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Noir et blanc Résumé Texture

#23- ÉPINGLES & SUBSPACE

Dernière mise à jour : 1 déc. 2022




Le soleil se couche alors que moi et Monsieur écoutons un film, confortablement installés chez lui. Je porte une camisole noire ample, une culotte brésilienne grise et je me suis promenés dans cette tenue toute la journée laissant mes fesses bien en vue. Mi-couchée mi-assise sur le divan mes jambes sont repliées sur le côté et mes fesses n'étant pas couverte par ma camisole sont libre d'accès pas très loin des mains de Monsieur.

Je sens une très légère caresse m'effleure les fesses, si légère que je me demande si elle est réelle ou imaginée. Mon attention retourne sur le film alors que la caresse revient, toujours aussi légère mais maintenant je sais qu'elle est réelle. Mon cœur s'accélère légèrement alors que les mains de Monsieur s’assissent maintenant mes fesses à pleine main.

SR: <<T'aime ça montrer ton cul hein ? >>

Trop concentré sur la caresse j'oublie de répondre

<<Je te pose une question !>> qu'il me dit impatient <<Oui Monsieur !!>> que je réponds gênée

Monsieur commence par donner plusieurs petites fessées, pour réchauffer mes fesses. Au fur et à mesure l'intensité augmente et les fessées s'espacent. Moins de fessées mais elles sont plus fortes. Ma fesse droite étant déjà très sensible du aux fessées de la veille, je suis donc contente que ce soit mon autre fesse qui encaisse. J'adore le son de la fessée même si je ne suis pas très vocale. La douleur fait souvent en sorte que je serre les dents au lieu de crier. Après une claque particulièrement intense un cris m'échappe.

SR: << Oh oui...allez, cris plus...>>

La fessée reprend à un niveau acceptable de douleur et bien que mon souffle soit rapide et que je gémisse légèrement, je ne cri plus.

SR: <<Je veux que tu cris pour moi... Je veux entendre tes beaux cris de douleur...>>

Hmmmm, j'aime quand Monsieur me parle. Toutefois c'est difficile de me laisser aller, la douleur c'est tellement nouveau pour moi ! Monsieur augmente la force de ses fessées, sachant que c'est la seule façon de me faire crier comme il souhaite l'entendre. Je sens maintenant comme une brûlure sur ma fesse, c'est le moment désagréable ou la fesse devient très sensible pendant quelques minutes avant d'être capable d'en prendre davantage. Je me contorsionne à chaque claque, mon niveau d'endurance n'étant pas très haut à ce moment. La brûlure est de plus en plus intense

L: <<JAUNE !>> SR: <<Hmmm, presqu'aucun cris mais pour le code de couleur ça y'a pas de risque que je ne t'entende pas... >>

Je le regarde sans comprendre, mais c’est quoi ce commentaire idiot ? Il ne semble pas me taquiner, je n'aime pas ce commentaire, je n'aime pas ce qu'il sous-entend. C'est dans mes droits d'utiliser le code de couleur. En plus, je tente toujours d'endurer plus, je me pousse déjà moi-même pour avoir une meilleure résistance à douleur... Ce commentaire me fait de la peine et m'inquiète.

L: <<T'as pas le droit de rire du fais que je call jaune...>>

Il saisit mon visage entre le pouce et l'index.

SR: <<Tu penses être en mesure de me dire quoi faire ?>>

Je n'aime pas la tournure du jeu. Ce sont mes limites et personne n'a le droit d'en rire ou de voir ça comme étant ''dire quoi faire''. La gifle que je reçois à ce moment me met le feu au cul (comprendre ici : être en tabarnack), ma bouche se crispe et je plante mes yeux dans les siens. Je ne dis rien, mais l'expression sur mon visage doit être sans équivoque alors que je prends de grandes respirations pour me calmer.

SR: <<Onhh, pas contente fille ?>>

L: << Rouge >>

Monsieur se remet à masser doucement mes fesses, je suis soulagée de passer à autre chose. Je déteste caller un rouge, mais comme Monsieur et moi jouons ensemble depuis peu, je suppose que c'est le genre de truc qui arrive.

SR: <<Hmmm, ta fesse est encore toute chaude et tu as de jolies couleurs...>>

Ma fesse est vraiment très sensible, j'endure cette nouvelle fessée au mieux tout en tentant de me laisser aller davantage vocalement. Monsieur semble satisfait de mes efforts vocaux car je l'entends grogner lorsque sa main s'abat sur ma croupe et qu'il me dit :

<<Bonne chienne...Continue de crier...>>

Avec chaque claque vient un cri déchirant, mon fessier me fait mal, mes yeux sont pleins d'eaux et je n'en peux plus.

