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Noir et blanc Résumé Texture
Photo du rédacteurLexia White

#59- MADEMOISELLE WHITE

Dernière mise à jour : 17 avr. 2022




Toute la semaine la tension fût palpable.

Mon plan est déjà fait, j’ai prévu une délicieuse session samedi soir, mêlant sensory play mais aussi privation des sens saupoudré de douleur ici et là. Je suis un peu concernée par la longueur de ladite session avec tout ce que je veux lui faire essayer… Mais bon, ça va me permettre d’y aller avec l’humeur du moment et d’improviser un peu plus selon ses réactions !

La liste de ses devoirs pour la semaine fût aussi considérable :

  • Publier un album de nos photos kinky sur FB

  • Ajouter ses photos sur FL

  • S’introduire dans les différent groupes FB

  • Répondre aux discussions référence

  • Se faire une playlist musical de détente

  • Apprendre par cœur un petit texte pour notre protocole du collier

  • Lecture d’un livre sur le Topping

  • Noter les pensées salaces

  • NE-PAS-JOUIR à partir de mercredi jusqu'au weekend.

SAMEDI

J’ai passé la matinée avec un ami cher à mon cœur que je n’avais pas vu de l’été puis une fois à Trois-Rivières je suis allée su port avec @Sirbootyful et son ami pour flâner et profiter de la belle journée. Vers 16h00 je me dirige au centre-ville de Trois-Rivières pour prendre possession du loft. Un peu l’enfer pour me stationner, ma rue est bloquée pour accès piéton, tous les stationnements sont pris… Je trouve finalement un emplacement pour me stationner et je monte toutes mes valises au 3ième étage. J’arrive au loft en sueur, il est MA-GNI-FIQUE. Dès l’entrée le haut plafond donne le ton à la grandeur et le mur de pierre nous accueil avec ses impressions colorés de film, le tout encadré de façon puriste. Le large corridor au parquet de bois franc nous fait passer devant la salle de bain et la chambre pour débouché sur une grande pièce lumineuse décoré de façon minimaliste, à la fois industriel et moderne. Les grandes fenêtres donnent une vue incroyable sur le centre-ville, c’est un coup de cœur !

Je profite pour disposer mes bagages tout en imaginant tout le bon temps que j’aurai ici et prendre une douche. Je revêtis une jupe de patineuse, un crop top ligné et des long bas ligné. J’ai invité @Sirbootyful ainsi que son couple d’ami au loft pour la soirée, la session ne pourra donc pas se dérouler comme je l’avais prévu mais je ne suis pas inquiète de trouver une autre façon d’y arriver ! Je suis un peu nerveuse que @OctaSyvA rencontre @Sirbootyful, je m’assure donc que ce soit correct avec un comme l’autre. Moi et Octa avons une relation ouverte-ish actuellement, mais c’est nouveau pour lui alors je veux qu’il soit à l’aise. Il sait que moi et @Sirbootyful avons jouer ensemble et que nous aimerions apprendre à nous connaître un peu plus. Je crois qu’ils s’entendront bien, ayant tous les deux des caractères calmes, réfléchi et étant passionnés de musique. Je suis vraiment contente que deux personnes que j’apprécie grandement puissent se rencontrer et qu’on passe une soirée tous ensemble !

Les ami(e)s sonnent à la porte et je vais leur ouvrir. Ils font le tour du loft, eux aussi impressionnés d’un si bel endroit ! Je ne connais pas @Sirbootyful depuis tellement longtemps mais l’après-midi fût vraiment chill et j’avais envie de prolonger le tout. Le couple d’ami est super nice, les deux gentils et pas gênants. La fille me rappel un peu mon ancienne meilleure amie d’ailleurs ! Nous discutons au salon, le couple est assis sur le lit escamotable et moi et @Sirbootyful sur le divan. Je suis couchée sur le ventre à moitié sur le divan et à moitié sur le pouff. Je sens le regard de @Sirbootyful qui glisse à quelques reprises sur mes fesses, mais est-ce que c’est réel ou je me fais des idées ?! Je repense aux photos / vidéos que nous nous sommes échangés et j’avoue avoir la tête qui se remplie d’image épicées, imaginant sa queue large pleine de sperme. Je clique des yeux et revient à la discussion.

