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Noir et blanc Résumé Texture
Photo du rédacteurLexia White

#45- LUXURE

Dernière mise à jour : 19 mars 2022





Je finis ma semaine de travail et je me diriger chez moi, épuisée. Avec toute cette crise, le travail n’a pas manqué et j’ai dû combler deux postes et faire du 6 jours semaine à raison de 10-12h par jour. Je suis heureuse, ce sera mon premier week-end complet depuis 1 mois ! Lorsque j’arrive chez moi je trouve l’équivalent d’une boîte à chaussure sur le pied de ma porte. Je n’attends pourtant plus rien d’Amazon ? Intriguée je saisie le paquet et ouvre la porte. Je dépose tous mes sacs sur le coffre en bois antique de l’entrée et me penche sur ce colis inattendu. Ça ne semble pas venir d’aucune compagnie de livraison, pas lourd pas léger. Je déchire le sac, c’est une boîte à soulier d’une marque bon marché et à l’intérieur une rose mauve, magnifique avec ses teintes de pourpre et de lilas. Une note rédigée à la main l’accompagne :


« Mademoiselle White,

Afin de célébrer ce premier week-end de congé, vous êtes conviée chez Monsieur St-Onge du samedi 10h jusqu’au dimanche midi à l’adresse inscrite ci-dessous. Voici la marche à suivre :

1. Amenez avec vous les éléments listés ci-dessous

2. Suivre la procédure telle que d’écrite pour votre arrivée à l’annexe A

3. Envoyez une copie de votre liste de limite ce soir même.

4. Apprendre les positions en annexe B

5. Première consigne : interdiction de m’embrasser

Soyez assurer que vous serez bien traitée et laissez mes coordonnées à une personne de confiance avant votre départ,

Au plaisir de vous voir samedi »


Je prends le temps de lire la note puis la procédure d’arrivée ainsi que les coordonnées. Hum, c’est inattendu ! Je parle à Olivier depuis quelques semaines, ici et là. Nous avons joué quelques fois via des meet virtuel ou encore via Facetime. Je n’étais pas trop certaine que cette relation épisodique déboucherait sur quelque chose de réel une fois la crise passée, malgré les idées d’activités que nous lancions ici et là. Pas que l’envie n’était pas là de mon côté, mais c’est plutôt que nos rythmes de vie sont peu compatibles et je n’avais donc fondé aucune attente sur la suite des choses. Je suis donc surprise de cette invitation dans mon courrier en ce vendredi soir. La note manuscrite est une attention qui me touche, l’écriture irrégulière est tout de même facilement lisible et le papier à lettre sens légèrement l’épinette. Je ne sais pas trop quoi penser de la consigne #5, interdiction de l’embrasser, ah ouin ? Hmmm… Après avoir déposé la lettre sur ma table de chevet je remarque un tissu de soie qui semble couvrir le fond de la boîte. Curieuse je tire sur le tissu qui s’avère à être un bandeau pour les yeux et qui découvre une autre boîte plus petite. J’ouvre celle-ci et une seconde note tombe :

« Vous devez porter ce jouet en position ouvert à partir du moment où vous partez de chez vous jusqu’à l’arrivée chez Monsieur St-Onge et ensuite suivre la procédure d’arrivée en annexe A. Interdiction d’essayer le jouet avant. »

J’inspecte le jouet, c’est un We-Vibe Jive, en gros un vibromasseur portable Bluetooth. Je suis sensiblement impressionnée, car les jouets We-Vibe ont très bonne réputation. Le silicone est très doux, je vais lire un peu sur le jouet : waterproof, sensible aux températures, hypo allergène etc… Il est dans mes mains et c’est très tentant de l’allumer, juste pour essayer au creux de la main… juste comme ça… Du coin de l’œil la note d’Olivier semble me regarder. Je continue de toucher le jouet tout en réfléchissant et je repose dans la boîte, l’air boudeur. Je sors mon sac de pécheresse des catacombes et y dépose le tout. Je m’arrête quelques minutes en m’assoyant sur mon lit et réalise que demain j’irai chez un homme que je n’ai jamais préalablement rencontré en chair et en os pour aller passer un bon 24h chez lui dans un contexte qui ne sera surement pas très en lien avec le jeu d’échec et la dégustation de thé. Je me trouve un peu téméraire et j’en profite pour avertir ma sœur peAch tel que demandé. Je lui laisse les informations nécessaires et lui dit que je la contacterai à mon arrivée puis 4h plus tard, puis le lendemain matin avant de partir. Nous discutons un peu, après tout ce n’est tellement pas dans mes habitudes ! Je me couche légèrement énervée pour finalement mal dormir toute la nuit.

Je me réveil le lendemain au son de mon alarme. Je déjeune, fais ma toilette et finit de préparer mes choses. Je revêtis un une pièce noir décolleté à dos nue auquel j’ajoute un collant fishnet et une paire de bottes mi-cuisse à talon haut. Je maquille mes yeux avec un trait d’eyeliner noir qui se prolonge jusqu’aux tempes, du mascara et pour finir je peins mes lèvres d’un rose néon très vif. Mes cheveux sont fraîchement lavés et sentent bon le champoing et l’huile d’argan tout en ondulant légèrement sur mes épaules. Je me regarde dans le miroir, pas tout à fait satisfaite. La crise du covid-19 a laissé sur mon corps quelques livres en trop, heureusement ce que je porte était légèrement trop grand à l’époque et me moule parfaitement aujourd’hui. J’hésite pendant une minute, si jamais il ne me trouve pas de son goût en personne ?

Je chasse cette pensée de ma tête d’un haussement d’épaules en me disant qu’il m’a déjà vu en photo et en vidéo alors… Je prends la boîte du Wi-Vibe que je dépose sur mon lit le temps de finir de fermer ma valise et de l’amener jusqu’à ma porte. Je reviens dans ma chambre et regarde la boîte, je sors le jouet, le lave avec de l’eau et du savon. J’envisage ensuite les deux façons de l’installer, soit par excitation, soit en appliquant du lubrifiant et hop. Je regarde l’heure, puis opte pour le lubrifiant. J’ai les hormones en explosions depuis quelques semaines et je risque de ne pas être capable de ne pas l’utiliser si je m’excite assez pour le faire pénétrer par lubrification naturelle. J’ajoute donc du lubrifiant puis insère le jouet.