<< Rouge !>> que je dis cette fois beaucoup moins fort en me plaçant de façon à ne plus donner accès à ma fesse.

Je caresse ma fesse d'une main tremblotante alors qu'une larme coule sur ma joue.

SR: << Oh, une larme sur ta joue ?>> << Oui, mais pas une larme de joie...>> que je réponds en tentant de faire de l'humour, incertaine s’il me taquine ou non SR: <<Ah non, comment ça ?>> <<Parce que là j'ai vraiment mal au cul >> que je réponds la mine basse <<Viens ici...>> qu'Il me demande en me tirant vers Lui.

Il me prend dans ses bras alors que je pose ma tête contre son torse. Monsieur caresse mes cheveux et me serre dans ses bras alors que je laisse aller mes larmes et que je tente de me remettre de ses sensations / émotions. Nous restons quelques minutes ainsi.

SR: <<Commence-tu à être fatiguée ?>> L: << Un peu et toi ?>> SR: <<Un peu mais je n'irai pas me coucher tout de suite, il ne faudrait pas y aller trop tard par contre genre max 21h. Tu pars à quelle heure demain ?>> L: <<D'accord, je pars tôt à 5h30 pour me sauver du trafic, comme d’habitude>>

Nous échangeons quelques minutes sur la journée de demain puis continuons d'écouter la télévision alors que mes yeux se font lourds. Les fessées m'ont bien allumées et j'espère que Monsieur voudra profiter de moi sexuellement avant d'aller dormir. Avant de tomber de sommeil je me lève, je cherche une façon pour Lui laisser savoir que j'ai envie de Lui là tout de suite. Ne sachant pas trop ce qui est permis ou non de faire comme initiative, placée derrière Lui je retire ma camisole que je Lui lance ensuite sur les épaules avant de me diriger lentement vers la chambre. Je me faufile dans le lit et je choisie de m'étendre sur le dessus des couvertures en espérant que ma nudité le titille. J'attends quelques secondes espérant sa venue, plutôt incertaine du succès de ma technique d'approche.

Je l'entends qui entre dans la pièce. Plongé dans l'obscurité, mon corps est faiblement éclairé par la lumière d'appoint utilisée dans la pièce adjacente. J'entends une boucle de ceinture, un pantalon qui tombe. J'ouvre les yeux, Il est assis face à moi dans le lit, parfaitement nu. Sa main caresse mon coup, mes seins, mon ventre et effleure mon entre jambe alors que mon corps frissonne. Je gémis sous la caresse, mon corps heureux d'avoir l'attention de Monsieur et un peu de douceur. Les caresses se transforment rapidement en pincement, mes mamelons étant la première victime. Ma respiration s'accélère et lorsqu'Il mordille mon mamelon je ne peux m'empêcher de gémir. J'adore me faire mordre, je dois trouver une façon pour qu'Il me mordre plus souvent c'est si bon...hmmm... Sa bouche se déplace vers mon autre sein et pendant une seconde je l'imagine déposer sa bouche contre mon sexe et mon excitation augmente. Sa main se faufile entre mes jambes, pince mes grandes lèvres, effleure mon clitoris et je l'entends dire, la tête toujours entre mes seins :

SR : <<T'es toute mouillée...Bonne fille...>>

Monsieur continu de me pincer un peu partout : les seins, le coup, le ventre, les bras, le sexe et les cuisses alors qu'Il enfonce un doigt dans mon intimité. Sa pénétration combinée aux pincements fait rapidement monter mon excitation. Je ne sais plus combien de doigt sont en moi, mais j'atteins un orgasme au moment même où Il me pince. Monsieur retire ses doigts qu'Il me fait lécher un à un. Je reprends mon souffle et je propose :

<<J'ai des épingles à linge dans ma valise...>> SR: <<Hmmm, ça pourrait être intéressant oui...vas les chercher...>>

Je me lève doucement, prenant bien soin de montrer mes fesses sur lesquelles il envoi une petite claque. Je ris, heureuse de l'attention mais aussi énervée d'essayer quelque chose pour la première fois. De retour dans la chambre je tente d'ouvrir le sac de pince à linge, sans succès. Monsieur me regarde, je me sens stupide de ne pas être capable d'ouvrir le sac !

SR: <<Besoin d'aide ?>> L: << Oui s'il-vous-plait...>>

Il prend le sac, Lui aussi incapable de l'ouvrir au premier essai.

L: <<Pas facile hein ?! >> SR: <<Non en effet...>>

Le sac s'ouvre finalement et je reprends ma position initiale sur le dos. Monsieur titille mon mamelon et pince en main je devine son intention. Je sens la pince qui tente de mordre un morceau de peau, sans succès. Mon corps est légèrement éclairé par la lampe du salon, dont le faible halo parvient jusqu'à la chambre.