Il est maintenant 19h00 et Octa n’est pas là, son stock pas monté et nous n’avons toujours pas souper. Il est en route mais je suis de plus en plus fatiguée, la séance devra attendre demain matin j’en est bien l’impression. Lorsqu’il arrive finalement, nous faisons à souper en agréable compagnie et la soirée se déroule comme un charme. Aux alentours de 23 heures, nos invités quittent. Nous nous installons dans le salon avec un film. Je caresse doucement les parties de Octa sous son jean alors qu’il grogne doucement.

L: « Hmmm, ça été fucking dure de pas venir cette semaine…Je pense tout le temps à toi ça pu d’allure…Je pense j’ai les blueballs…»

«Owwww, si dure seulement après 3 jours ? » que je lui réponds le sourire aux lèvres

O: « Oui, mais on est samedi…»

L: « Oui, et ?»

O: «Hmmmm, ben je n’avais pas le droit de me toucher jusqu’à samedi…»

L: « Vrai, mais on est encore samedi…»

O: «Quoiii, t’es sérieuse ?! Oh non… »

L : « Très sérieuse…demain tu pourras venir sur mes fesses après notre session et on fera une belle photo…»

O: « Oh non mais là c’est pas juste…»

L: « On est samedi, c’est très juste ! »

Il grogne puis relève ma jupe, caresse mes cuisses et mes fesses

O: «Ahhh, tes cuisses sont tellement parfaites…Tu ne pourrais pas être plus sexy, what the fuck…»

Il me fait basculer sur le dos puis nous nous embrassons. La température monte rapidement alors que les rideaux sont grands ouverts sur le centre-ville et qu’il faufile ses mains sous ma jupe. Je suis consciente de la forte lumière dirigée directement sur nous et je me lève pour fermer les rideaux des deux portes patios en laissant l’immense fenêtre découverte.

O: « Quoi tu fais ? T’es pas exhibitionniste toi ? »

L: « Oui, mais dans un centre-ville au 3ième c’est peut-être un peu trop pour moi, je préfère les endroits plus discrets ou dont l’objectif est justement ce genre d’exhibition »

Nous basculons sur le divan, nos bouches se cherchant. Il agrippe ma gorge et rentre deux doigts dans ma bouche, puis m’y crache sa salive. Je reste la langue tendue et la bouche ouverte alors que je sais qu’il me regarde

« Hmmm, je t’enfoncerais ma queue… » qu’il me dit en se frottant le bassin contre ma culotte

Je rigole doucement de l’effet que je lui fais alors qu’il plonge sa tête entre mes seins qu’il saisit à pleine main.

Je gémis doucement alors qu’il les claque puis les mordilles. Ma main se faufile sous son pantalon et sa queue est déjà bien dure. Mes vêtements sont en désordre et il décide de les enlever morceaux par morceaux, puis je lui enlève ses pantalons et ses boxer. Nous sommes nues sur le divan, excités. Il frotte son sexe sur le mien alors que j’ondule du bassin contre lui.

O: « Ayoye t’es tellement mais tellement mouillée… »

Il attrape sa queue et se caresse alors que je le regarde nu et magnifique. Je l’attrape par le coup afin de le rapprocher et frotter ma chatte détrempée contre sa queue. Je l’enfonce doucement dans mon intimité, seulement du bout du gland, puis ondule du bassin dans un léger vas et vient. Je sais que c’est difficile pour lui de se retenir, n’ayant pas éjaculer pendant 3 jours.

«Oufff, non, non…je ne peux pas continuer comme ça c’est trop dur… » dit-il en arrêtant mon mouvement

Je le pousse doucement pour qu’il se retire et lui laisser reprendre son souffle alors qu’il est à genou sur le divan. Je glisse ma tête au niveau de sa taille et je le prends en bouche.

O: « Ok je ne serai jamais capable de me retenir si tu me suce comme ça… »

Je m’applique à lui faire une excellente fellation tout en massant ses testicules doucement. Je le pompe encore et encore alors que ses gémissements sont de plus en plus fort.

O: « Faut pas que je vienne, faut pas que je vienne…Criss que t’es boooooonne… »

Que je l’entends marmonner et c’est aphrodisiaque de le faire souffrir ainsi.