Je reçois un texto

O : « Tu pars bientôt ? Tu as bien mis le jouet comme demandé ? »

L : « Oui je sors à l’instant, oui j’ai bien mis le jouet »

O : « Parfait, soit prudente, je t’attends… N’oublie pas la procédure d’arrivée et lorsque tu seras à 30 minutes et à 10 minutes de chez moi je veux que tu t’arrêtes et que tu m’écrives pour me le dire »

L : « Ok, à tout de suite ! »

Je saisie ma valise et mon sac de pécheresse et me dirige vers ma voiture. La journée est très ensoleillée et ce sera agréable de faire de la voiture le toit ouvert la musique à fond. Lorsque je m’installe derrière le volant je sens bien le jouet dans mon sexe. Je me contorsionne quelques minutes sur mon siège, soupire, grogne, chiale un peu. Je démarre la voiture et prends la route. Je n’avais pas pensée à la vibration de la voiture, au nid de poule etc…

30 minutes avant d’arrivé je me stationne et texte Olivier

L : « Premier point de contrôle grand chef ! Je suis arrêtée dans un stationnement… »

Je suis en campagne, arrêtée dans une petite station-service perdue en pianotant d’un air distrait sur mon volant. J’attends quelques secondes pour une réponse, au lieu de quoi le jouet comment à vibrer en continu. Je ris nerveusement et me tortille sur mon banc. La vibration est correcte mais peu subtile et sans stimulation autre je trouve cela un peu bizarre. La vibration arrête et je crois pouvoir reprendre la route, puis la vibration reprend, cette fois-ci de même intensité mais de façon saccadée. Waouh, un peu plus excitant ça ! Les pulsions du vibrateur me déconcentrent et j’essaye de garder un visage neutre alors que des gens passent à côté de ma voiture. Je fais mine de consulter google map sur mon téléphone alors que je reçois un texto de Olivier

« Tu peux reprendre la route »

La vibration cesse et je redémarre pour reprendre mon itinéraire. Le paysage est charmant alors que j’arrive en zone plus urbaine. Je ferais mieux de trouver un endroit pour me stationner, je tourne donc dans l’entrée d’un petit centre commercial avec un Jean Coutu, Pacini et compagnie. Je me stationne le plus loin possible tout en essayant d’être un peu à l’écart et je texte Olivier

L : « Deuxième arrêt grand chef »

Quelques secondes plus tard la vibration reprends, saccadée comme lors du premier arrêt. Ouf, je me penche un peu sur le côté et ferme les yeux. Hmmm. L’intensité augmente et les vibrations sont beaucoup moins agréables, je tente de trouver une position plus confortable et je couche mon banc. L’intensité diminue et les vibrations sont moins intense mais plus longues, comme par vague, hmmm ça c’est plus mon genre. Je ferme les yeux en essayant de profiter du moment lorsque

*toc toc toc*

Je sursaute et me relève en panique, un agent masculin de la SQ cogne dans ma fenêtre. Je remets le contact et descends la fenêtre

Agent : « Bonjour Madame, tout va bien ? »

L : « Bonjour…heu…oui »

Agent : « On a vu votre voiture dans le fond du stationnement sans personne et selon votre plaque vous n’êtes pas du coin. Serait-ce possible d’avoir votre identification et les papiers du véhicule Madame ? »

L : « Oui je, je… viens de Montréal et j’en ai profiter pour manger un… morceau et fermer mes yeux quelques minutes avant de reprendre la route j’ai mal au ventre »

Je lui tends mes papiers tout en répondant. L’agent les prends puis regarde dans ma voiture, remarque mes valises et mon sandwich. Silence. Seulement un bruit de vibration provenant de mon entre jambe. Je vois que l’agent l’entends aussi et il me regarde avec suspicion

Agent : « Madame White, est-ce que tout va bien ? »

Les vibrations ne cessent pas et c’est de plus en plus difficile de garder un visage neutre. Je pose ma main sur mon ventre

L : « Oui je…intolérance au gluten et je crois que le pain n’était pas sans gluten… »

Je fais signe des mains pour signifier les aléas de la vie

Agent : « Voulez-vous appeler quelqu’un pour venir vous chercher, êtes-vous en état de conduire ? »

« Une crise dure environ une 30 aine de minute… je… je… devrais être en état sous peu Monsieur…hmmm… l’agent. Est-ce que je…peux rester ici, est-ce que ça cause un problème ? » que je balbutie de peine et de misère

Silence, toujours la vibration.

« Aucun problème Madame, on voulait juste s’assurer que le véhicule n’était pas volé ou abandonné. Merci. » qu’il me répond en me remettant mes papiers.

La vibration cesse et le policier me regarde avec un petit sourire et je lui fais signe de la tête en remontant ma fenêtre consciente d’être une très mauvaise menteuse. Dans ma boîte de messagerie, un texto d’Olivier :

O : « On se voit dans 10 minutes »

Je prends quelques minutes pour me remettre et faire bonne figure. 5 minutes plus tard je redémarre et reprends ma route aucune police en vue. Je roule sur un boulevard pendant quelques minutes, tourne sur une plus petite rue, passe devant un parc, roule quelques minutes et tourne dans un cul de sac. J’arrive au bout la rue qui débouche une série de maisons plutôt modernes adossés à un boisé. L’endroit semble plutôt tranquille, je remarque la devanture de pierre et de bois ainsi que les rampes en verre. Je me stationne juste à l’avant et relis la procédure d’arrivée. J’installe le bandeau de la boîte cadeau sur mes yeux et donnes deux coups de klaxon tel que demandé. J’attends, le cœur qui bat la chamade, je joue nerveusement avec le reborde de ma robe. Quelques minutes plus tard j’entends une porte qui se ferme, mon cœur accélère encore. Bruit de pas sur l’asphalte puis la porte de ma voiture qui s’ouvre.

O : « Bienvenu Mademoiselle White ! »

L : « Merci Monsieur St-Onge… »

O : « Tu as fait bonne route ? »

L : « J’ai juste eu un contrôle par la SQ le temps que le vibrateur fût en marche mais sinon tout a bien été… »

O : « Ahahaha, oh non !! Prends ma main ont vas aller à l’intérieur… »

Ce n’est pas la première fois que j’entends sa voix mais c’est la première fois que l’entends en personne. Je saisie sa main que je sens ensuite contre mon épaule alors qu’il m’aide à sortir de la voiture. Nous marchons doucement et montons quelques escaliers, une porte s’ouvre puis se referme derrière moi.


Je suis debout dans ce qui doit être un portique, une odeur de BBQ et de linge propre flotte dans l’air et la température, de quelques degrés plus fraîche, me laisse croire que la maison est équipée d’une aire climatisée centrale. Je suis debout et au loin me parvient une musique de style lounge couverte par mon cœur qui bat la chamade. Je reste plantée là, suivant le protocole, les yeux toujours bandés ne sachant quoi faire avec mes bras ou mes jambes. Je sens sa présence, sans le voir. Il prend doucement les clefs dans mes mains et se rapproche. Je sens sa cuisse contre la mienne et lorsqu’il appui son torse contre mon bras une odeur de savon et d’assouplisseur me parvient. J’inspire doucement pour bien capter son odeur, essayant de ne pas faire trop de bruit. Je tente également de deviner sa grandeur, sans succès. Contre mon bras je sens son torse mince mais ferme, la boucle de sa ceinture et le tissu de son jean au bout de mes doigts. Je ne sens que son odeur et je l’imagine torse nu avec son délicieux sourire et il n’en faut pas plus pour que ma respiration se dérègle légèrement. Incapable de continuer de respirer par le nez, j’entrouvre la bouche légèrement et peine à déglutir. Je ne sais pas pourquoi cette proximité est aussi excitante, j’ai l’impression que tout est amplifié : son odeur, la chaleur de son corps et la texture de son jean … J’aime cette première impression, cette façon de dire bonjour d’une façon qui n’a rien à voir avec la vision et qui mise tout sur les sens et l’énergie. Il touche légèrement mes cheveux, caresse très légèrement le contour de ma mâchoire, mon épaule, mon coude, mon dos, mes doigts et sa main finis sa course sur le côté de ma cuisse. Le touché est léger, rien d’érotique et pourtant…

