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Noir et blanc Résumé Texture

#36- HOMME MANUEL

Dernière mise à jour : 1 déc. 2022



Aujourd’hui au boulot la journée s’annonce longue : mon premier gros projet à réaliser. Plusieurs personnes à encadrer de différents quarts de métier. J’arrive donc tôt au boulot dans un habit confortable du genre legging et camisole sport, rien de très cute mais comme je risque de courir toute la journée…J’attends que toute l’équipe arrive lorsqu’un employé du quart de métier arrive. Je reste plutôt surprise, il a des yeux d’un bleu magnifique, une petite barbe brune tenue courte et il se prénomme Mathieu. Nous nous serons la main rapidement pour faire les présentations puis je le dirige vers un autre employé qui lui montrera le projet afin qu’il puisse s’y atteler sans perdre de temps.

Plus tard dans la journée je retourne sur les lieux du projet afin de superviser le tout. Je n’avais pas remarqué mais Mathieu a vraiment de belles mains : immenses, bronzées, les veines bien apparentes et les ongles bien taillés et propres. Je crois que je fixe trop longtemps ses mains car je le vois qui regarde ses mains à son tour, interrogateur, puis qui me regarde en me faisant signe pour savoir ce qui cloche avec ses mains. Je dois rougir car il me sourit toujours interrogateur et je lui fais signe d’oublier ça. Un beau sourire blanc, les dents légèrement espacées mais droite ajoutant un certain charme à l’homme. Nous travaillons ensemble une bonne partie de l’avant midi et sa proximité me trouble légèrement. L’espace est restreint et nous venons souvent à être très proche, je remarque qu’il sent bon et que sous son casque de construction il a les cheveux longs. Je laisse mes yeux plongés dans les siens quelques secondes de trop à plusieurs reprises, lui lançant des petits sourires tout en me rendant plus utile que ce qu’il aurait été nécessaire de faire en temps normal. J’essaye de l’impressionner avec mes habiletés manuelles et lorsque je commence à l’aider pour défaire une installation avec un tournevis je vois qu’il me regarde avec surprise. Nous travaillons ainsi pendant un bon moment, puis je remarque son regard qui glisse de mon coup à ma poitrine. Je me demande bien ce qu’il regarde, mon uniforme n’étant pas très intéressant. Je me rends compte qu’en travaillant les deux premiers boutons de mon uniforme se sont détachés s’ouvrant sur mon top de sport très serré et sur ma poitrine en sueur. Je souris puis le regarde, utilisant une feuille de papier pour me ventiler en laissant les deux boutons bien ouverts. Il rougit, mais soutient mon regard alors que je me penche suggestivement vers l’avant

L : «Hmmm, Mathieu je crois qu’on vas pouvoir laissé ça comme ça pour aller dîner on viendra finir ensuite…T’en pense quoi ? »

M : «Ouin je pense que pour l’instant c’est bon de même, je commence à avoir faim…»

Je rattache mes deux boutons et nous nous dirigeons vers la cafétéria. Je lui montre les installations et lui propose de s’installer le temps que je vais à la toilette ma rafraichir

L : «Il fait tellement chaud ! Je suis dégueulasse de sueur ! » que je dis en riant

M : «Oui je pensais pas qui ferait aussi chaud, heureusement que dans notre quart de métier on est habitués de travailler dans des conditions de même…toi par contre ça doit pas être super commun ? C’est rare que je vois les gens avec ton type de poste qui viennent directement sur les chantiers…»

L : «Ahaha, c’est vrai que c’est pas commun mais je dois me familiariser avec les installations, les gens, les équipes alors c’est plus simple comme ça. Je dois être au courant un minimum du processus pour le refaire les prochaines fois…»

M : «Ouais c’est sur que desfois faut avoir de ses yeux vus ! »

L : «Yep, bon je reviens ! »

Je me dirige vers les toilettes mixes dans l’intention de m’enlever une couche de sueur avec une débarbouillette. Je barre bien la porte derrière moi et retire mon uniforme : veste et pantalon que j’accroche à la porte principale. Déjà l’air climatisée des toilettes me fait du bien, j’entreprends ensuite de me rincer au lavabo à l’eau froide. Lorsque j’ai fini, toujours en culotte et en top de sport, je me rends dans le cabinet de toilette pour y faire mes besoins lorsque la porte s’ouvre. Mon cœur ne fait qu’un tour, je n’ai pas bien barré la porte ?? Je pense aussi à mes vêtements accrocher à la porte…J’entends le bruit de porte que l’on verrouille et de vêtements que l’on retire, je ne dois pas être la seule à avoir eu l’idée de venir me rafraîchir ici… Je me gratte la gorge pour signaler ma présence.

