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Noir et blanc Résumé Texture
Photo du rédacteurLexia White

#7- TRISKELION

Dernière mise à jour : 17 avr. 2022




Je suis quand même assez fière de moi je dois dire ! Je n’étais pas certaine au début que les événements, plus précisément les donjons, seraient des endroits que j’aimerais fréquenter. Il va de soi que les personnes qui sont à ce genre d’événement en font bien souvent le succès, ou l’échec. Jusqu’à présent j’ai eu l’occasion d’avoir des événements avec beaucoup de gens, moins de gens et peu de gens. Tous ont leur avantage et leurs inconvénients. Ayant repris contact avec une ancienne connaissance qui s’avère être le propriétaire du Triskelion il est certain que je voulais saisir cette occasion pour le revoir et visiter le lieu de toute sa fierté : son donjon. N’ayant rien de prévu, je décide donc le 26 d’aller au donjon pour le 28 accompagnée d’un soumis avec qui j’échange depuis plusieurs jours via FL. Je demande à @–deadpool—s’il est habile avec les cordes et il me répond oui ! Yess, moi je n’ai jamais été ligotée plus que les poignets et les chevilles je lui laisse donc savoir qu’il va peut-être devoir me ligoter (annhhh, si dommage n’est-ce pas ?) et il est partant alors je suis très contente de savoir que je pourrai compter sur une nouvelle expérience lors de l’événement !

28-avril-2018 Moins nerveuse que les deux fois précédentes, je m’assure tout de même d’avoir un outfit classe mais coquin. En mode soumise je valorise toujours les robes et en mode Madame je préfère les pantalons pour le côté pratique. Je choisi donc un legging noir très moulant, taille haute, avec un bustier gris à strap avec des perforations, couvert en parti par un veston noir en lin et accessoirisé d’un choker a pierres semi-précieuses ton sur ton noir. Pour finir le tout, mes bottillons à stud noir. Satisfaite du look légèrement masculin tout en restant féminin juste ce qu’il faut je me dis que Madame vas passer une belle soirée !

Le souper J’ai rendez-vous avec le soumis avant l’événement pour un souper histoire d’être à l’aise et de s’assurer que le courant passe. Je me rends donc sur un petit restaurant que j’ai découvert sur la rue St-Hubert : Ramen Plaza. Je suis plutôt nerveuse, ma dernière expérience avec un soumis c’était soldé par plusieurs malaise et l’impression d’être inadéquate. N’ayant pas beaucoup d’expérience comme dominante il est certain que j’ai un grand apprentissage à faire mais mon expérience comme soumise me confer un certain point de vue et une certaine avance : sachant comment je n’aime pas être traitée il est certain que mon soumis sera traité avec beaucoup d’égard. Pour moi le respect, l’écoute, la communication et le rire sont trois éléments très important pour avoir du plaisir. Je suis donc arrivée au restaurant, j’ai changé le haut de ma tenue pour être présentable (ahahaha). J’attends, j’en profite pour poster 2-3 photos sur FL et sur mon compte FB. Je regarde ses photos sur FL : mon doux j’espère qu’il sera plus souriant ! Le stationnement est difficile à cette heure sur la Plaza, il est donc légèrement en retard. Je me rappelle les deux consignes que j’ai donné pour la soirée : 1- Ouvrir les portes 2- Enlever et mettre mes chaussures.