SR: <<Eh merde je ne vois rien du tout...>>

Lorsqu'Il accroche la première pince sur mon mamelon, je suis surprise de ne pas avoir mal plus que ça. La douleur est vive mais bref et rapidement mon mamelon s'engourdit. Monsieur dispose plusieurs autres pinces sur mes seins, puis se dirige vers mon entre-jambe qu'Il parsème de pinces également. Rapidement les premières pinces au niveau des mamelons me cause une franche douleur, comme une aiguille. Monsieur continu d'ajouter des pinces mais c'est trop pour moi, Jaune. Je prends quelques secondes pour essayer d'endurer la douleur des pinces sur les mamelons, sans autre douleur supplémentaire. Bon Dieu que ça fait mal !!! J'hésite entre dire rouge et me mettre à pleurer.

L: <<Est-ce que c'est possible d'enlever les pinces de mamelons ?>> SR: << Pourquoi ? >> <<Parce que j'ai vraiment très mal Monsieur... sinon c’est rouge>> que je réponds la voix qui retient un sanglot.

Alors que je pense que Monsieur se prépare à retirer les pinces, il lèche le mamelon, ce qui me fait crier. Putain !!!! Ce n'est pas de la salive, c'est de la lave !!!! La douleur est si intense que je reste scotcher. J'ai le cœur qui bat la chamade, les épingles me font tellement mal !!! Pendant un instant je songe à les enlever moi-même, tabarnafuck ça vas faire avoir mal de même ! Monsieur donne une pichenette sur les pinces au lieu de les enlever en les ouvrant, chaque pichenette me fait crier. J'ai vraiment très envie de lui mettre une claque en ce moment OMFG !! Une fois les épingles toutes retirées de mes mamelons, je respire un peu mieux et je me calme même si j'ai les yeux pleins d'eau.

Les pinces toujours sur mon sexe me causent de l'inconfort, mais un inconfort agréable. Monsieur les bouge légèrement, caresse mon sexe alors que je commence à gémir. Après quelques minutes, je l'entends qui fouille dans le sac à épingle...Oh non... Il pince une première épingle dans mon coup, puis trace un chemin d'épingle jusqu'à mon mamelon. Cette fois-ci il attends moins longtemps avant de les enlever, ce qui me permet d'endurer sans devenir folle. Il en ajoute deux sur mes lèvres et une sur ma langue. Mon coup lui est très sensible et lorsqu'il tente de remettre une épingle pour la troisième fois je ne peux m'empêcher de bouger...

SR: <<Arrête de bouger...>>

Monsieur remet une épingle, je tourne la tête, l'épingle tombe. Tente à nouveau de remettre une épingle, même processus.

SR: << Arrête de bouger !!>> L: << Non, ça me fais fucking mal !! Le coup pis les seins pu la, pu capable !! >> SR: << Ah, fallais que tu me le dise. Parfait. >>

Je réalise que Monsieur n’est pas toujours très attentif à mon non verbal mais je m’abstiens de commenter en ce sens L: << Je ne voulais pas dire rouge parce que celles sur mon sexe c'est bien, mais le torse j'suis à boute>> << Ah oui, celles sur tes lèvres ça te plait ? >> qu'Il me demande en caressant doucement mes seins L: << Hmmm, oui...>> SR: << Bonne fille...>>

Monsieur s'amuse un peu avec les épingles du bas, les retirant lentement, une à une tout en me caressant. Ses caresses sont douces et ayant l'impression d'avoir les seins en feux, c'est plus qu'apprécié.

SR: << Oh oui, t'es toute mouillée...Ça t'a fait mal mais t'arrête pas de mouiller pour autant ! >>

Monsieur me retourne, enfile un condom et me pénètre. Il me baise dans plusieurs positions et je commence à avoir très chaud et à avoir la bouche sèche :

L: << J'ai...j'ai soif...>> SR: << Vas chercher de l'eau...>>

Je m'assoie sur le bord du lit, je me sens un peu faible, un peu à côté de la plaque

SR: << Ça va ?>> L: << Je...oui...je vais juste attendre un peu avant de me lever...>> SR: << Prends ton temps...>> L: << Hee...oui...>>

Je me lève, chambranle. Je me rends à la cuisine, bois un verre d'eau complet, un deuxième, un troisième et j'en apporte un quatrième dans la chambre

SR: << Est-ce que ça va mieux ?!>> L: << Oui, j'me sentais toute beurk mais je viens de m’enfiler 3 verres d'eau et c'est déjà beaucoup mieux !>>

Nous reprenons notre activité en ajoutant quelques orgasmes de plus au compteur. Le dernier orgasme est plutôt intense et nous laisse tous les deux haletant et en sueur. Monsieur se lève et sort de la chambre. Couchée dans son lit, j'analyse comment je me Le soleil se couche alors que moi et Monsieur écoutons un film, confortablement installés chez lui. Je porte une camisole noire ample, une culotte brésilienne grise et je me suis promenés dans cette tenue toute la journée laissant mes fesses bien en vue. Mi-couchée mi-assise sur le divan mes jambes sont repliées sur le côté et mes fesses n'étant pas couverte par ma camisole sont libre d'accès pas très loin des mains de Monsieur.