L : «Hmmm, qui est là ?»

Inconnu : « Oh, fuck, je pensais que j’étais seul !»

Je reconnais la voix de Mathieu

L : «Mathieu ?»

Inconnu : «Oui ?»

L : «C’est Lexia du chantier #10, je suis dans le cabinet du fond…Heuu…Peux-tu m’amener mon uniforme au dos de la porte s.t.p ? »

M : «Oups heu, oui bien sûr ! »

Bruit de pas qui se rapprochent, j’entrouvre la porte du cabinet pour prendre mes vêtements. Lorsque je tends la main je vois les yeux de Mathieu qui reluquent mon corps, puis je remarque qu’il est lui-même torse nu. Hmmm et quel torse : mince et découpé juste ce qu’il faut en plus d’être bronzé, le résultat de son travail physique et je prends quelques secondes moi aussi pour profiter de la vue puis nous nous regardons gênés. J’ouvre la porte plus grande pour le laisser me voir bien comme il faut.

L : «Je n’avais pas tout à fait finit de me nettoyer, ça te dérange si je finis (mensonge, j’avais déjà finit…) ?»

M : «Non aucun problème, préfère-tu que je sorte et revienne quand tu auras finit ?»

L : «Clairement tu es déjà torse nu, venu faire la même chose que moi et tu m’a déjà vu en sous-vêtements…donc non tu peux rester ! » que je réponds en riant

M : «T’es certaine, je veux pas qu’il y est de malaise…» qu’il me demande incertain

L : «Quel malaise ? La vue est plutôt agréable non ?» que je demande taquine

M : «En effet, en effet…» qu’il répond en me détaillant de la tête au pied.

Je me dirige donc vers le lavabo, savon en main pour me laver complètement. Lorsque je passe derrière Mathieu je dépose ma main dans son dos et l’effleure doucement avec mes seins le temps de quelques secondes. L’air est électrique, nos regards se croisent dans le miroir, puis je laisse ma main s’attardée dans son dos doucement jusqu’au bas de ses reins. Pendant un instant je me rappelle que nous sommes sur un lieu de travail et retire ma main, inquiète d’avoir peut-être été trop loin. Mathieu semble comprendre mon inquiétude, se retourne et redépose ma main doucement sur son torse.

M : «Tes mains sont fraîches, et minuscules…» qu’il me dit encore ma main dans la sienne

Je prends quelques secondes pour remarquer qu’en effet ses mains comparativement aux miennes sont immenses

L : «Toi t’es mains sont énormes, comparés aux miennes !»

Nous rions quelques instants en comparant nos mains puis je remets ma main contre son torse

L : «J’ai un fétiche des mains…»

M : « Je savais même pas que ça existe…Ça consiste à quoi ? »

L : « Par exemple, j’avais déjà remarqué que tes mains sont magnifiques quand tu travaillais… Je les ai imaginées autour de ma gorge…j’ai, j’ai imaginé lécher tes doigts… j’ai imaginé tes mains en train de saisir mes seins… » que je réponds gênée mais honnête n’osant pas le regarder dans les yeux

Je me dis qu’il va me trouver bizarre et qu’ensuite ça vas mettre un de ses froids au travail … Au contraire il se rapproche et me dit doucement :

« Tu t’es imaginée quoi d’autre Lexia ? »

L : « Hmmm, j’ai imaginé ton torse ferme sous ton t-shirt... » que je dis en promenant ma main sur son torse encore en sueur

L : « Ensuite je me suis imaginée tes petites fesses sous ton jean » que je réponds en glissant mes mains sur ses fesses pour les tripoter en riant

Nos corps sont maintenant plaqués un contre l’autre, j’entends le bruit de l’éclairage au néon ‘’bzzzz’’, nos bouches si proches l’une de l’autre que je peux sentir l’odeur de menthe de son chewing-gum à la menthe.