Lorsqu’il semble sur le point de perdre contrôle, je retire son sexe de ma bouche et m’installe un peu plus loin sur le divan

O: « Mais, tu, que…Tu fais quoi ? »

L: « Je te fais souffrir un peu… La torture peut prendre plusieurs formes… »

O: « Quoi ?! Je pensais pouvoir venir ce soir… »

L: « Non, non, ce sera seulement demain matin lors de notre séance… »

O: « Non mais s’il-te-plais, tu ne peux pas me laisser comme ça une autre journée ?! »

L: « Oh que oui je peux, et ça vas me faire plaisir de le faire … »

Il grogne, attrape mon coup, caresse mon clitoris puis me pénètre. Nos rapports sont interrompus afin de préserver la jouissance d’Octa à plusieurs reprises. Il marmonne toutes sortes de choses et j’aime son regard qui m’implore et sa volonté de respecter ma demande. Plusieurs fois je suis sur le point de jouir mais n’y arrive pas dû au changement de rythme et j’avoue que cette interdiction de jouissance est par la bande, aussi un peu désagréable pour moi.

« Ok, faut qu’on arrête… T’es tellement belle et sexy, arrête de faire cette face-là, fuck ! » qu’il me dit en me regardant, mes jambes par-dessus ses épaules

Je pouffe de rire et m’éloigne un peu, il m’attrape par les pieds et me retourne sur le ventre en grognant.

Il en profite pour m’envoyer quelques claques sur les fesses alors qu’il enfonce ma tête dans les oreillers du divan.

O: « Tu aimes ça hein p’tite chienne…»

L: « Fuck oui…»

Il me pénètre à nouveau par derrière tout en caressant mon clitoris alors que je cris de plus en plus. Il attrape le derrière de mon coup et immobilise mon bassin de son autre main pour me pénétrer encore plus durement.

Mes cris remplissent le loft et pendant quelques secondes j’ai une pensée pour les voisins.

DIMANCHE

J’ouvre les yeux sur la chambre peinte dans un bleu / gris très doux. Dehors le soleil brille et j’ouvre les rideaux qui donnent sur une grande fenêtre juste à côté de la table de chevet. Hier c’était plutôt gris et je me dis que c’est une parfaite journée pour profiter de la ville à pied.

Octa ouvre doucement les yeux et me demande « As-tu faim ? Je peux aller faire les crêpes… »

«Hmmmm j’ai faim oui, mais pas de crêpes… » que je lui réponds en me collant sur lui puis en caressant son sexe

O: « C’est dimanche, je vais enfin pouvoir jouir !!! »

L: « Oui, notre session est ce matin… je propose qu’on mange avant par contre parce que dans 30min je vais me digérer hahaha »

Nous nous levons puis allons à la cuisine. Je sors le collier d’Octa et lui demande de s’asseoir sur le divan.

L: « Tu devais apprendre quelques lignes pour Nnotre protocole du collier… peux-tu les réciter stp ? »

Silence

L: « Octa ?»

O: « Fuck j’ai un blanc…attends… »

L: « Prends le temps d’y réfléchir… »

Je le vois qui tente de se rappeler, sans succès. Il essaye quelques phrases, mais il mélange l'ordre et les mots.

L: « Prends ton téléphone et retourne voir notre conversation si tu ne te rappel pas... »

Il retrouve les quelques phrases qu'il doit mémoriser puis les dit à hautes voix.

L: « J'avais été bien clair que tu devais mémoriser ses quelques phrases pour le protocle du collier... Tu as eu toute la semaine...Comme tu n'as pas tenu parole, pas de jouissance pour toi ce matin...»

O: « Oh non...Mademoiselle..s.v.p...»

Je ne cède pas à ses supplications et lui demande de préparer le déjeuner. J'en profite pour lui demander de cuisiner en portant ma lingerie et je fais quelques photos. Nous déjeunons en découvrant des fruits que je n'avais jamais manger. Nous sortons ensuite explorer la ville à pied. De retour au loft en soirée, je propose à @Sirbootyful de venir passé la soirée avec nous et lui et son ami arrivent tardivement. Octa est assis sur le divan et moi je suis couché à ses côtés alors que nos invités sont respectivement à la table et au comptoir. Nous papotons quand la main d'Octa caresse mes fesses de plus en plus invasive ment. La caresse qui était d'abord sur le dessus de la fesse se déplace doucement vers mon entre-jambe. Je le regarde, sourire en coin, cet homme est parfait ! Je profite de la caresse quelques secondes avant d'être incapable de me concentrer sur la discussion de groupe.

PLAYTIME

Nos invités finissent par quitter puis je demande à Octa d'aller prendre une douche. Pendant qu'il est sous la douche je déplie le divan lit, le couvre d'un drap, ajoute des oreillers, tamise la lumière et amène mon sac de jouet sur la table. Je dépose un tissu de soie rouge sur le coin, une paire d'écouteur et un drap.

