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Noir et blanc Résumé Texture
Photo du rédacteurLexia White

#61- PLAISIRS D'HALLOWEEN

Dernière mise à jour : 13 déc. 2021




Après notre première rencontre très pieuse en Beauce, moi et @CallMeDomWolf comptions les dodos avant de nous revoir. Enfin le 31 octobre arrive et c'est suite à une session de tatouage que je retourne chez moi me préparer pour le recevoir. J'ai acheté des draps de sa couleur favorite afin qu'il sache que mon lit est propre et que personne d'autre que lui et moi n'a dormi et ne dormira dans ses draps. Je lance donc une machine pour laver mon lit et les nouveaux draps, puis je prépare le lit. Je ramasse rapidement un peu partout mon petit bordel habituel. J'avoue être légèrement nerveuse tout de même, nous avons beaucoup parlé de nous embrasser et je sais que j'aurai le goût dès que je le verrai. Dire qu'il était dans la même ville toute la matinée, ça me fait tout drôle ! J'enfile rapidement mon collier d'esclave à sa demande lorsqu'il cogne à la porte. Je lui ouvre souriante, heureuse d'enfin le revoir. Il enlève son manteau sous lequel il porte une chemise roses pâles, des bretelles et un nœud papillon. Owww, comme il est beuuuuu. Dès qu'il dépose ses choses je m'approche pour un câlin pour lequel j'avais préalablement eu le consentement. J'ai le nez dans son manteau et j'entends son cœur battre fort dans sa poitrine.

Je lui propose un tour de mon logis, fière que ce que je possède soit simple et joli. J'ai mis de l'amour dans le choix des meubles et des couleurs et je suis fière d'avoir un environnement qui me ressemble ! Nous restons un peu dans la chambre sur le lit à discuter. Je le sens nerveux et je me dis que la chambre n'est peut-être pas le meilleur endroit... Je propose donc de souper puis d’écouter un film. Nous mangeons en discutant et migrons ensuite vers le salon pour écouter un film que j'ai choisi et que je voulais voir depuis longtemps. Alors qu'il sort son matériel pour se rouler un joint je sors une plateau miroir de dessous ma table de salon

L: « Ben moi j'ai ça que j'ai acheté mais qui ne sert à rien parce que je ne l'utilise jamais alors... »

CMDW: « Bon ben je peux prendre ça aussi, au moins ça servira ! »

Je n'ai pas fumé depuis vraiment longtemps et j'accepte tout de même de prendre quelques touches.

L: « Je vais surement gracieusement m'étouffer parce que à la pipe c'est moins arsh sur la gorge »

CMDW: « Moi je fume tellement que c'est rendu ça change pu grand-chose, mais j'ai toujours préféré les joints » L: « Anyway moi je roule tellement mal, la pipe réglait mon problème par la bande... »

CMDW: « Gah, moi je roule avec une rouleuse... »

L: « What ? Je n'avais même pas remarqué ! Bon le temps que tu roules je vais aller prendre une douche... »

Je sors de la douche et le vêtit une ample robe longue noir et me dirige à côté de lui sur le divan. Je me demande si c'est approprié de lui demander de mettre de la crème sur mon nouveau tatouage ? J'arrête de me questionner et lui demande :

« Voudrais-tu me crémer ? »

Nous continuons de discuter alors que le joint circule entre nous. Après seulement deux touches je sens déjà mon cerveau prendre des vacances et j'espère que ça ne parait pas trop.

Nous nous installons confortablement main dans la main dans un tas de couvertes et d'oreillers. Nos mains restent sages, se déposant doucement sur la main de l'autre puis sur la cuisse, le genou ou nos avant-bras. Au fur et à mesure que le film avance, nous sommes plus à l'aise et bien qu'appréciant le simple contact de nos peaux, ce contact évolu en douce caresse. À un moment je me dis que c'est bien sage tout ça et je fais cliqueter l'anneau de métal de mon collier. Ce bruit trigger Wolf et je le sais que trop bien...

« Ahhh criss... » qu'il dit en serrant les poings

« Oups, je n'ai pas fait exprès... » que je réponds mielleuse à demi-ton

CMDW: « P'tite criss, je sais bien que oui… »

« Tu sais bien que jamais j'oserais ... » que je lui réponds en riant

CMDW: « Hmmmm, tu te magasine des claques toi... »