Je sens sa bouche contre mes cheveux

O : « Hmmm Lexia…Je suis content que tu sois ici. Tu as bien suivi le protocole d’arrivé. Dorénavant, chaque fois que tu viendras ici il ne sera pas nécessaire que tu te bande les yeux, toutefois tu devras respecter le protocole suivant : lorsque tu arrives tu te déchausse, tu déposes tes choses dans la commode à miroir dans ma chambre à coucher, tu te douche et tu m’attends sur le tapis du salon vêtu comme je te l’aurai demandé. Est-ce compris ? »

L : « Oui Monsieur. Mais…je…je vide toute ma valise ? »

O : « Oui, je veux que lorsque tu viennes ici tu te sentes à l’aise comme chez toi. Lorsque tu es ici, tu es ici, pas ailleurs. Ça va ? »

L : « Oui Monsieur, je comprends mieux »

Je l’entends fouiller dans ses poches et le jouet toujours dans ma chatte se met à vibrer. Je ris nerveusement alors que sa main caresse doucement le côté de ma cuisse

O : « C’est tout à fait charmant ce que tu portes en passant. Bon, je vais aller chercher tes valises. Pendant ce temps, la salle de bain c’est la deuxième porte à droite et ma chambre la porte au fond du corridor à gauche. Lors de ta douche, je veux que tu enlèves le jouet pour te laver mais que tu le remettes ensuite. Quand tu auras fini de te doucher tu pourras défaire ta valise et je veux que tu m’attendes sur le tapis du salon avec le maillot noir que tu portes pour faire de la corde, ton kimono fleurit et des bas longs noirs. »

La vibration cesse et je reprends contenance

L : « Oui Monsieur »

Lentement il défait le bandeau sur mes yeux tout en restant contre moi, lorsque le bandeau est enlevé je reste quelques minutes les yeux fermés pour profiter de ce moment à humer encore son odeur. Lorsque j’ouvre les yeux, je vois d’abord le collet de son chandail, quelques grains de beautés dans son coup et sa barbe de quelques jours parsemé de poils blancs. Je lève les yeux à la rencontre de son sourire juste avant de plonger mes yeux dans les siens. Ses yeux clairs et pétillants puis je m’attarde quelques secondes sur sa bouche. Nous nous regardons ainsi quelques minutes, à quelques centimètres seulement un de l’autre.

O : « Tu te rappel la consigne #5 ? » qu’il me demande doucement

Je soupire en déviant mon regard de sa bouche jusqu’à ses yeux et tourne les talons pour me diriger vers la salle de bain sans réponse

« Bon déjà tu soupire » qu’il me dit en riant

O : « Ça ne réponds pas à ma question ça Mademoiselle White ?! »

« Oui je me rappel Monsieur. Que voulez-vous, soupirer c’est mon truc pour ne pas dire ou faire des choses qui me mettraient dans le trouble » que je réponds en lui tirant la langue.


Je ferme la porte de la salle de bain rapidement en riant ne lui laissant pas le loisir de répondre. Je l’entends rire et quelques secondes plus tard il sort de la maison. Je me déshabille et regarde autour de moi, la salle de bain est blanche avec du bois de bambou un peu partout. Très jolie. J’observe la douche en vitre et je l’imagine nu, prenant sa douche. Hmmm. Je regarde autour de moi et je trouve une serviette et une débarbouillette bien pliés sur le rebord du bain avec un savon sans parfum. Je me déshabille donc et procède à ma toilette : j’enlève le jouet, le rince et l’installe à nouveau. Je profite de ses quelques minutes pour repasser dans ma tête cette arrivée plutôt électrique. Lorsque je sors de la douche je m’enroule autour d’une serviette et ouvre la porte à la recherche de ma valise que je trouve sur le bord de la porte. Je l’attrape et la glisse dans la salle de bain puis l’ouvre et revêtit ce que Monsieur avait de prévu pour moi. Une fois prête je sors de la salle de bain et me dirige vers sa chambre, j’y trouve une magnifique commode en noyer et y installe mes choses. La chambre est elle aussi toute blanche et très épurée : le lit trône au centre de la pièce avec une base assez massive en noyer avec un rebord très large à table de chevet intégré à la tête duquel est apposé un miroir très large fait du même matériel. Le reste de la chambre est meublé d’une commode étroite à 6 tiroirs, un plafonnier de style vintage décor le plafond et le sol est recouvert par un épais tapis.

Je me regarde dans le miroir, satisfaite de mon reflet. Lors de ma douche j’ai bien pris soin d’épargner mon maquillage, je refais donc quelques retouches simplement et change la couleur du rouge à lèvre pour un rose pâle et plus doux. Le noir lustré du maillot rappel un effet cuir et fait contraste avec le rose très pâle de mes lèvres en rappel sur mon kimono fleurit, le tout se découpant sur mon teint légèrement bronzé. J’ajoute une touche de parfum et en sortant de la chambre je regarde par la première porte du corridor qui semble être un bureau avec un divan-lit.


J’approche lentement du salon, tout blanc lui aussi avec au centre un sectionnelle bleu foncé, un tapis à poil long gris pâle et des tables d’appoint en verre. Dans un coin un palmier et sur le mur de la télévision deux belles planches en bois exotique au-dessus desquels sont accrocher des photos de son fils. Olivier s’affaire à la cuisine et je crois qu’il ne m’entend pas venir. Je le regarde quelques minutes puis je me dirige vers le tapis, je m’y agenouille et attends. J’accroche la table en verre en m’agenouillant et Olivier se retourne. Je suis heureuse que le verre des portes françaises qui donnent sur la terrasse avant soit givré, autrement les voisins seraient sans doute plutôt curieux !

O : « Est-ce que tu as faim ? »

L : « Oui quand même ! Ça pas été facile m’en venir… »

« Ah bon, Ah bon » qu’il me dit en tapotant son téléphone

Le jouet se met alors à vibrer et je roule les yeux

O : « Qu’est-ce qui s’est passé avec la police ?! »

Malgré le jouet je tente de me concentrer et je lui explique mon aventure alors qu’il me regarde avec un petit sourire en coin tout en s’avançant avec une coupe de vin vers le salon. Il dépose les deux coupes sur la table basse au centre

O : « Aahahah, ça c’est quand même drôle ! Bienvenu dans ma ville ! »

Il est face à moi, les mains dans le dos et me détaille de la tête au pied. Je n’ai jamais été fan du protocole d’inspection mais je me prête au jeu, essayant de garder mon sérieux. Je plante mes yeux dans les siens et hausse un sourcil, en attente.

« Ouin finalement je devrais peut-être te remettre le bandeau » qu’il commente en riant

Il touche mes cheveux, effleure mon coup, puis un sein, soulève le kimono pour regarder mes fesses qu’il frôle également. Ses caresses sont très légères, presqu’imperceptibles.