Le voilà ! Petit mais pas maigrichon, plutôt en forme en fait, un beau sourire, des beaux yeux bleus et une longueur adéquate de cheveux pour tirer dessus ! On se donne deux becs, il sent bon. On s’assoit, je le sens un peu gêné. Gêné mais cute. Je suis nerveuse un peu aussi, ce que je camoufle en parlant plus (déjà que je parle beaucoup en temps normal. s.v.p qlq arrêtez moi ahaha!!) et en souriant plus. Donc la rencontre commence, on échange sur plusieurs sujets : le travail, ou on habite, notre expérience dans le BDSM, ce qui nous a conduit jusqu’ici, nos attentes… Pas toujours facile de comprendre dans une conversation français / anglais, par contre j’apprécie vraiment beaucoup qu’il fasse un effort pour parler français alors du coup je fais un effort pour parler anglais et en mélangeant un peu les deux langues on arrive très bien à se comprendre. Le souper est délicieux, l’endroit est joli : un mélange de moderne d’industriel dans une ambiance tamisé relaxe, la conversation se déroule bien sans être forcée et la petite chose devant moi pique ma curiosité malgré son air timide. Je change mes bottes par mes bottillons à stud avec l’aide de Soumis, j’avais oubliée que je ne devais pas le faire moi-même ! Oups. Je ne suis tellement pas habituée de faire faire ce que je suis capable de faire moi-même ! Il m’ouvre les portes et tient mon veston, des attentions auxquelles je ne suis pas habituée mais qui font tellement plaisir.

Le Triskelion Bon ! Direction le donjon maintenant. Très hâte de revoir mon ancienne connaissance ! On cherche l’adresse, ah voilà ! Une porte mauve, des escaliers abruptes que mes talons n’apprécient pas, Soumis me propose son aide pour ne pas que je perde l’équilibre. Étant une femme forte et indépendante (ahahaha) et aussi très têtue je réponds : <<Non, non c’est correct merci>> Et me rappel aussitôt que je suis censée le laisser m’aider. Je me donne mentalement une tape sur les doigts : discipline Lexia, discipline ! Devant la porte du Triskelion : une nouvelle aventure qui commence. Je passe la tête par la porte : hello ? Je vois tout de suite –deadpool—à l’entrée nous rentrons donc, je dis bonjour, Soumis paye l’entrée. <<Bon –deadpool—c’est toi qui me fais faire le tour du propriétaire ?!? >> que je dis en riant ! Le Triskelion est entièrement peint d’un beau rouge profond, pas le genre de rouge qui donne mal à la tête après 5 minutes. L’endroit est très propre, les lumières sont parfaites, toilette complète, une chambre qu’il est possible de fermer au besoin, une cuisine pour les cocktails, des collations et grignotines, une section plus lounge avec divan et pole ainsi qu’une très belle terrasse extérieure (honnêtement je ne peux pas m’empêcher d’avoir hâte d’en profiter par les belles nuits d’été !). Et surtout, beaucoup de jouets. Beaucoup comme dans mon cerveau analyse tout et essais de savoir ce qu’il connait ou non, ce qu’il est curieux d’essayer ou non. Un petit moment de panique : je suis tellement novice ! Et mon égo n’aime pas être dans une position ou je me sens inférieure au niveau de mes connaissances (mon intelligence étant quelque chose dont je suis extrêmement fière). C’est plus petit que ce j’ai été habituée de voir, mais j’aime l’atmosphère qui nous faire sentir un peu comme à la maison. Je suis un peu gênée face aux personnes qui sont déjà là, encore un peu mal à l’aise de partager / show off quelque chose d’aussi intime que mes préférences sexuelles à des pures inconnu(e)s. Heureusement tout le monde est très gentil, y’a aucun malaise et donc mon inquiétude et ma gêne ne prennent que quelques minutes pour disparaitre ! Je relance donc –deadpool—mine de rien avec toute ma subtilité : - Oubli moi pas hein, les cordes… << Ben non, c’est sûr que j’ai du temps pour toi tantôt ! Ne t’inquiète pas ! >> Moi et Soumis prenons donc le temps de discuter, de faire le tour, de regarder les items, on échange sur ce qui nous intrigue, nos expériences passé, nos limites… Pendant ce temps un couple est déjà en train de jouer, nous entendons les petits cris de la soumise en bruit de fond et je ne peux m’empêcher d’être curieuse. Premier coup d’œil elle se fait brasser pas pire, tirer par les cheveux, trainer au sol. Le plaisir est manifeste mais je reste tout de même un peu ‘’choquée’’ devant autant de brusquerie, la jeune femme ayant l’air si douce et gentille. Je chasse ses idées de ma tête : après tout c’est consensuel et à chacun son plaisir ! --deadpool—prends le temps de venir discuter avec moi et Soumis, nous échangeons concernant la musique : les festivals, les DJ… Je commence à me détendre : je suis en bonne compagnie et rien de grave ne peut m’arriver ici.