Je ne réponds rien et retourne au film lorsqu'il agrippe mon collier par l'anneau et me tire vers lui. Je tombe dans ses bras, le nez dans son coup. Il joue pendant quelques minutes avec mon coup, puis mes cheveux qu'il tire sans trop de douceur. Je suis de moins en moins concentrée sur le film et j'ai de la difficulté à respirer normalement. Il tire le collier vers le haut ce qui me redresse et nous nous retrouvons bouche à bouche. Quelques secondes de flottement puis nous nous embrassons. Hmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm, comme ce baiser est dé-li-ci-eux !!! Vous savez, il existe des baisers dégueulasses, des baisers corrects et des baisers incroyables. Ce baiser est dans la catégorie des incroyables, Mesdames et Messieurs. Ses lèvres sont douces mais pas trop molles, ni trop fermes. Lorsqu'il glisse sa langue dans ma bouche, c'est comme s'il murmurait à l'oreille de mon vagin. J'ai connu toutes sortes de baisers : trop de salive, trop de pression avec la tête, me faire enfoncer la langue dans le fond de la gorge, trop de langue qui tourbillonne, les petites langues pointues hyperactive, les grosses langues qui t'étouffent pantouflardes... MAIS SA LANGUE DANS MA BOUCHE. In-cro-ya-ble. La parfaite caresse buccale. Ses mains sont toujours dans mes cheveux, puis dans mon coup, puis contre mon collier d'esclave. Je perds un peu la tête et mes mains aussi courent un peu partout sur lui. Je me rappelle qu'il n'est pas confortable avec certaines caresses et je tente de me rappeler qu'elles parties me sont interdites mais argggh, c'est difficile. Je passe doucement mes ongles dans son coup, je longe sa mâchoire, enfonce mes doigts dans ses cheveux, caresse son coup et sa clavicule. Ma main descend centralement le long de son torse fin et je tente de trouver une entrée sous son chandail pour toucher sa peau. Je ressors de dessous le chandail et puis ma main se dirige sur son bas ventre par-dessus son pantalon ... Je sors de ma torpeur, habituée au renflement du membre masculin cis comme indicateur de désir. Je panique quelques secondes, me demandant comment je fais pour savoir si ça lui tente. Je me trouve un peu nounoune, ciboire déniaise Lexia. Toi quand t'es excitée tu te frotterais sur tout et n'importe quoi non ? Bon. Partons de là. Je continue donc mes caresses, je me sens tellement maladroite ! Wolf est fait très fin, autant ses hanches que ses cuisses et ça me prends quelques minutes trouver mes repères. Je crois caresser son sexe par-dessus son pantalon avec autant de certitude que quelqu'un perdu dans le bois pas de carte. Esti what about que je ne touche pas DU TOUT à bonne place ?!? Et si j'étais à Berlin au lieu d'être à Paris ?! Oh la honte. Je tente de me concentrer sur ses réactions comme boussole de mon incompétence. Je me sens toute coincée dans son boxer, je ne suis même pas certaine d’être entre ses jambes, j’ai peur de lui faire mal avec mes longs ongles, j’ai le poignet tout croche, les doigts tout croches… Mes caresses sont maladroites et bien sûr n’ont pas l’effet escompté. Ma main baladeuse quitte son pantalon pour remonter le long de son torse et dans ma tête, je suis inquiète de ne pas l’exciter, de ne pas savoir comment le toucher et qu’il me trouve novice et ennuyeuse. À défaut de pouvoir get in his pants je me dis qu’au niveau tango des langues ça le faisais bien alors je l’embrasse à nouveau, toujours collée contre lui. Après quelques minutes à profiter de la bouche de l’autre, la température monte à nouveau alors que sa main prends régulièrement possession d’une poignée de cheveux et que mes bras reposent dans son coup. Il met soudainement fin au baiser

CMDW: « N'oublions pas le film... »

Je reste pantoise devant l'écran, les cheveux en bataille, le cerveau dans un brouillard de cannabis, le vagin engourdi et le cœur qui palpite. Lorsque le film finit j'ai les yeux qui commencent à fatiguer et nous fumons un dernier joint en discutant. Je suis heureuse que la discussion soit plus facile, je dois avouer que ça me rendait un peu nerveuse car en Facetime il y avait souvent des moments de silences comme si nous n’avions rien à nous dire en réalité. Heureusement, ce n’est plus trop le cas ! C’est l’heure de dormir et nous allons dans la chambre pour nous coucher. Wolf se couche dans mon lit, dans les draps bourgognes achetés pour lui et je le trouve beau. Je ferme les lumières et vient me blottir contre lui en espérant que ça ne le dérange pas trop. Je me sens souvent trop collante et j’essaye de faire attention pour ne pas être étouffante. Il ne faut que quelques secondes dans le noir pour que nos bouches se trouvent à nouveau et qu’encore une fois l’excitation s’empare de nous. Nos mains se caressent respectivement alors que sa main se faufile entre mes jambes pour caresser mon clitoris. Je soupire, appréciant la caresse, puis gémis. L’excitation monte, mais avec mon piercing pour jouir c’est parfois un peu plus complexe même si Wolf me caresse pendant un bon moment et qu’il est assez habile. Je veux moi aussi lui donner du plaisir, consciente de mon inexpérience ma main reste au-dessus de ses boxers. Il saisit ma main, tire sur son sous-vêtement et dépose ma main au creux de ses jambes. Je panique un peu à l’intérieur et me raisonne, après tout nous ne sommes pas pressés et il faudra bien que je prenne le temps de découvrir adéquatement son corps un jour ou l’autre.