O : « Votre odeur Mademoiselle White, un délice… »

Je m’avance vers lui, comme pour lui avouer quelque chose de très important puis chuchote avec un accent français démesuré :

« Versace »

Nous rions puis il reprend son sérieux

« Cette inspection sommaire réponds à mes attentes Mademoiselle White. » qu’il me mentionne en retournant à la cuisine

« Besoin d’aide ? » que je propose

O : « Hmmm, pour ce qui est de la bouffe non j’ai pas mal tout fini, reste juste à cuire les trucs sur le BBQ. Peux-tu mettre la table le temps que je sors la bouffe dehors ? »

Il me montre les choses sont où et se dirige vers l’extérieur. J’attrape les couverts et les ustensiles et me dirige à l’extérieur. La terrasse plus haute est à l’abris des regards par un mur d’intimité en bois avec des ouvertures en genre de plastique semi opaque rappelant le verre givré. Cette section en bois fait aussi office de banquette et de jardin à fines herbes. Plus bas au fond de la cour une magnifique piscine creusée entourée de pierre sur lesquelles reposent des chaises longues en osiers et des palmiers en pot. La face donnant contre la maison est occupée par le BBQ et ce qui semble être un petit buffet / bar avec un mini frigidaire. Au centre de la terrasse repose un tapis coloré sur lequel repose une table longue table en bois, ceinturée d’un côté par la banquette et de l’autre par des chaises en aluminium.

« C’est vraiment une belle terrasse ! » que je commente en mettant la table

O : « Merci, j’ai eu la chance d’avoir de l’aide pour choisir parce que je ne suis pas très manuel… »

L : « En tout cas, moi j’ai fait un mur de miroir dans ma chambre et je peux te dire que c’est croche ! Mais… pas aussi croche que je pensais que ça allait être ! »

O : « Bah écoute, au moins t’as essayée ! »

« J’ai tout installé tout ce qui se trouve dans mon appartement…call me Bob le Bricoleur » que je réponds d’un ton très snob, puis je m’esclaffe de rire

O : « Ok feck si quelque chose brise ici, dorénavant fuck le plombier, l’entrepreneur général, l’homme à tout faire, l’électricien…c’est toi que j’appelle ?! »

L : « Franchement Olivier ! Je suis un peu déçue que tu demandes parce que si tu veux quelqu’un de VRAIMENT fiable et compétente point de vue construction, c’est certain que c’est moi que t’appel. 100% garantie que je repars d’ici pis que ta maison tombe en ruine, sinon je te rembourse. »

Pendant que nous discutons j’en suis à me demander comment monter la table. J’essaye de me rappeler ce que j’ai déjà lu concernant les protocoles et je l’installe donc au bout de la table et moi à sa gauche. Je dispose les couverts et la coutellerie comme il se doit, ensuite les verres. J’ai même le temps de faire un peu d’origami avec les serviettes de tables et d’improviser un centre de table avec des chandelles que j’ai ramassées dans la salle de bain et une plante du salon. Olivier est plutôt concentré sur sa cuisson et lorsqu’il se retourne il me regarde un peu surpris.

O : « Heu…Wow Lexia franchement tu n’étais vraiiiiment pas obligée… »

« T’as l’air de cuisiner depuis un moment, ça ne coûte rien de faire une belle table et puis on mange d’abord avec les yeux non ?!» Dis-je un peu incertaine, réalisant tout à coup en avoir peut-être fait un peu trop

« C’est certain qu’on mange avec les yeux » qu’il me répond en me détaillant de la tête au pied, sourire en coin

« Est-ce que c’est trop quétaine ?! J’ai réquisitionné les chandelles de ta salle de bain et la plante du salon… » que je m’entends demander anxieuse

O : « Au contraire ! Ça doit faire 8 ans que je n’ai pas manger à une aussi belle table, d’habitude c’est à la course sur le coin de l’îlot ou dans ma voiture ! »

Rassurée je lui explique que je n’avais pas toute la coutellerie pour faire une présentation formelle mais que j’ai fait de mon mieux.

« Honnêtement, t’aurais pas pu faire mieux anyway… Par contre, concernant le vin j’aimerais bien que tu m’explique quel protocole tu connais ? » qu’il me demande en sortant une bouteille de vin blanc supplémentaire

L : « Honnêtement je ne sais pas ce qu’est le protocole officiel…moi quand j’avais un soumis je lui avais montrer comment servir le vin à la façon des serveurs de grands restaurants : 1. Mettre le vin rouge en carafe au moins 2 heures avant le service, si impossible faire tourner le vin légèrement dans le verre (la technique du verre peut aussi être utilisée pour le vin blanc)

2. Toujours faire goûter l’hôte afin de s’assurer que le vin n’est pas bouchonné avant de servir tout le monde

3. Chaudière de glace pour le vin blanc et chaudière d’eau froide pour le vin rouge,

4. Coupe sur pied pour le vin blanc, coupe pas de pied pour le rouge

5. Serviette sur le bras,

6. Toujours se tenir à gauche de l’invité tout en utilisant sa main gauche pour servir

7. Comment ne pas faire de goutte,

8. Utiliser le pied du verre à vin pour manipuler le verre

9. Éviter tout contact entre la bouteille de vin et le verre

10. Amener le verre à la bouteille et non la bouteille au verre

11. Remplir avant que le verre soit vide,

12. Servir l’hôte en premier

13. Si plusieurs personnes servir dans le sens des aiguilles d’une montre à partir de l’hôte

Olivier se met à rire, je reste silencieuse, est-ce que j’ai oubliée quelque chose ?

O : « Okay, tout un art de servir du vin ! Je ne pensais pas que le protocole était aussi complet… »

L : « Heuu, tout à fait Monsieur. Ben au début j’avais été pas mal plus simple que ça, je ne voulais pas le traumatiser non plus… Je m’en étais tenu à demander seulement quelques étapes »

O : « Est-ce que tu penses que tu serais à l’aise de faire tout le protocole ? »

L : « Ce soir ?! »

Il hoche la tête en signe que oui

L : « Hmmm, honnêtement je ne sais pas… Je suis un peu nerveuse d’être ici et j’ai bu quelques verres alors je vais surement oublier des choses… »

O : « Voudrais-tu essayer quand même ? Je trouverais ça cute que tu me serves à boire même si tu respect pas touteeeeeeee le protocole… Surtout que je ne t’avais pas averti… »

L : « Si c’est juste pour le fun alors oui ! »

O : « Je pensais aussi ajouter une difficulté, si tu me permets… »

Il fouille à nouveau dans le buffet et sort un paquet de corde qu’il dépose sur la table

O : « Comme le service est de la main gauche, je vais attacher ta main droite à la chaise… »

« Monsieur je…j’ai de petites mains, c’est difficile pour moi de servir de grosses bouteilles à une seule main… » que je mentionne gênée

Olivier prend une de mes mains dans sa main et acquiesce

O : « J’avoue que tes mains sont vraiment petites et c’est quand même un 1L. Ah, tu peux transvider le vin dans un contenant plus petit avec une poignée, j’ai une espèce de cruche en verre dans la cuisine dans l’armoire à verre »

Je me lève et me dirige vers la cuisine pour aller chercher la cruche le temps qu’il vérifie la cuisson de notre repas. Pendant que je farfouille dans l’armoire j’entends la porte patio qui s’ouvre

« C’est tentant de te suivre quand tu t’en vas avec tes belles fesses… » qu’il me mentionne en se collant derrière moi

Je sens sa boucle de ceinture dans le haut de mon dos, le vin et la musique m’inspirent alors que je frotte doucement mes fesses contre son bassin toujours en cherchant dans l’armoire

« Veux-tu me servir à boire ce soir ? » qu’il me demande un charmant sourire aux lèvres en saisissant mon visage entre son pouce et l’index alors que je me retourne complètement pour lui faire face.