L: « Je vais moi aussi aller me doucher et à mon retour je veux que tu sois couché sur le divan, sous le drap, bandeaux sur les yeux et écouteurs dans tes oreilles. Si j'ai quelque chose à te dire je vais te toucher le nez et retirer un écouteur. Autrement, les écouteurs doivent rester dans tes oreilles et le bandeau sur tes yeux. C'est compris ? »

O: « Oui, Mademoiselle »

Nous prenons quelques minutes afin que je trouve également la playlist qu'il écoute dans ses écouteurs pour la faire jouer de mon côté.

L: « Parfait, à tantôt »

Je l'embrasse et me dirige vers la salle de bain pour faire ma toilette. Je revêtis un ensemble confortable et sort de la salle de bain. Octa est couché sur le divan tel que demandé. J'entends la musique qui joue dans ses oreilles et le bandeau semble bien couvrir ses yeux. J'ouvre mon sac de jouet, dépose un drap sur la table puis y dépose les armes de mon crime. Je dispose des chandelles autour pour m'éclairer d'avantage et prends quelques photos.

Je m’improvise une table d’appoint avec unes des chaises pour y déposer les outils que j’utiliserai en alternance. Je la couvre d’une taie d’oreiller et y dépose des chandelles. Je touche le nez d’Octa doucement et retire son casque d’écoute

L: « N’oubli pas le safe word, jaune pour ralentir, rouge pour arrêter. C’est très important ! »

O: « Oui, Mademoiselle… »

Je remets le casque d’écoute et commence la session en frottant un petit bloc de style pierre ponce sur tout le corps d’Octa en variant la force et la rapidité puis en soufflant sur sa peau sur laquelle les frissons apparaissent. Ses mains ne restent pas en place, je dois plusieurs fois taper sa main gentiment pour qu’il cesse de me toucher. Après la 3 ou 4ième fois je me décide à lui menotter les bras au-dessus de la tête. Je le regarde, magnifiquement immobile sur le divan, son corps découpé par la lumière des chandelles qui parsèment la pièce.

Je remets les outils sur la table et décide d’y aller avec la glace et la plume de dinde. Je me suis acheté de grosses plumes d’autruche noires et bien garnies. Je trace des sillons d’eau avec la glace au fur et à mesure qu’elle fond sur son corps, partant de son coup, passant par ses mamelons, mouillant son ventre et effleurant son sexe pour finir sa route sur ses jambes. Je passe ensuite délicatement la plume aux mêmes endroits.

Je range mes outils lentement et choisi sur ma table des tortures d’utiliser la pinewheel. Je m’approche et fait rouler doucement la pinewheel sur sa poitrine pour l’habitué à la sensation. D’abord sans trop de pression, puis j’augmente à la fois la pression et la vitesse. Ses gémissements se font entendre et j’alterne entre caresse et douleur. La pinewheel laisse des traces rouges sur sa peau blanchâtre. Comme nous jouons depuis quelques minutes je décide de prendre dans ma buche une gorgée de son breuvage préféré, puis me penche pour l’embrasser. Je laisse doucement glisser le breuvage de ma bouche à la sienne et le prends par surprise. Ayant maintenu les contacts avec moi au minimum, Octa apprécie le baiser et le fait de se faire abreuver.

Après quelques minutes de ce traitement, je décide de remplacer la pinewheel par mes ongles. Je lacère la poitrine de Octa dabord doucement, puis avec plus d’agressivité. Mes ongles laissent de longues traces rouge vif sur sa peau et il gémit de plus en plus. Pour casser la douleur, je commence à caresser doucement son sexe. À chaque marquage de mes ongles, son sexe grossit et durcis alors que je sourie du coin de la bouche. J’appuie mes ongles de plus en plus en plus fort sur sa peau. Son sexe gorgé de sang sursaute et dégouline de liquide pré-éjaculatoire. Je prends plaisir à faire mes griffes sur lui et moi aussi je suis excité de le voir aussi dure. Je le masturbe de plus en plus, arrêtant juste avant le sommet du plaisir, plusieurs fois d’affilées.