Cordes et suspension I <<Est-ce que tu es prête pour te faire ligoté mam’zelle ? >> me demande –deadpool-- - Certainement que oui ! que je réponds heureuse d’enfin créer un peu d’action. J’avais auparavant déjà expliqué à mon rigger du moment que je n’avais jamais été ligoté complètement, seulement partiellement les poignets et les jambes pour m’immobiliser au lit. Je lui explique que j’aimerais avoir le feeling d’être ligotée et ensuite peut-être être suspendue, mais pas haut. Je suis donc au centre de la pièce, sous un gros beam de bamboo vêtue d’un legging et d’un bustier. Rigger m’explique : <<Je vais te faire un harnais, si tu es à l’aise rendu là c’est ce qui vas me permettre de te suspendre ensuite >>. Les cordes sont sorties, passées sur le beam de bamboo et fixé par des nœuds. Puis d’autres cordes sont savamment placer sur mon corps, entrelacées des nœuds : poitrine, dos, bassin, cuisses, entre-jambe. Drôlement je ne me sens pas prise au piège comme j’avais peur. Le harnais est solide, mais pas trop serré, comme l’effet d’un câlin très serré. Le processus de se faire ligoté est aussi très agréable : frôlement, frottements et friction pratique…caresses qui ne sont pas vraiment des caresses. Une personne qui regarde, juge, évalue… posséder l’attention complète de son rigger pendant quelques minutes. Après quelques minutes avec mon harnais, Rigger demande : <<Est-ce que tu veux te faire suspendre ?>> J’hésite quelques secondes… - Oui. Hakuna Matata is my moto. Mon harnais est finit, tout semble solide : on relit les cordes du plafond avec mon harnais et je peux doucement me laisser aller vers l’arrière avec l’aide de Soumis et Rigger. L’inconfort dure quelques minutes, jusqu’à temps que le corps s’habitue à sa propre pesanteur et à la sensation de pression des cordes. << T’es correct Lexia, est-ce que t’as mal quelque part ?>> - Non, non…Je vais m’habituée au feeling… L’impression de n’avoir rien au-dessus et rien en dessous est magique. Pendant le temps de la suspension le temps s’arrête : il n’existe que le moment présent qui semble s’étirer de quelques minutes. Une petite brèche dans l’horloge du temps. Je tente de focuser sur autre chose que la pression des cordes sur mes chevilles ou dans mon coup, je prends de grandes respirations et expire lentement. Je porte mon attention sur la musique qui joue, une musique que j’ai choisie car elle me fait sentir bien et je sens mon corps qui se détend. Tout ce qui compte c’est ce qui se passe en ce moment : j’oublie ce qui se passe alentour, j’oublie le stress du travail, mes insécurités, le bruit, les gens, la pression que je me mets parfois moi-même. Le temps s’étire doucement et déjà il faut revenir au sol. Les cordes sont détachée et pendant quelques secondes je me sens légèrement engourdie et lourde. <<Hey c’est bon je ne pensais pas que tu resterais calme comme ça !>> - Ben merci, en même temps appart paniquer je ne peux pas faire grand-chose je suis attachée de partout, aussi bien se détendre ahaha !! Hey par contre c’était court je serais restée plus longtemps. << J’ai pensé que pour une première fois c’est mieux de pas trop étiré, mais si tu veux plus tard je peux te refaire une session, avec un p’tit pinch de sensualisme >> - Ah ouiiii, ça me ferait trop plaisir !