Pendant quelques secondes, nos yeux sont rivés un à l’autre et je baisse les miens. Ses doigts toujours contre mon visage descendent jusqu’à mon coup, qu’ils agrippent abruptement.

O : « Miss White, une réponse ? »

Je fais un petit sourire et dépose ma main sur son avant-bras, sa main se resserre autour de mon coup. Je ferme les yeux doucement, me concentrant sur ma respiration. Je profite de l’engourdissement créer dans mon cerveau par le manque d’oxygène et sans m’en rendre compte je gémis doucement. Je sens sa respiration chaude contre ma bouche entrouverte

« Petite démone, ton visage en ce moment… hmmmm…» qu’il me murmure à l’oreille son corps ferme plaqué au mien

La pression autour de mon coup se maintient quelques secondes et sa voix particulièrement sexy me parvient de loin. Lorsque je sens mes tempes qui bourdonnent je donne deux petits coups sur son avant-bras et l’étreinte se relâche. Ma gorge et mes poumons se remplissent d’air et je perds un peu pied. Ses bras m’attrapent et prennent appui sur le comptoir derrière. Semi-affaissée contre lui je plonge mon nez dans son coup, respirant son odeur alors que je reprends mes esprits. Sa main se dépose dans le bas de mon dos alors que je m’écarte en replaçant mes cheveux, un peu gênée.

« Toute une entrée en tout cas ! » que je dis en riant

« Je peux faire le service du vin Monsieur… » que je m’empresse d’ajouter plus sérieuse

O : « Hmmm, ah oui ?! Bien, bien… »

Après avoir trouvé la cruche bien cachée au fond d’une armoire, j’attrape une serviette et lui la salade et nous nous dirigeons vers la terrasse. Je fais couler le vin dans la cruche alors qu’il s’assure de la cuisson de notre repas.

O : « Tout est prêt pour le service du vin ? »

L : « Oui »

« Parfait, assied-toi » m’ordonne-t-il en tirant la chaise à sa gauche

Je m’assieds et tourne le visage vers la corde qui traine sur le buffet à côté du BBQ. Olivier se met à genou pour attacher mes jambes aux pattes de la chaise. Je suis surprise, je croyais que ce serait seulement ma main droite ?! Je tente donc de rester immobile jusqu’à temps qu’il aille finit de m’attacher. Une fois terminé il se lève et prends les assiettes, ouvre le BBQ et rempli les assiettes. Il dépose devant moi une assiette de saumon fumé avec légumes et riz et j’en profite pour servir le vin.


Le souper se passe très bien, la discussion est facile et après quelques verres de vin je me détends complètement. Le service du vin se fait sans trop d’anicroches bien que j’aille entrechoquer la cruche et les verres à quelques reprises au début, sous le poids de la cruche. Tout coule sans effort : mon hôte à un sourire et un regard délicieux, l’esprit vif, l’humour sarcastique et la répartie facile. Nous rions beaucoup, tous deux taquins et rieur. Je m’habitue rapidement à la restriction de la corde et Olivier s’assure bien que ma peau ne soit ni bleu ni froide. À plusieurs reprises il capte mon regard qui s’attarde quelques secondes de trop sur ses mains qui virevoltent de sa coutellerie jusqu’à sa bouche, puis de sa bouche jusqu’à son verre. Lorsqu’il essuie avec son index une goutte de vin sur le rebord de son verre et qu’il porte doucement son doigt jusqu’à sa bouche je dois bien baver un peu car il s’esclaffe de rire

O : « Lexia ? Ton esprit semble un peu ailleurs… »

« Heu, oui, oui. Vin, doigt, bouche c’est assez pour me déconcentrer ! » que j’annonce en riant, coupable

Avec son petit sourire en coin il approche sa chaise du coin de la table et s’y accoude. Il saisit d’une main sa coupe presque vide et fait lentement tourner ce qu’il reste de vin au fond du verre. Je saisie la cruche pour le resservir mais je m’arrête le mouvement à peine amorcé et regarde la cruche quelques secondes puis décide de me servir d’abord. Pendant que je rempli mon verre de façon volontairement lente je réalise qu’il ne remarque pas mon écart au protocole de service du vin.

« Oh, oups, est-ce que tu voulais du vin Olivier ? » Dis-je avec un grand sourire en finissant de remplir mon verre

O : « Oui s’il-te… »

Il s’arrête en plein milieu de sa phrase, remarque ma manigance et hausse un sourcil en secouant la tête.

L : « Mademoiselle White, je vois que tu fais honneur à ton statut moi qui te trouvais incroyablement docile… »

Je m’esclaffe de rire en secouant la tête, docile… Je finis de remplir son verre, puis juste avant d’essuyer la dernière goûte sur le rebord de son verre j’éloigne la cruche et la laisse tomber sur la serviette de table blanche.

« Oh mon Dieu ! Mais qu’est-ce que je viens de faire là !?! Je suis tellement gauche... » que je m’exclame mauvaise actrice, gigotant sur ma chaise le sourire aux lèvres.

« Hmmm… » Dit-il un peu septique en roulant des yeux

Il saisit les assiettes, les ustensiles et les verres qu’il amène au buffet puis revient vers la table. Son visage est neutre, je n’arrive pas à le lire. Il défait les liens de mes jambes, puis ceux de mon torse et de mon bras droit. Autant il avait été délicat en m’attachant, autant ses mouvements sont maintenant rapides et saccadés. Une fois détachée je reste immobile alors qu’il se relève

« Debout » qu’il m’ordonne d’un ton sec

J’avale ma salive difficilement et me lève

O : « Face à la table, au bout »

J’obéis, nerveuse.

Il se place derrière moi, je sens sa respiration dans mes cheveux et son genou entre mes cuisses. Sans m’y en attendre il m’attrape par la nuque et me plaque le torse contre la table. Ma joue atterrie sans aucune délicatesse contre la table et je ne dis rien alors qu’il attache mes poignets qu’il relie ensuite aux pattes de la table puis procède de la même façon pour mes chevilles. Je suis donc entièrement ligotée à sa table de patio, comme un jambon. Je me débats un peu pour la forme mais les liens sont serrés. Je lève les yeux, il est au bout de la table en train de tourner les manches de sa chemise en me regardant, toujours cet air neutre au visage. Il ramasse quelques outils du BBQ et se dirige vers le lavabo d’appoint, puis lave les ustensiles. Quoi, je vais rester corder comme ça pendant qu’il fait la vaisselle ? Je soupire fortement.

« Un problème Mademoiselle White ? » qu’il me demande toujours les mains dans la vaisselle

L : « Aucunement Monsieur St-Onge, j’apprécie grandement de vous voir faire la vaisselle, c’est une belle qualité chez un homme ! »

Je me mords l’intérieur de la joue, pour ne pas rire, consciente que je m’attire déjà suffisamment de problèmes.

O : « Humm...Jusqu’à présent je vous trouvais plutôt coopérative Mademoiselle White, je vois que les choses se pimentent »

Olivier arrive sur mon côté gauche, avec la cuillère à salade dans une main et un flogger dans l’autre.

