#50- CAMPING SAUVAGE

Il fait gris et l’eau du lac est terriblement froide. Je me force à entrer jusqu’à la taille et plier les genoux pour me mouiller jusqu’au coup et me savonner rapidement. Grelotante, heureuse de me laver pour enlever les nombreuses couches de chasse-moustique. Je sors de l’eau et enroule mes hanches dans une serviette moelleuse puis me rends à la table de piquenique. Je passe devant @Daevore et je sens son regarde sur moi.

D : « C’est une belle vue ça ce matin… »

L : « Ah oui ? » que je lui demande innocemment

Il se place devant moi, bloquant le passage. Ses doigts se promenant sur ma poitrine, couverte de frisson.

D : « Hmmm oui, c’est un bien joli maillot… »

L : « En effet, ça ne couvre pas grand-chose, c’est un micro bikini… »

D : « Tes seins sont magnifiques… »

Ses doigts effleurent mes mamelons bien dressés sous le mince tissu encore mouillé qui colle à mes seins, ne laissant que très peu de chose à l’imagination. @Daevore pousse doucement le haut du bikini, révélant un mamelon claire rosé couvert de chaire-de-poule. Le contraste de sa main chaude et bronzé contre mon sein pâle et frissonnant est magnifique. J’aime la sensation de frisson dû au froid et le mélange du vent sur mon corps. Il caresse mes seins quelque seconde puis passe dans mon dos alors qu’il agrippe ma poitrine à deux mains. Je gémis doucement avant de faire quelques pas vers l’avant pour récupérer quelque chose sur la table. Alors que je m’apprête à m’assoir sur la table, la serviette attachée à mes hanches tombe au sol.

L : « Oupelay» que je dis en me penchant pour la rattraper

Lorsque je me penche pour récupérer ladite serviette je remarque les yeux de @Daevore qui reluquent mon cul. Je souris et prends bien mon temps pour la ramasser et ensuite je la dépose sur la table.

L : « Tiens je crois que j’ai besoin de l’ouvre-canne dans le sac au fond » que je mentionne agenouillée sur le banc de la table, penchée vers l’avant.

Je l’entends rire et se rapprocher

Il m’envoie une première claque sur les fesses, puis une deuxième. Pas très fortes au départ, elles gagnent en intensité alors qu’il gagne en confiance. Je m’agenouille plus confortablement sur le banc en tirant la serviette sous mes genoux, sort les fesses et arche le dos. Je gémis doucement sous chaque coup, excitée d’être ainsi le cul au vent contre la table en bois, face au lac. Entre deux claques il frotte son sexe bandé contre mes fesses alors que j’ondule du bassin pour mieux l’exciter. La fessée reprend, plus intense. Mes cris sont forts et francs, je n’ai aucune raison de me retenir au fin fond du bois et ça fait un bien fou ! Il caresse doucement mes fesses lorsqu’il me mentionne :

D : « Tes fesses vont me rendre fou, la vue est magnifique quand ton cul est rouge comme ça...»

L : « Ah oui ? Hmmm, une photo peut-être ? »

Je l’entends qui farfouille et sort son téléphone et prends quelques photos alors que je réalise que nos effets personnels laissés sur la table ne seront pas très esthétiques. La fessée reprends et j’ai tellement de plaisir à l’idée qu’il expose ses photos que lorsqu’il glisse ses doigts sous le tissu encore mouillé de l’eau du lac de mon maillot de bain et qu’il constate que mon sexe est complètement mouillé d’excitation. Il plaque ma tête contre la table en bois et me dit :

« J’aime vraiment te faire mal, ça t’excite tellement...»