Au début je suis timide et mes doigts restent surtout sur le devant de son sexe, gênés. Je tâtonne, c’est bien le cas de le dire ! Je caresse tantôt l’intérieur de ses cuisses, tantôt sa queue que je sens gonflée contre mes doigts. Je le stimule doucement et j’entends sa respiration qui s’accélère. Ça me redonne un peu confiance, mais j’ai toujours peur de lui faire mal avec mes ongles trop longs et trop pointus. J’ai envie de sentir son excitation alors ma main plonge plus profondément entre ses jambes et j’y découvre son sexe complètement mouillé. Ça m’excite terriblement de le savoir lui aussi si excité et je plaque mon corps contre le sien. Je l’embrasse partout : le coup, les épaules, le torse, les hanches, le ventre puis je descends jusqu’à sa queue. J’aime sentir ses poils cours contre ma bouche et quand je glisse ma langue contre sa queue…hmmm…comme il goûte bon ! J’aime la sensation de sa queue gonflée contre mes lèvres et ma langue. Je le lèche d’abord doucement, puis me rappelle qu’il apprécie grandement son jouet à succion et je me fais la promesse qu’éventuellement je serai aussi bonne que son jouet ! Je passe donc un bon moment à lui procurer du plaisir avec ma bouche, attentive à ce qui fonctionne et fonctionne moins. Je le suce la tête enfoncée entre ses jambes alors que ses gémissements sont de moins en moins subtils. Ohhh, comme j’aime l’entendre !!! Je suis tellement, tellement, tellement excitée mais en même temps tellement, tellement, tellement concentrée pour essayer de lui donner le plus de plaisir possible. Ses gémissements sont de plus en plus fort et j’aime pouvoir prendre mon temps pour bien le sucer, sans crampe de mâchoire ou de contorsion pour ne pas l’accrocher avec mes dents ou encore devoir retenir mes gag reflex. J’aime que le sexe oral ne soit pas une discipline Olympique ! Je ne sais pas trop si je peux toucher son corps alors je garde mes mains sagement posé sur ses hanches pendant que ma bouche s’occupe de le faire gémir. À un moment je me demande si j’ai réussis à le faire jouir, il saisit ma tête et bascule par-dessus moi, hmmmmm…Ma main se faufile sous son boxer pour le masturber doucement, si jamais il a déjà eu un orgasme rien n’empêche de lui en donner un autre ! Sa bouche dans mes cheveux me confirme que le plaisir est encore au menu alors que ses gémissement augmentent crescendo. Ses jambes se crispent contre les miennes, alors que son sexe est encore plus mouillé. Je tente de conserver la même vitesse et le même mouvement, et lorsque je crois être toute proche de le faire jouir, CRAMPE AUX DOIGTS !!!!! Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn…

*bruit de piano tragique*

Définitivement j’ai perdu le momentum. Un peu déçue de ne pas avoir réussi à le faire jouir je me colle contre lui alors que sa respiration est saccadée. Owwww, comme il est mignon ! Je tente de reprendre mes caresses mais la motivation n’y est plus. Nous nous enlaçons et nous embrassons à nouveau avant de tomber dans un sommeil profond…

01 novembre

Ouffff, quel matin ! Mon alarme sonne et je l’éteint doucement. J’avoue qu’avec lui dans mon lit je n’ai pas trop envie d’aller travailler ! Je l’enlace et profite de sa chaleur. Ohlalala, c’est pas avec ce genre de weekend et de nuit qu’on vas rester bien sagement partenaire BDSM j’ai l’impression… J’espère ne pas tout fuck up , je chasse cette idée de ma tête, préférant ne pas m’en faire avec les détails de notre toute récent relation… Je me rappelle que j’ai acheté un beau petit choker mauve comme collier de jour et que je lui avais promis de lui remettre ce weekend. Je me lève donc, nue, ouvre mon garde-robe et détache le collier. Je m’installer dans le lit, en nadue, pour lui offrir le collier. Je suis gênée, le moment est un peu mal choisi mais si j’attends d’avantage j’ai peur d’oublier de lui donner… Je fixe donc le sol, en attente. Silence. Wolf prends le collier de mes mains, du coin de l’œil je le vois le manipuler et le regarder

CMDW: « Hmmmm, très joli…C’est comme ça tu me fais ta demande ? »

L: « Hmmm…Oui…j’avais peur de manquer de temps… »