O : « La cuillère à salade ce n’est pas à cause de la goutte de vin car nous avions convenu que le service était seulement pour le plaisir donc c’est plutôt pour ta smart mouth. Au départ j’avais juste l’intention du flogger comme tu avais été si gentille... Que c’est dommage Mademoiselle White... »

Je grimace alors qu’Olivier arrive par la ma gauche. Il dépose la cuillère sur une chaise, puis caresse mes jambes avec le flogger.

O : « Un appétissant centre de table toutefois, je dois avouer... »

J’ondule des fesses doucement, restreinte

Olivier se place contre le derrière de ma cuisse, je le sens à sa boucle de ceinture contre ma fesse. Se penche contre mon côté droit et agrippe mes cheveux d’une bonne poignée. Je sens la chaleur de son corps contre le mien alors qu’il se penche contre mon oreille

O : « Une belle petite saloppe sur la table à manger, ça fait toujours un beau décor... »

Je déglutis difficilement, sentant son souffle contre mon oreille. Il se redresse et relève le kimono sur mes hanches, découvrant mes fesses. Il y envoi quelques claques puis cesse alternées avec des caresses. C’est le premier contact de la soirée et je dois avouer que j’avais plutôt hâte qu’il me touche. Mes fesses deviennent lentement chaudes et je gémis doucement. Une fois les fesses bien réchauffer, je le vois saisir la spatule en bois. Mon corps se raidit

O : « Un peu nerveuse mademoiselle White ? Il me semble que vous avez un amour particulier pour la cuillère en bois non ? »

L : « Humm, un amour particulier oui...c'est le seul outil jusqu’à ce jour qui me permet d’avoir des marques pendant quelques jours... »

« Je veux que tu aille les fesses bien marquées pendant plusieurs jours et que chaque fois tu t’assoie tu penses à moi mademoiselle White... » qu’il me dit en agrippant un sein d’une main et une poignée de cheveux de l’autre la bouche dans mes cheveux.

O : « Tu vas recevoir un coup sur chaque fesse. Je décide la première mais je veux que tu me dises quand tu es prête pour recevoir le deuxième... »

L : « D’accord Monsieur... »

Il saisit la cuillère en bois qu’il fait glisser sur mes doigts, mon bras, dans mon dos jusque sur mes fesses. Il commence d’abord doucement puis intensifie.

O : « Un » qu’il mentionne juste avant d’envoyer le premier coup

Je cris et me contorsionne dans mes cordes.

L : « Argghhh... c’est mieux de laisser de jolies marques ! »

O : « Hmmm, oui clairement ça va laisser un beau cercle... »

Olivier caresse mes fesses doucement puis s’installe dans la chaise face à moi pour prendre une gorgée de vin

O : « N’oublie pas de me donner le feu vert pour le deuxième... »

Je grogne en grimaçant, n’ayant pas envie du deuxième. Je prends donc quelques secondes pour décider que le plus vite c’est fait le plus vite c’est fini.

L : « Ok pour le deuxième... »

Olivier me regarde puis se lève doucement en saisissant la cuillère d’une main et me caressant les dos de l’autre en contournant la table. Je lève les yeux pour regarder ses fesses lorsqu'il passe devant moi. La cuillère caresse ma fesse, puis je reçois le deuxième coup. Je cris en me tortillant.

O : « Hmmm, deux beaux cercles sur tes fesses Lexia...»

Je l’entends qui farfouille proche du BBQ alors que je suis toujours attachée mains et poignets aux pattes de la table. Je le vois qui attrape un outil, c’est comme petite fourche à deux piques et je suis un peu inquiète. Simon se met à rire en me regarde, mon visage doit avoir parler pour moi ! Il passe derrière moi et fait glisser doucement les dents de la fourche dans mon dos, sur mes bras, mes fesses et longe mes jambes. Je gémis doucement, la sensation me rappel légèrement la pinewheel. Lorsqu'il passe derrière mon genou, j’ai un petit spasme.

O : « Je me rappelle ce récit ou tu avais découvert cet endroit plutôt sensible à la lame d’un couteau... »

L : « Humm, oui Monsieur le derrière du genou est particulièrement sensible aux objets pointus... »

Il repasse plusieurs fois derrière mon genou puis la pression de la fourche contre ma peau devient plus forte et les mouvements plus rapides. Il entrecoupe ses mouvements en m’enfonçant le bout des piques dans des endroits ou la peau est tendre. Assez abruptement pour me faire sursauter et grogner mais pas assez fort pour me perforer la peau. J’endure quelques instants mais me faire ‘’poker’’ c’est vraiment une torture que je déteste. Olivier est de plus en plus intense et je n’en peux plus

L : « Jaune »


Olivier cesse et dépose la fourche sur la table puis caresse doucement mes fesses, mon dos, mon coup et défait lentement les liens retenant mes poignets. Je m’appuie donc sur mes avant-bras en attendant qu’il détache mes jambes. Une fois fait, je me relève doucement en me frottant les fesses et il me regarde en riant avant de me prendre doucement dans ses bras. Je plonge mon nez dans son coup, sentent son parfum. Le câlin dure quelques secondes lorsqu’il plonge son regard dans le mien, ses yeux sont pétillants et mes yeux s’attardent à nouveau sur sa bouche quelques secondes. Il replace une mèche de cheveux et me demande :

« Ouvre la bouteille de mousseux, sers-nous deux verres et apporte-les sur le bord de la piscine. Tu peux t’installer sur une chaise longue je vais aller chercher le dessert et je reviens »

Je récupère donc une bouteille de mousseux dans le petit frigidaire bar, deux verres dans la cuisine et je ressort à l’extérieur. J’enfile mon kimono laissé sur une chaise et descends les escaliers pour me retrouver niveau terrasse sur la pierre qui entoure la piscine. J’ouvre la bouteille et la dépose ainsi que les deux verres sur une petite table en verre et m’installe sur la chaise. Le soleil se couche doucement mais je prends quelques secondes pour profiter de sa chaleur, confortablement installée sur la chaise longue. Olivier revient quelques instants plus tard, deux bols à la main. Il dépose ceux-ci sur la petite table en verre au côté de nos verres pétillants. Je regarde le contenu et m’exclame :

« Hmmm, un sorbet ! Quelle bonne idée ça va être délicieux ! »

Les bols contiennent trois boules de sorbet rose, aux framboises je présume, quelques framboises et des noix de Grenoble. J’attrape le bol et prends une cuillère de sorbet que je porte tranquillement à ma bouche en le fixant. Je prends tout mon temps savourer cette bouchée, laissant le sorbet très froid glisser doucement sur mes lèvres. Je sourie et baisse légèrement les yeux, reportant mon attention sur mon bol

O : « Ne fais pas ta timide Mademoiselle White... Puisque tu sembles bien aimer me fixer, pourquoi ne pas me fixer à chaque bouchée ? »

Je m’esclaffe de rire, puis remarque qu’il est sérieux malgré son sourire en coin.