Claw Après quelques minutes je trouve mon aplomb habituel, l’idée de refaire une séance de corde me remplit d’énergie et je ne me sens plus fatiguée. Soumis ayant été bien docile durant la suspension, je lui propose donc d’aller essayer mes griffes. <<Oui si tu veux…>> qu’il me répond un peu gêné. - Non, si je te demande c’est que je veux une réponse claire : oui ou non ? <<Oui>> On se dirige vers la chambre ; un lit double prends place dans le coin de la pièce avec une chaise suspendue en cuire attacher à des beam en bois dans l’autre coin et au mur, une étagère qui contient plusieurs items : dildo, lubrifiant, huile, vacuum, pinces, masques, cache yeux, menottes… La pièce a pour unique éclairage deux chandelles. - Enlève ton chandail et couche-toi sur le ventre Pendant qu’il enlève son chandail et s’installe je lui demande : - Est-ce que tu aimes les massages ? Il me répond incertain : << Oui oui…>> Je me dis dans ma tête : my god moi je tuerais des gens pour me faire masser…bon… Ptet qu’il n’aime pas vraiment ça mais c’est pour me faire plaisir je vais rester attentive à son non verbal… Je m’installe donc sur ses fesses. Je passe mes mains sur son dos doucement…(maudit ça vas mal pas d’huile). Après quelques secondes je me dis qu’il doit surement avoir de l’huile quelque part et je trouve l’objet de ma convoitise dans l’étagère ! Le dos de Soumis est large et muscler juste ce qu’il faut et la peau est douce. Je fais donc couler un filet d’huile de ses omoplates jusque dans le bas du dos que j’étends doucement. Je masse de façon soutenue pendant un bon 10 minutes, je décoince ses nœuds et masse les muscles de tout le dos, la tête, le coup et les bras. Je mets ensuite d’avantage de pression en transférant le poids de mon corps dans mes mains pour créer un pression plus intense, pression que je fais voyager de mes mains, à mes avants bras jusque dans mes coudes pour un massage intense et enveloppant. << Je n’ai jamais eu de massage, c’est la première fois et c’est trop agréable fuck…>> - Tu n’as jamais été massé ?!?! Quand c’est bien fais mets-en que c’est agréable. J’adore masser et de façon générale j’ai de très beaux compliments. Grommellements << Oui, je suis sûr qu’un massage de pro ça ressemble a ça ! >> Sous mon bassin je sens bien ses fesses et je vois bien le courbe de ses reins, avoir voulue être très méchante j’aurais pu me frotter contre lui de 500 façons possibles et faire mon agace comme j’aime tant le faire. Mais, je me rappel mon rôle et je décide qu’il aura cette faveur plus tard (pas ce soir), en temps et lieu. J’alterne ongle et massage pendant environ 5minutes, puis j’intensifie la pression de mes ongles dans son dos tout en continuant toujours de masser ensuite. Rapidement les traces rouges superficielles commencent à marquer sa peau. À chaque passage de mes ongles je vois sa peau qui s’hérisse comme celle d’un chat. Après 2 passages plutôt intense, je recommence à masser doucement pour un 5 minutes. J’enfile dans le majeur et l’index les griffes en métal que je passe doucement dans son dos pour qu’il s’habitue au contact du métal tout en continuant le massage : les griffes frottent dans son dos durant le massage mais je n’appuie pas. Comme pour les ongles je commence à intensifier la pression : parfois fort, parfois rapide, parfois lent, parfois pas fort mais plus vite…Je varis les différents paramètres afin de voir ce qui semble lui plaire le plus, ou lui faire le plus mal. Je remarque que la zone des côtes est souvent plus sensible. Comme un chat je plante mes griffes et descend d’un coup sec et fort : gémissement et mouvement du corps. - Hmmmm, tu bouges beaucoup… La prochaine fois je devrais t’attacher pour que tu te tiennes tranquille, que je dis en riant. << Ah oui c’est une bonne idée Lexia…>> Je crois que c’est le maximum que je peux faire ce soir : son dos est maintenant passablement rouge avec des zébrures plus intenses et j’ai peur de le blesser si je continue. Je finis donc la séance en massant doucement pendant quelques minutes, j’applique ensuite une compresse d’eau froide pour diminuer la rougeur et enlever l’huile à massage. Lorsqu’on se relève du lit je le vois un peu gêné tenter de replacer ce qui se trouve, de toute évidence, bien serré sous son jean et je lui lance à la blague : - Pauvre toi, tu sembles pas mal serré dans tes pantalons !! Il me regarder un peu gêné, pas certain de comprendre le sarcasme malgré mon grand sourire et me fait un petit sourire en coin. Je me lève, il me demande si je préfère qu’il remette son chandail ou qu’il reste torse nu. - Tu fais ce que tu veux… Je me donner une autre tape sur les doigts mentalement, Lexia com’on, ce n’est pas ça la bonne réponse ! Je prends donc quelques secondes pour observer son corps et je change d’avis : - Non, finalement tu restes torse nu ! Hey, aussi bien me rincer l’œil !

