes mains sous ses bras puis fait glisser doucement mes ongles dans son dos, attentive à sa réaction, il grogne doucement. J’ondule du bassin, mon entre jambe contre la sienne. Sa respiration est de plus en plus forte. Le regard qu’il me jette alors est comme un ciel orageux, profond et dangereux.

L : « T’es tellement beau…Oh my god, ta face… »

Sans me laisser le temps de finir il plaque sa bouche contre la mienne. Ses caresses jusque-là plutôt douce se font maintenant rudes et passionnées. Lorsqu’il agrippe mes deux seins à pleine main tout ce qu’il me restait d’inquiétudes et de contrôle s’envolent. Je renverse ma tête vers l’arrière et soupire alors que sa bouche se promène dans mon coup puis descends mordiller mes seins pointant à cause du froid. Ma respiration s’accélère plus en plus alors que mes mains se faufilent pour déboutonner son pantalon et ouvrir la fermeture éclair. Je dégage sont superbe cul moulé dans ses boxer d’un coup sec. Au même moment il empoigne mes cheveux et je lâche un long soupir en fermant les yeux, m’immobilisant dans mon geste.

D-C : « T’es encore plus perverse que je pensais…Perverse, un mot que j’ai appris grâce à toi d’ailleurs…»

Alors qu’il tient ma tête en place avec une poigné pleine de mes cheveux il plaque sa bouche sur la mienne, mes mains saisissent ses fesses et je mordille doucement sa lèvre avant de planter mes ongles dans son dos et de descendre rapidement et fermement le long de sa colonne. Sa respiration s’accélère et il ouvre ses yeux qu’il rive aux miens, moi le regardant déjà, scrutant sa réaction. Ses yeux sont si sombres que pendant un instant j’ai presque peur. J’hésite quelques secondes puis glisse mes mains sous ses boxers à hauteur des fesses alors que j’achève leur course vers l’avant. Je rencontre la base de son sexe, large et dure. C’est maintenant lui que j’entends soupirer contre mes lèvres alors que ma main attrape sa queue bien dure. Je le branle pendant quelques instants, une main sur sa queue et l’autre agrippées à ses cheveux et je remarque que les vitres sont maintenant complètement embuées. Ses gémissements sont tellement excitants que ma main dans ses cheveux quitte son emplacement pour aller se loger sur mon sexe déjà complètement trempé. Il ouvre les yeux et son regard se porte sur ma main dans ma culotte

D-C : « Oh wow…»

Je continue de me caresser, mes yeux toujours dans les siens lorsque j’agrippe de mon autre main ses testicules avec aplomb. Il se fige quelques secondes, puis se détends alors que ma poigne se transforme en caresse. Je m’occupe de son sexe et de ses couilles avec de plus en plus de difficulté, mon propre plaisir prenant le dessus. Proche de l’orgasme je dois me calmer, je le repousse donc fermement ce qui le surprends. J’en profite pour m’installer sur ses cuisses, de dos. Je frotte doucement ma chatte dans ma culotte toute mouillée sur son sexe en montant et descendant à l’aide de mes cuisses. Une chanson que j’affectionne particulièrement se met à jouer, faisant sortir en moi mes airs de saloppe et je me mets doucement à me frotter sur lui au son de la musique. Il agrippe mes fesses qu’il sert fermement en soupirant, m’envoie une petite claque, timide. Je gémis doucement

L : « Hmmm, tu peux y aller plus fort… »

Sa seconde fessée est légèrement plus forte, je continue de gémir. Sa troisième fessée est plus forte aussi, puis la quatrième. À la cinquième je lâche un petit cri de plaisir… David-Charles décide de me faire basculer à nouveau sur la banquette, descends son boxer et me pénètre sans plus de préliminaires.

D-C : « Tu avais hâte que je te baise non ? Petite allumeuse…Au boulot en plus…»

Je gémis en hochant la tête. J’avais tellement hâte de sentir sa queue en moi, qu’il me prenne comme ça… Il me pénètre avec force tantôt agrippant mes seins, tantôt en mordant mon coup et mes épaules. J’embrasse son torse, ses épaules, je le mordille aussi. Notre chimie est fantastique et nous sommes bientôt plein de salive. Je décide de me retourner et de lui offrir ma chatte à quatre pattes sur la banquette. Il prend quelques minutes pour me regarder

D-C : « Tu m’excite trop je ne pourrai pas tenir plus longtemps…Caresse-toi en même temps…Je veux sentir ta chatte avoir un orgasme pendant que je viens… »

J’attendais ce moment. Je sens le bout de son sexe frôler doucement mes lèvres alors qu’il m’envoi quelques claques sur le cul. J’ondule du bassin pour qu’il me pénètre plus rapidement.

D-C : « Un instant mademoiselle… »

Il travail ma patience en frottant sa queue sur mes lèvres, les ouvrant doucement, me pénétrant seulement du bout de son sexe. Je gémis, plaignarde.

Il enfonce alors tout son sexe, hmmmm…Je recommence à me caresser. Alors qu’il me baise par derrière, sa main sur mon cul s’étire pour saisir ma gorge. Surprise, agréablement surprise… Il augmente le rythme et me baise de plus en plus férocement. Mes genoux glissent dans mon propre jus alors que je tente de faire un vas et vient avec ma croupe. Ses gémissements sont de plus en plus fort et je sais qu’il va bientôt jouir. Cette idée m’excite d’autant plus et combiné au son de ses gémissements je jouie dans un orgasme fort et long que nous arrivons presque à obtenir en même temps. Il me caresse le dos, les fesses, puis caresse mon sexe

D-C : « Tu es tellement mouillée…wow… »

Je ris doucement, puis soupire alors qu’il se retire

L : « J’ai déjà envie que tu me baise à nouveau… » que je lui lance un peu gêner en m’assoyant sur la banquette

D-C : « Mais ça ne fait que commencer mademoiselle… » qu’il me répond en me prenant dans ses bras

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