L : « Vraiment ? Monsieur ? »

O: « Oh que oui... »

Je replonge donc ma cuillère dans mon bol pour une autre bouchée puis pose mon regarde dans le sien alors qu’il prend une gorgée de mousseux. Une brise souffle et mon kimono très léger tombe de mes épaules, ses yeux voyagent sur mes épaules, puis lorgne mon décolleté. Suave, je m’allonge sur la chaise, le kimono tombé sur mes avant-bras et allonge mes jambes que j’écarte légèrement. Je continu de manger mon sorbet selon ses directives alors qu’il s’installe lui aussi plus confortablement sur la chaise longue qui me fait face. Lorsque j’en arrive à la dernière cuillère je me lève et vais m’assoir contre sa cuisse sur sa chaise. Toujours en le regardant je porte ma cuillère à mes lèvres puis fait glisser malencontreusement le sorbet sur ma poitrine

« Ohhh, oups... » que je mentionne pleine de fausse innocence

J’attrape la main d’Olivier et tente de ramasser le sorbet avec son index que je porte ensuite à ma bouche alors que je rive mes yeux au siens. Son regarde se porte sur ma bouche qui lèche doucement son index, appuyant bien ma langue sur ses phalanges. Pendant quelques secondes je le sens légèrement déstabilisé puis Olivier sourit de toute ses dents lorsqu’il me demande innocemment :

« Hmmmm, pourquoi j’ai l’impression que tu avais cette envie depuis un moment déjà... »

L : « Jamais je n’aurais osé Monsieur, prévoir cette manigance... »

Le sarcasme de cet échange me stimule et en tentant de ramasser le sorbet de plus en plus liquide sur ma poitrine je fais tomber ma bretelle.

« Que je suis maladroite... » dis-je de façon exagérée

Pendant que je tente bien maladroitement de replacer ma bretelle tout en jonglant avec mon bol et ma cuillère Olivier saisi ma main au vol, puis l’autre et me fait basculer à sa place sur la chaise longue. Se faisant je renverse mon bol par terre et le sorbet fondu sur mes vêtements. Il est à genou entre mes jambes et maintiens mes mains au-dessus de ma tête et le vin me monte un peu à la tête. Sa proximité, son corps par-dessus le mien me fait sentir toute chose. Je tente de ramasser mon dégât mais il maintient fermement mes poignets et tout ce que j’arrive à faire c’est d’étendre davantage le liquide sucré sur mes vêtements et tâcher ceux de Monsieur.

« Tu gardes tes mains comme ça je reviens... » qu’il m’ordonne les sourcils froncés

L : « Oui Monsieur... »

Olivier se dirige vers la terrasse et monte les escaliers deux par deux. Je reste en attente sur la chaise longue les mains au-dessus de la tête, ma bretelle descendue et le reste de mon kimono en bataille. Après quelques courtes minutes il revient et saisi la corde préalablement laisser sur la table et se dirige vers moi torse nu. Dans ma tête un film se déroule : il descend les escaliers, le torse mince mais ciselé et se dirige vers moi corde à la main avec comme arrière-plan le soleil qui se couche. L’eau de la piscine se reflète sur son visage alors qu’il avance pieds nus.

Lorsqu’il ne reste que deux pieds à franchir il s’emmêle les pieds dans une nouille de piscine et manque de trébucher. Nous rions tous les deux de cette maladresse alors qu’il passe derrière moi pour attacher mes poignets aux pattes arrière puis procède de la même façon avec mes chevilles. Je le vois qui regarde les jouets de piscine qui flottent et je sens qu’une idée germe dans sa tête. Il semble tout un coup se rappeler quelque chose puis sors son téléphone de sa poche. Je le regarde, pas trop impressionnée qu’il choisisse ce moment pour s’occuper de ses petites affaires alors que le jouet vibrant toujours dans mon vagin se met à vibrer.

Oh...

Sans plus il se dirige vers son cabanon et y passe de bonnes minutes, le jouet toujours en fonction alors que je me tortille sur ma chaise. Il ressort les mains pleines et dépose le tout sur la chaise qui me fait face tout en sifflotant: un mini râteau pour les fleurs, une paire de gant de jardinage sale, plusieurs nouilles de piscine, un donut gonflable, un fusil à l’eau et du papier-collant gris. Pendant un instant je suis plutôt inquiète.

O: « Quelque chose qui ne va pas ? »

L : « Ouin, ben, heu, non non ça va Monsieur... »

O: « Lexia, je n’ai pas aimé l’expression sur ton visage...qu’est-ce qui te chicote ? »

L : « Hmmm...le papier collant électrique Monsieur... »

O: « Oui ? »

L : « Eh bien, comme j’ai une bonne pilosité c’est un soft limit pour moi d’utiliser ça sur mon corps...Et j’ai été sauvée in extremis d’une noyade plus jaune alors les jeux d’eau c’est aussi un hard limit »

« Ce n’est pas pour ton corps, mais merci de me le dire...puis pour l’eau je n’avais pas cette intention » qu’il me dit en jouant avec ma bretelle, la descendant à la limite de mon mamelon.

Olivier prend son téléphone et change le mode de vibration du jouet, me faisant grogner. Il rit puis détache mes mains et me passe le donut gonflable autour de la taille en prenant bien soin de coincé mes bras dedans de façon à ce que je ne puisse bouger. Une fois assuré de l’efficacité de la chose il attrape une paire de nouille de piscine et les dispose une par-dessus l’autre en enroulant les extrémités de papier-collant gris puis procède de la même façon avec 4 autres paires de nouilles. Une fois fait il les dispose autour de mon coup en entrecroisant. De cette façon, j’ai un espèce de carcan qui m’empêche de bouger la tête qu’il solidifie ensuite avec la corde préalablement utilisée pour mes poignets. Il saisit la paire de gant de jardinage et me demande

« Ouvre la bouche »

L : « La paire est dégueu... »

Il m’interrompt en enfonçant la paire de gant dans ma bouche puis y ajoute un peu de corde

O : « Tu respires bien ? »

Ne sachant pas trop comment répondre je lève le pouce en signe que oui

« Parfait, attends-moi ici...ahahahahah » qu’il me mentionne satisfait de sa blague.

Il attrape le gun à eau puis remonte sur la terrasse, rentre à l’intérieur et ressort rapidement quelques secondes plus tard avec un bol qu’il dépose entre mes jambes avant de s’y installer lui-même. Sa chaleur me parvient par le contact de nos deux cuisses et j’en profite moi aussi pour le regarder. Il attend quelques minutes en me détaillant lui aussi, je dois avoir l’air d’un éventail de piscine, charmant ! Ses doigts s’attardent dans ma chevelure ébouriffée, puis descendent le long du carcan et caresse mes épaules. Il saisit son téléphone de son autre main puis change la vibration du jouet, je faibli un instant et roule des yeux ce qui le fait rire.

Olivier fouille dans ses poches et y sort un large élastique en caoutchouc du genre ceux utilisés pour tenir les pieds de brocoli ensemble. Il commence à me pincer les avant-bras avec l’élastique puis monte vers les épaules, plus il monte plus l’intensité monte. Chaque secousse me fait me tortiller de bien peu dans ma camisole de force version aquatique.

O: « Hmmm, intéressant ses petites marques rouges sur ta peau toute blanche... »

Les sévices continuent au niveau des clavicules, puis ses mains prennent la relève pour me caresser. Ses mains suivent le même chemin que l’élastique puis plongent vers mes seins. Je soupir allégrement lorsqu’il attrape mon sein qu’il presse dans sa paume, hmmm sa bouche est si proche de le mienne... Il enlève ma seconde bretelle et je me retrouve sein nue. Je sens tout à coup de la salive qui me dégouline le long du menton pour atterrir sur ma poitrine. Ne voulant pas avaler la crasse des gants je m’étais abstenue au mieux de ne pas déglutir. Il observe un moment puis saisit la cuillère et l’approche de mon torse, je recule et tombe vers l’arrière sachant très bien que la cuillère est glacée.