Corde II On repart donc dans les zones communes, mon beau soumis toujours en ‘’chest’’. --deadpool—nous intercepte : <<Laisse-moi savoir quand tu es prête pour ta deuxième séance !>> - Laisse-moi aller prendre l’air un peu et je suis prête ensuite ! Une fois sur la terrasse, Soumis : << Est-ce que tu veux quelque chose à boire ? >> - Oui je prendrais bien de l’eau ! Vas dans la cuisine me chercher de l’eau. À son retour dehors on papote un peu, je lui demande s’il serait intéresse à essayer les griffes du donjon qui sont plus coupantes que les miennes. << Oui >> - Parfait alors après ma séance de corde ont y retourne ! De retour à l’intérieur je fais signe à –deadpool— Il me demande de m’assoir au sol, il me fait un harnais mais moins intense que le premier. Me demande de joindre mes poignets et les attache de face avec une corde de jute. Il me demande de me coucher au sol, puis me passe un bandeau sur les yeux. Je suis au sol, les mains ligotés et lorsque je vois le bandeau arrivé j’ai une demie seconde d’hésitation : fuck je vais rien voir. Je me rappel ensuite que j’ai toujours eu des bonnes expériences avec les bandeaux et que le fait de perdre la vue émoustille bien souvent les sens. << Ça te va le bandeau ? >> me demande –deadpool— avant de me le passer sur les yeux - Mmmm, oui. Le noir. Je sens qu’il soulève ma jambe et la ligote, puis l’attache à une corde de façon à ce que mon corps soit au sol mais que ma jambe soit attachée dans les airs. Je sens la corde de jute sur mes poignets qui picote. Je tente de rester immobile, de faire la morte. Je m’attends à être laisser là comme une poche de patate pour profiter de ma restriction, mais je sens des mains qui me touchent doucement les jambes, le ventre, les bras, une caresse qui se change tranquillement en une pression plus forte mais pas imposant, solide mais pas agressif. Mon corps se tend. Je n’ai pas été touchée depuis un moment déjà. Je dégluti difficilement. Voyons Lexia, c’est juste de la peau. Le grosse main d’Homme se rends jusqu’à mon coup, j’essaie de tendre la tête pour offrir plus d’emprise. La poigne est ferme mais ma respiration n’est pas restreinte. Les caresse font place à des ongles, qui laissent de longues traces picotantes sur ma peau. Oh, je sens quelque chose qui roule et qui pique ? La petite roulette en stainless dont j’oublie tout le temps le nom. J’adore cette sensation, vif mais à la fois très agréable, le matériel rends aussi le tout intéressant. Maintenant je sens quelque chose de froid, mince et long qui passe dans mon coup, sur ma poitrine, mes cuisses… Probablement la languette de métal / stainless que j’ai vu accrochée au mur des douleurs avec les fouets, les cravaches et les martinets (ahaha petit surnom personnel). L’outil fais un arrêt dans mon coup, j’apprécie la froideur de l’objet moi qui à toujours chaud ! Puis retourne faire un tour sur mon bas ventre. Je tente de rester immobile, mais mon cœur bas un peu plus vite et je sens le bas de mon ventre qui s’engourdi. Petit changement de registre, je sens de la fourrure, très doux sur ma joue, puis une texture plus rugueuse comme du papier sablé. J’apprécie particulièrement cette dernière qui me fait frissonner tandis que la fourrure semble de pauvre qualité m’irrite d’avantage le derme. Maintenant quelque chose de pointu, ça me fais penser à un piquet de golf et me rappelle aussi à la fois mes griffes mais d’un autre matériel. Aimant la sensation de tout ce qui est pointu, j’entends que ma respiration est plus forte et ma bouche sèche. L’objet pointu monte le long de mes cuisses, s’arrête plus lentement au niveau du bas ventre, et continu son ascension par le ventre, jusqu’entre mes seins. Zone sensible, surtout avec cet item pointu. La caresse se veut plus légère, mais je sens bien le bout qui s’insinue légèrement sous mon bustier à la recherche d’un mamelon sensible à titiller ! Je retiens mon souffle, curieuse de voir ou la caresse mènera mais l’item continu son chemin bien sagement jusqu’à mes épaules pour finir sa course sur le bout de mes doigts. Ma jambe est détendue pour me permettre de la déplier, ce qui fait du bien, j’avais oublié sa position. Mes poignets sont détachés et mes yeux voient de nouveau. Je prends quelques secondes au sol pour revenir. Je remarque que Soumis est resté bien sagement à regarder. Je suis un peu gênée. Je me lève donc : - Bon ! J’ai faim moi après tout ca !

