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Noir et blanc Résumé Texture
Photo du rédacteurLexia White

#26- TORTURE

Dernière mise à jour : 17 avr. 2022




Depuis quelques temps vous aurez sans aucun doute remarqué que mes récits se portent d’avantage vers mon côté soumise étant donné ma relation D/S. Peut-être que certains d’entre vous se demandent où est passé mon côté dominant, moi qui explorait plutôt en ce sens en début d’année. Eh bien, sachez qu’en explorant ma facette de soumise, je me rends compte en fait ne jamais avoir été réellement dominante. Je m’explique : je me suis rendue compte qu’entre faire obéir quelqu’un ou le faire souffrir / sensualisme, je préfère la deuxième option car c’est ce qui m’excite le plus. Toutefois comme mon plaisir ne réside pas dans le fait de faire obéir il faut donc en tirer la conclusion qui s’impose : je suis plutôt sadique / sensualiste. Je pourrais avoir du plaisir pour <<co-dom>> lors d’une session d’impact ou de sensualisme, voir même avoir complètement le lead car le plaisir pour moi réside dans le fait de torturer ou de jouer avec les sensations.


Ceux et celles qui me lisent avec plus de régularité savent que mon côté sadique ressort parfois même en étant soumise. Est-ce vraiment un côté sadique d’ailleurs ? Je me questionne car celui-ci ce manifeste plutôt dans de moment qui se rapprochent du primal play. Ça ressort en moi, sans m’y attendre. Parfois ça fait mal de me retenir, tellement c’est intense. Un espèce de melting pot de brat, sensualiste & sadique je suppose !

Ce qui me manque le plus d’être sadique / sensualiste ? La confiance du soumis. Sentir que notre partenaire s’abandonne à nous en toute confiance. Bien sur un Dominant doit faire confiance à sa soumise, mais ce n’est pas le même genre de confiance. Savoir que quelqu’un s’en remet totalement à nous pour son plaisir, ça c’est de la confiance ! Il n’y a pas plus grande confiance que la confiance du soumis(e) envers son/sa Dominant(e).


Parfois j’ai l’esprit vagabond, je dois l’avouer. Quand Monsieur me laisse glisser mes ongles le long de son dos, mordiller ses mamelons ou faire une légère pression sur ses testicules je dois bien dire que je dois souvent me retenir à deux mains pour rester ‘’douce’’. Je serre les mâchoires en repoussant toutes les images qui me viennent en tête, tout ce que je pourrais faire, le son de ses gémissements au gré d’une douce torture que je lui administrerais avec plaisir et affection.


Parfois je l’imagine complètement nu, attaché à mon lit par des menottes aux poignets. Des chandelles éclairant son corps magnifique et laissant une douce odeur dans l’air. Il serait vêti uniquement qu’un caleçon Calvin Klein en microfibre très doux et incroyablement sexy qui mettrais en valeur son cul magnifique que je lui aurais offert pour l’occasion. Sa peau porterait encore l’odeur du savon que j’aurais mis à sa disposition lors de sa visite.

L : <<Couche-toi sur le dos>>

Je m’installerais par-dessus ses hanches et cette fois-ci c’est moi qui roulerais un joint en utilisant son ventre comme table. Je prendrais bien mon temps, bougeant légèrement, innocemment alors que mon entre-jambe se frotte à la sienne. Je lui banderais les yeux, afin de l’avoir à ma merci, avec un tissu de satin rouge.

L : <<Je vais te bander les yeux…ne bouge pas…>>

Je lui ferais fumer quelques touches du joint, faisant passer la fumée de ma bouche à la sienne jusqu’à temps qu’il soit high. Ensuite pour le maintenir détendu je déposerais de l’huile mangeable un peu partout sur son corps. Des petites quantités ici et là que j’étendrais ensuite en massant doucement, décoinçant ses nœuds et relaxant ses muscles. Une fois l’huile presque entièrement pénétrée, j’utiliserais la pinewheel. Je commencerais doucement sur le dessus de ses mollets puis je monterais doucement vers son ventre en passant par ses cuisses, ses hanches puis vers son coup en n’oubliant pas les bras. J’alternerais entre la pinewheel et ma langue, jusqu’à atteindre son coup.