Il saisit mon menton avec ses doigts qu’il remonte doucement, puis me passe le collier au coup. J’ai le cœur qui bat fort, c’est tellement important ce moment et en même temps j’essaye de me parler et de me dire qu’on est simplement playpartner et que c’est bien correct etc…

CMDW: « Ça te va bien… »

« Merci… » que je réponds gêner en tripotant le collier

L: « Le premier bouton est serré, j’espère qu’il le sera moins avec le temps… »

CMDW: « À force le cuir vas prendre un peu de lousse alors tu devrais être plus confortable… Veux-tu je le mette moins serré ? »

L: « Oui s’il-te-plais»

Wolf ajuste mon collier puis j’enfile mon pyjama et me lève.

L: « Je pensais faire des œufs brouillés aux légumes pour déjeuner ? »

CMDW: « Tu sais que je mange pas beaucoup… »

L: « Oui je sais, un café alors ? »

CMDW: « Avec plaisir ! »

Je commence à cuisiner nos œufs brouillés oignons champignons alors que Wolf s’installe à la table pour rouler son joint du matin. Nous discutons tout en vaguant à nos occupations et j’avoue que ça fait un peu drôle d’avoir quelqu’un avec moi le matin ! Je nous sert un chocolat chaud au moment où il finit de rouler puis je sers le déjeuner quelques minutes plus tard. Nous mangeons en discutant puis sortons sur le balcon. Mes 2 heures sont vites écoulées et je dois partir travailler. Nous nous enlaçons, nous embrassons puis nous souhaitons à tout à l’heure puisque Wolf dors chez moi encore ce soir et que nous dinons ensemble ce midi.

Durant la journée je reçois des photos coquines de Wolf qui fait sa salope dans mon appartement, hmmmmm, comment me déconcentrer sur les heures de travail ! Je reçois de magnifiques photos et j’avoue que ça me fait un petit velours de le savoir chez moi.

De retour en soirée je cuisine le souper, passe proche de le faire brûler et passe mon temps à vouloir l’enlacer ou l’embrasser. Je me parle, tsé on est pas un couple non plus, et s’il me trouvait fatigante ? Je repousse cette pensée et me dit que si c’est le cas il aurait intérêt à me le dire, simplement. Depuis quelques mois j’arrête de vouloir être au-devant des sentiments des autres et je préfère les laisser gérer leur émotions si et au moment où ça se présente. J’ai fait ça toute ma jeunesse : toujours m’en faire à essayer de deviner comment les gens autour de moi sont en train de se sentir ou de faire de l’anxiété sur comment ils vont réagir et j’ai développé des habitudes malsaines et drainantes desquelles je tente de me détacher. L’heure du dodo va venir vite et nous décidons donc d’écouter un film. Ce n’est pas très long que nos bouche se cherchent et que nos mains se font baladeuses. Nous terminons toutefois le film avant d’aller au lit. Une fois dans la pénombre je me déshabille et vient me blottir contre lui. Je frotte doucement mes fesses contre son bassin, j’ai pensé toute la journée à lui et à ma bouche sur sa queue. Je me dirige doucement au pas de milles baisers vers son entre jambe et dépose ma bouche contre sa queue, déterminée à lui donner du plaisir. Je le suce un bon moment, encore concentré à écouter son corps me dicter ses préférences. Ohlalala, ses gémissements, je ne crois que je ne pourrais plus m’en passer maintenant ! Il m’obsède ! Après un moment particulièrement intense qui le laisse tremblant, il remonte doucement mon menton et je viens me blottir contre lui. Ses mains sont partout sur moi et il descends pour me donner un cunnilingus quelques instants plus tard.

02 novembre

Le cadran somme, je repousse l’alarme de 5min et me blottit dans les bras de Wolf. Comme nous sommes bien ! Comme il est beau de si bon matin ! Je souris doucement, puis caresse son corps encore chaud de cette nuit de sommeil. Ses mains parcourent mon corps et je réalise que j’ai encore envie de lui. Les matins ne sont pas particulièrement serrés mais je n’ai pas non plus beaucoup de temps. Je prends ses mains que je dépose doucement sur ma poitrine en espérant lui faire comprendre qu’il peut les agripper et les mordiller tant qu’il veut ! Je soupire… Une autre journée excitée au travail semble-t-il ! Une idée me vient en tête : je commence moi aussi à faire mon agace, je l’embrasse partout puis je descends rapidement entre ses jambes pour le prendre dans ma bouche. Je connais maintenant mieux ce qu’il préfère et je m’emploi à lui offrir le meilleur 20 secondes de fellation du monde.

« Hmmmm, tiens comme ça on sera deux excités ce matin ! » que je lui dis en me relevant et quittant le lit en rigolant

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