M : « Ça serait dommage de te laisser avec une idée trop sage de moi…» qu’il me réponds en saisissant ma nuque

L : «Hmmmm…» que je gémis doucement ma bouche contre la sienne

Sa main sur ma nuque saisi ma queue de cheval, puis il plaque sa bouche contre la mienne. Ses lèvres sont douces et le baiser est bon, intense. Nos mains sont partout, touchant tout ce qu’il est possible de toucher. Il m’agrippe par le cul et me soulève pour me déposer sur le comptoir du lavabo. J’enroule mes jambes autour de sa taille et je le sens déjà très dure alors que je me frotte contre lui.

M : « Toi…ayoye…»

Il tire sur mon top de sport, je suis sein nue. Il les agrippe de ses grosses mains puis se penche pour en mordiller un alors que je passe ma main dans ses cheveux pour en défaire l’élastique. Je caresse ses cheveux alors que sa tête est entre mes seins, lichant, mordillant. Je gémis de plus en plus et son jean est de plus en plus tendu, je défais habillement le premier bouton, ouvre la fermeture éclair et caresse son sexe bandé tandis que sa main se rends à mon entre jambe déjà trempée au travers ma culotte. Il caresse un peu mon clitoris alors que ma respiration s’accélère. Il m’arrache pratiquement ma culotte et écarte mes jambes

M : « T’es déjà toute mouillée…Oh wow ta chatte…et ton piercing…J’ai envie de te manger…mais ce sera pour une prochaine fois !»

Il me pénètre de deux doigts, atteint mon point G sans trop de difficulté et me dit :

M : « Je suis certain que tu peux squirt…Tu vas squirt pour moi ma belle ?»

Je lui fais signe que oui

Il stimule mon point G alors que je caresse toujours son sexe, mais j’ai de plus en plus de difficulté à me concentrer sur ma tâche et mes gémissement sont de plus en plus fort même si je dois faire attention à rester discrète

M : « J’aime ça t’entendre petite allumeuse…Je vais baisé ta chatte ensuite, tu vas toute être mouillée de ton éjaculation…Allez…»

Sa respiration rauque dans mon oreille, sa main contre ma gorge et sa pénétration déclenchent une éjaculation forte et orgasmique. Il envoi quelques claques complètement détrempée sur ma chatte puis me demande :

«Met-toi debout face au miroir je veux voir ton cul…»

Un peu étourdie de mon orgasme j’obéis, me lève et me retourne, puis je me penche doucement en ondulant des fesses

M : « Ton cul…Ahhh…»

J’entends le bruit des pantalons que l’on descends, puis je sens son gland qui se frotte à l’entrée de ma chatte. Je l’entends qui grogne derrière à mesure que je frotte mon sexe contre le sien. Sans plus attendre il me pénètre, son sexe n’est pas très long mais plutôt large et je sens qu’il m’écarte bien. Penchée contre le lavabo, il tire mes cheveux et me effectue un vas et vient brutal. J’adore le son de ses couilles qui frappent contre mon clitoris mouillé de mon éjaculation. Ses grognements sont excitants et il me demande de me caresser pendant qu’il me pénètre car il ne pourra pas faire durer le plaisir trop longtemps. Je me caresse et j’atteins un orgasme à la fois vaginal et clitoridien, quelques secondes plus tard il éjacule sur mes fesses en agrippant mes seins.

Nous reprenons quelques secondes notre souffle alors qu’il m’envoi quelques claques sur les fesses.

M : « La prochaine fois j’aimerais bien baisé ton cul et manger ta chatte… »

L : « Hmmm, j’aurais bien aimé te sucé aussi » que je dis en essuyant son sperme sur mes fesses et en me recoiffant.

Nous nous lavons mutuellement de façon très sommaire tout en papotant et repassons rapidement nos vêtements. Nous échangeons quelques baisers conscients que cette petite vite n’était qu’un amuse-gueule, l’envie toujours latente entre nous, puis nous retournons rejoindre nos collègues à la cafétéria. À la fin de la journée Mathieu passe par mon bureau en prétextant un suivi sur le chantier et me laisse un petit mot avec son numéro de téléphone

« J’attends ton appel, un seul orgasme ce n’est pas assez … »

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