« Que c’est beau, tu ne peux aller absolument nulle part. Un peu de salivation Mademoiselle White ? » qu’il susurre à quelques centimètres de ma bouche bâillonnée en regardant ma salive dégoulinante.

Olivier réchauffe d’abord ma peau avec ses mains avant d’appuyer le dos de la cuillère fermement sur ma peau. Le changement de température me fait sursauter, toujours appuyée contre le dossier de la chaise longue. Il trace son chemin de mes épaules jusqu’au bout de me doigts. Le changement de température à l’intérieur de l’avant-bras est plutôt agréable mais limité par le donut qui me maintient les bras le long du corps.

O: « Je vais enlever ton bâillon, mais interdiction de parler, compris ? Si tu parles tu seras punie »

Je fais signe du pouce que oui et il me détache. Avec le bâillon vient une longue trainée de salive. Je baisse les yeux, gênée

O : « Lexia gênée, tout un honneur ça ce soir... »

Je lui fais une moue, prenant soin de respecter la consigne. J’ouvre et ferme la mâchoire à quelques reprises, heureuse de ne plus être limitée par le bâillon sale. Le carcan de nouilles de piscine me bloque toujours le coup mais c’est tout de même satisfaisant d’avoir la bouche libre. Olivier saisi la cuillère et recommence son manège, sur mes seins dont le mamelon est maintenant bien irrigué. La cuillère se rapproche dangereusement mais il décide de la replonger dans la crème glacée et de changer la vibration de mon jouet mais aussi son intensité. Il devient difficile de ne pas bouger et il procède à enlever le carcan de nouilles. Ma respiration s’accélère lorsqu’il se penche pour lécher puis mordiller doucement mes mamelons, je gémis doucement juste avant qu’il plaque la cuillère gelée dessus !

L : « Olivier !!! »

Nous nous regardons quelques secondes, conscient que je n’ai pas respecter la consigne... Cependant il ne dit rien et c’est ce qui m’inquiète davantage. Il sort de son bol des petites framboises gelées qu’il fait passer sur mes jambes, procédant d’abord avec ses mains pour réchauffer. Les framboises gagnent du terrain et sont en peu de temps contre le tendre intérieur de mes cuisses.

O: « Écarte tes jambes Lexia... »

J’obéis, mes mouvements étant toujours difficiles à cause du donut gonflable. La framboise aventureuse continu son chemin pour atterrir sur les lèvres de mes parties génitales. Je sens le froid qui traverse mon une pièce lorsqu’Olivier porte ladite framboise à sa bouche. Le manège continu de plus belle

« Est-ce que c’est la tige du jouet que je sens ? » me demande-t-il en frottant une nouvelle framboise contre mon clitoris

Je fais signe que oui de la tête et il saisit son téléphone pour augmenter encore l’intensité de la vibration. Les framboises passent de plus en plus de temps contre mes lèvres ou mon clitoris avant d’atteindre la belle bouche de Monsieur. La soirée est chaude et il fait maintenant obscure alors que quelques petites lampes solaires dans les aménagements floraux ce sont allumées. J’ai de plus en plus de misère à me concentrer, appuyer contre le dossier de la chaise et mes gémissements sont de moins en moins subtils.

O: « Il ne faudrait surtout pas que tu prennes trop de plaisir... »

Olivier décide d’arrêter le jouet puis saisi le petit râteau pour les fleurs. Il le passe sur mes jambes, mes bras, mes épaules, fortement. Je reste immobile, le changement de registre est assez saisissant et je me sens toute mêlée. Les passages sont de moins en moins doux et de petits cris m’échappent. Je sens les dents qui éraflent ma chair et je suis sur le point de dire jaune lorsque l’intensité descends. Je suis surprise et soulagé qu’il aille aussi bien su anticiper.

O: « As-tu soif ? »

Je fais signe que oui, lorsqu’il se lève pour atteindre la bouteille de vin, je remarque qu’une bosse tends son jean. Lorsqu’il revient avec la bouteille il agrippe mes cheveux rudement et toujours debout se penche à ma hauteur

« Ça vous fait sourire Mademoiselle ? » qu’il me demande sa bouche contre mes cheveux

Je signe que non et reprends mon sérieux

« Ah non ? » qu’il me relance

Toujours debout et moi assise, son entre jambe m’arrive presque à la hauteur des yeux. Olivier détache doucement sa ceinture, puis déboutonne son jean, descends la fermeture éclair et entrouvre son jean suffisamment pour que je puisse voir son boxer bleu marin. Il passe sa main dans l’ouverture et se caresse doucement en me regardant, sourire en coin. Je déglutie avec difficulté, comme il est sexy !

O : « Mets-toi debout je vais te faire boire un peu d’eau... »

Je me lève de peine et de misère la poitrine dévêtue et les bras toujours coincés par le donut tout en étant heureuse d’être à la verticale pour soulager mes hanches.

« Mets-toi ici et ne bouge pas » m’ordonne Olivier en me pointant quelques pas plus loin de la chaise

Il prend le fusil à l’eau et s’installer face à moi quelques pieds plus loin et actionne la gâchette qui m’envoi de l’eau dessus

O: « Hmmm, aller, c’est comme ça tu vas boire...Ouvre la bouche ! »

Je comprends que je dois donc tenter d’attraper l’eau avec me bouche et me prête au jeu. Nous rions beaucoup alors qu’il me fait faire toutes sortes de simagrées et rapidement j’’ai plus d’eau dans le visage et sur mes vêtements que dans ma bouche.

« Bon, vient je vais t’enlever le donut pour que tu puisses boire un bon verre d’eau...tu le mérite bien... » qu’il me dit en me faisant signe de me rapprocher

Olivier en profite pour pincer un peu mes seins avant de remonter mes bretelles et me couvrir un peu. Lorsqu’il retire le donut gonflable je me sens soulagée de pouvoir mieux respirer, je touche mes coudes e me rend compte que le donut à laisser des marques autour de mes bras. C’est très sensible.

O: « Tu peux parler...Ça va ?! »

L: « Ça couper la circulation, donc c’est un peu sensible... »

Il me frotte un peu les bras pour aider la circulation

« Tes vêtements sont tout collants et mouillés, déshabille-toi et va te rincer dans la piscine... » qu’il me demande en s’assoyant

O: « Oh oui la piscine ! »

Malgré mon enthousiasme j’enlève suavement mon kimono et me dirige vers la piscine, je regarde par-dessus mon épaule et le vois qui me suit du regard. Je retire mon une pièce en prenant mon temps puis plonge dans la piscine. L’eau est à parfaite température et ça me fait beaucoup de bien de pouvoir nager un peu. Nager nu est un vrai plaisir ! Je fais quelques longueurs lorsque le jouet dans mon vagin se met à vibrer. Je m’appuie sur le rebord de la piscine et me met à rire avant de me diriger vers la sortie de la piscine. Je sors et me dirige nue vers lui, puis m’étends sur la chaise longue qui lui fait face.

O: « Hmmm, alors maintenant je veux te voir jouir pour moi... »

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Spéciale dédicace à Phantom


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