L : <<Je vais augmenter la pression, tu me dis lorsque c’est trop…>>

La peau du coup, cette peau si douce et tendre…un délice à mordre. Je recommencerais au niveau des mollets mais en augmentant cette fois-ci graduellement la pression de la pinewheel au fur et à mesure de mon escalade, jusqu’à temps d’atteindre sa limite. J’imagine ses grognements, si excitants. Je détacherais une de ses mains que je porterais à mon entre jambe humide lui murmurant à l’oreille :

L : <<Tes gémissement m’excitent tu le vois bien…>>

Je presserais mon corps contre le sien tout en le caressant pour le faire durcir un peu alors que j’aurais rattaché sa main au montant du lit. Frotter mes seins contre son bras, mon entre jambe sur sa cuisse pour glisser doucement sur lui et me retrouvée assise à califourchon sur ses hanches. Taquine je prendrais un jouet vibrant avec lequel je stimulerais mon clitoris, coller sur son sexe il sentirait toute les vibrations du jouet et m’entendrais gémir sans pouvoir me toucher jusqu’à temps que j’atteigne l’orgasme, un orgasme auquel il n’aurait pas du tout participé.

Sous la lumière des chandelles, son corps magnifiquement nu, ses tattoos se détachent de sa peau plutôt pâle. Sur le lit à ma droite, ma cravache. J’aime cet outil : long mais précis permettent toute une foule de sensation. Je m’installer à côté de lui, la cravache en main. Je la passe doucement sur son corps, comme une caresse. Je commence doucement, sur ses bras. Après chaque coup de cravache, une caresse. Sa peau est encore légèrement luisante de l’huile et un peu humide de ma salive. J’alterne cravache et caresse, en augmentant l’intensité au gré de ses gémissements.

L : <<N’oubli pas de me dire si c’est trop>>

Bientôt la cravache laisse de douces marques rosâtres sur ses cuisses

L : <<Retourne-toi…>>

Je reprends le même processus dans le haut de son dos, sur ses fesses et sur le derrière de ses cuisses. Je monte m’assoir sur ses fesses, puis je glisse ma main sur son ventre, puis contre son sexe déjà bien dure. Je le caresse quelques minutes puis me dirige vers la cuisine le laissant toujours attacher au lit. Lorsque je reviens, j’ai avec moi une glace dans un verre et une enveloppe que je dépose sur la table de chevet.

L : <<Je vais te détacher, couche-toi sur le dos. Tu n’as pas le droit de me toucher et tu gardes tes yeux bandés>>

J’ouvre l’enveloppe qui contient des bonbons pétillants, j’en verse une quantité dans ma bouche, dans la pénombre le bruit des crépitements est clair. Je prends son sexe dans ma bouche alors que les petits bonbons explosent toujours dans ma bouche et je le suce jusqu’à temps qu’il n’aille plus de petites explosions. Je répète le processus jusqu’à temps d’avoir utilisé la moitié de l’enveloppe. Son sexe est dur dans ma bouche et il goûte maintenant le melon d’eau. J’agrippe ses testicules et un peu de corde, je fais un joli emballage de son sexe que je prends ensuite en photo. Pas trop serré, pas trop lâche non plus.

Dans ma boîte à outil se trouve une longue plume de paon que j’utilise très rarement. Je la sort et la passe doucement sur son corps, dans le coup, sous les bras, entre les cuisses, sur son sexe joliment enveloppé. Je sais qu’il est un peu chatouilleux au niveau de la cage thoracique et je m’amuse quelques minutes à ses dépens. Sans y penser il plaque sa main sur ma cuisse

L : <<Tssstsss, je t’ai dis de ne pas me toucher >> que je lui dis en saisissant la cravache qui n’était pas bien loin

Je lui administre un petit coup sec sur la main

L : <<La prochaine fois ce sera sur ta queue toute bandée…Compris ?>>

M : <<Oui >>

L : <<Retourne-toi sur le ventre >>

Je reprends les caresses avec la plume, puis me rappel la glace dans le verre. Je la saisi de la main gauche, glissante entre mes doigts. De la main droite je passe mes ongles doucement dans son dos, puis en mettant de plus en plus de pression en faisant des lignes bien distinctes. Lorsque son dos est maintenant joliment rayé de 4 belles lignes rosâtres, je passe la glace sur chacun des rayures en partant du haut vers le bas. Il gémit doucement, alors que mon excitation monte.

La glace fond rapidement et ses fesses ainsi exposées me donnent envie d’utiliser un peu plus la cravache, je décide de donc de tester l’efefet sur peau légèrement mouillée. Le son est différent et les coups moins précis, mais ça semble tout de même agréable. Alors que ses fesses sont joliment rosées, je les écarte doucement pour enfoncer mon visage et lécher son anus. Je le lèche pendant plusieurs minutes avant de lui demander de se retourner afin que je puisse enlever la corde de son sexe et le bandeau qui recouvre ses yeux.

Nos regards se croisent

<<Baise-moi>> que je lui demande sans équivoque avant qu’Il ne m’agrippe sauvagement par la gorge


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