Lorsque je juge que sa peau est assez rouge, je passe au rasage. Dans ma trousse j’ai une lame de barbier, un rasoir, de la crème à rasage et un mousseur. Je recouvre Octa puis vais à la table pour préparer mes outils. Je m’assure de prendre mon temps et fait bouillir l’eau. Je sors la lame, le rasoir puis la crème à raser ainsi que le mousseur que je dispose sur une chaise que j’ai transformer en table de chevet. Je prends une débarbouillette que je mouille à l’eau tiède du lavabo et lorsque l’eau finit de bouillir j'en verse une quantité dans un bol que j’amène jusqu’à ma table de chevet improvisée. Je découvre seulement les testicule d’Octa, que je mouille doucement à la débarbouillette. Je le masse doucement afin que sa peau devienne chaude et humide. Une fois son scrotum détendu, je met la crème dans le mousseur que je fais mousser doucement. Je prends ensuite une bonne quantité de mousse que j’applique à l’aide du gros pinceau directement sur ses testicules pendant que mon rasoir repose dans l’eau bouillante d’un autre contenant. Une fois les bijoux de famille de Octa blanc comme la barbe du père Noël, je sors le rasoir de l’eau et je m’assure que les lames ne sont pas trop chaude dans le creux de mon poignet. Satisfaite, je me met à le raser doucement. Le travail n’aillant pas été fait depuis longtemps, le processus est long et ma patience mise à rude épreuve. J’ai l’impression que ça ne rase pas, même si chaque passage laisse une quantité de poil sur les lames du rasoir. En plus avec le manque d’uniformité de la zone, c’est difficile de faire un travail précis. Je m’arme donc de patience et le rase doucement pendant un bon 30 minutes. Finalement je vois la peau de ses testicules ! Yayyy ! Une fois satisfaite je l’essuie pour enlever la mousse, le crème pour éviter l’irritation et caresse enfin ses bijoux lisses et propres.

Trop doux trop longtemps je décide de changer les choses en lui épinglant plusieurs épingles en bois un peu partout. Je commence par sa main et je trace un chemin jusqu’à son épaule. Je donne des pichenettes sur les épingles déjà en place avant d’en ajouter dans son coup, sur son torce, puis le long de ses hanches puis finalement sur ses testicules. Ahhh, magnifique ! Sous le couverte, son sexe se tends… Je laisse donc les épingles en place et commence le même processus de l’autre côté sur son bras droit. Maintenant, je décide de tirer sur les épingles et je l’entends qui chigne. Je saisi son sexe dans ma main et le branle durement pendant que je continu de tirer sur les épingles de façon erratique. Il gémit de plus en plus fort et lorsque je crois qu’il est sur le point de venir je cesse brusquement mon geste et retire ma main. Je reste quelques secondes en attente le temps qu’il reprenne son souffle. Puis, je tire sur les épingles sans aucune doucement alors qu’il gémit encore plus fort, son sexe toujours bien bandé.

Une fois les épingles enlevées je promène mon flogger en suède partout sur lui, comme une caresse. Je m’attarde entre ses cuisses, sur ses pieds, sur ses épaules… Pendant de longues minutes je caresse son corps qui rougit doucement du jeux des épingles.

Lorsque sa respiration à reprise son cour normal, je sors ma cuillère en bois et m’installe entre ses jambes. Je commence pas tapoter doucement l’intérieur de ses cuisses, ses bras, puis je laisser doucement glisser la cuillère sur son torse jusqu’à son sexe au repos. Je le tape doucement, attentive à sa réaction. Je descends sur ses testicules que je tape doucement également du revers de la cuillère. Aucune réaction. Eh bien… J’augmente doucement la force, surprise moi-même de son endurance. Encore plus surprise je suis, quand son sexe redevient dure sous les coups ! Je note mentalement le potentiel d’Octa d’être un bon candidat pour le CBT (cock-balls-torture). J’agrippe donc son membre et le masturbe tout en lui infligeant des coups sur ses couilles. J’augmente la rapidité de la caresse mais aussi celle des coups alors qu’il se tortille entre douleur et plaisir. Je cesse de frapper ses bijoux de famille mais continue de le branler. Il jouit fortement, partout sur son ventre, enterrant la musique de ses gémissements. Je lui laisse quelques secondes pour se remettre, puis l’essuie avec la serviette toujours sur la table de chevet. Je le recouvre puis nettoie un peu autour. Puis, je descends doucement le volume de son casque d’écoute, puis lui retire. J’enlève ensuite son bandeau et je l’embrasse. Lorsqu’il ouvre les yeux, je le sens un peu groggy et me colle contre lui quelques minutes le temps qu’il revienne sur la planète terre.

Je lui pose quelques questions sur son expérience, ce qu’il a aimé, moins aimer etc…. Il est 1h du matin et je suis certaine que demain nous aurons une discussion très intéressante sur cette première séance demain à tête reposée.

Good boy




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