Claw II On se diriger donc vers la cuisine pour picosser dans les crudités et se remplir un peu l’estomac. Suite de quoi on se dirige à nouveau vers la chambre qui est fermée. Moment de déception. Je regarde autour de moi et je vois l’espèce de petite table à picnick qui est un banc en réalité doublé en coussin et deux anneaux pour restreindre. 1+1 = 2 … - Tiens j’ai une idée, installe toi ici sur le ventre. Je me dirige vers la pièce occupée et ramasse les menottes de façon furtive tout en récupérant les griffes du Triskelion. Je l’attache donc après le banc et commence un processus très similaire à ce qui a été fait lors de la première fois. Toutefois les griffes sont beaucoup plus coupantes et je dois faire attention. Ses griffes sont en réalité deux bouts de stainless dont l’extrémité et légèrement arrondie. J’en profite donc pour le poker dans les côtes, pas trop fort le but ce n’est pas de lui casser les côtes non plus ! (je sais à quel point c’est désagréable aahaha). Je le vois qui se tortille sur le banc, je lui dis à l’oreille : - Tu bouges encore… Je vais te poker 3 fois de chaque côté avec la même force, pas fort mais assez pour que ce soit désagréable. Je veux que tu restes immobile… 4 premiers poke sans un mouvement, les deux derniers ont suscités des petits spasmes. - Hmmm, bien ! Je me rappelle aussi qu’il m’a dit être très sensible des mamelons… Le bench donne facilement accès au mamelon ainsi qu’à tout le côté de la cage thoracique. Je passe donc doucement les griffes de façon à ce que chaque côté du mamelon soit entourer d’une griffe et je continue jusqu’au ventre. Je remarque que son corps se tend vers moi, comme pour donner plus d’accès. Je passe mes mains sous le banc, je caresse son torse, son ventre et je passe doucement le bout de mes doigts sur ses jeans… Je pince ensuite doucement ses mamelons, gémissements. Je continue de caresser son torse puis je repince les mamelons plus forts, re-gémissements. - Hmmmm… Je le vois qui se tortille sur le banc, son beau cul cambré. J’en profite pour ajouter quelques zébrures plus intenses à son dos puis je le détache. Je repasse une serviette froide dans son dos et je m’assure qu’il va bien. Pendant ce temps dans la même pièce le couple du début semble avoir changé les rôles, c’est l’homme qui est maintenant sur le banc de fessée et qui se fait flogger les fesses par sa femme. L’homme porte des culottes en mesh noir et il a vraiment un cul magnifique (eh oui, fétiche des mains et des fesses). Ça me fais sourire car je trouve ca cool de voir des duo qui switch, c’est plutôt rare ! Et du coup ça me donne espoir ! Je regarde l’heure : bientôt 3 heures du matin. Wow, qu’elle soirée !!

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