Je sens une très légère caresse m'effleure les fesses, si légère que je me demande si elle est réelle ou imaginée. Mon attention retourne sur le film alors que la caresse revient, toujours aussi légère mais maintenant je sais qu'elle est réelle. Mon cœur s'accélère légèrement alors que les mains de Monsieur s’assissent maintenant mes fesses à pleine main.

SR: <<T'aime ça montrer ton cul hein ? >>

Trop concentré sur la caresse j'oublie de répondre

<<Je te pose une question !>> qu'il me dit impatient <<Oui Monsieur !!>> que je réponds gênée

Monsieur commence par donner plusieurs petites fessées, pour réchauffer mes fesses. Au fur et à mesure l'intensité augmente et les fessées s'espacent. Moins de fessées mais elles sont plus fortes. Ma fesse droite étant déjà très sensible du aux fessées de la veille, je suis donc contente que ce soit mon autre fesse qui encaisse. J'adore le son de la fessée même si je ne suis pas très vocale. La douleur fait souvent en sorte que je serre les dents au lieu de crier. Après une claque particulièrement intense un cris m'échappe.

SR: << Oh oui...allez, cris plus...>>

La fessée reprend à un niveau acceptable de douleur et bien que mon souffle soit rapide et que je gémisse légèrement, je ne cri plus.

SR: <<Je veux que tu cris pour moi... Je veux entendre tes beaux cris de douleur...>>

Hmmmm, j'aime quand Monsieur me parle. Toutefois c'est difficile de me laisser aller, la douleur c'est tellement nouveau pour moi ! Monsieur augmente la force de ses fessées, sachant que c'est la seule façon de me faire crier comme il souhaite l'entendre. Je sens maintenant comme une brûlure sur ma fesse, c'est le moment désagréable ou la fesse devient très sensible pendant quelques minutes avant d'être capable d'en prendre davantage. Je me contorsionne à chaque claque, mon niveau d'endurance n'étant pas très haut à ce moment. La brûlure est de plus en plus intense

L: <<JAUNE !>> SR: <<Hmmm, presqu'aucun cris mais pour le code de couleur ça y'a pas de risque que je ne t'entende pas... >>

Je le regarde sans comprendre, mais c’est quoi ce commentaire idiot ? Il ne semble pas me taquiner, je n'aime pas ce commentaire, je n'aime pas ce qu'il sous-entend. C'est dans mes droits d'utiliser le code de couleur. En plus, je tente toujours d'endurer plus, je me pousse déjà moi-même pour avoir une meilleure résistance à douleur... Ce commentaire me fait de la peine et m'inquiète.

L: <<T'as pas le droit de rire du fais que je call jaune...>>

Il saisit mon visage entre le pouce et l'index.

SR: <<Tu penses être en mesure de me dire quoi faire ?>>

Je n'aime pas la tournure du jeu. Ce sont mes limites et personne n'a le droit d'en rire ou de voir ça comme étant ''dire quoi faire''. La gifle que je reçois à ce moment me met le feu au cul (comprendre ici : être en tabarnack), ma bouche se crispe et je plante mes yeux dans les siens. Je ne dis rien, mais l'expression sur mon visage doit être sans équivoque alors que je prends de grandes respirations pour me calmer.

SR: <<Onhh, pas contente fille ?>>

L: << Rouge >>

Monsieur se remet à masser doucement mes fesses, je suis soulagée de passer à autre chose. Je déteste caller un rouge, mais comme Monsieur et moi jouons ensemble depuis peu, je suppose que c'est le genre de truc qui arrive.

SR: <<Hmmm, ta fesse est encore toute chaude et tu as de jolies couleurs...>>

Ma fesse est vraiment très sensible, j'endure cette nouvelle fessée au mieux tout en tentant de me laisser aller davantage vocalement. Monsieur semble satisfait de mes efforts vocaux car je l'entends grogner lorsque sa main s'abat sur ma croupe et qu'il me dit :

<<Bonne chienne...Continue de crier...>>

Avec chaque claque vient un cri déchirant, mon fessier me fait mal, mes yeux sont pleins d'eaux et je n'en peux plus.

<< Rouge !>> que je dis cette fois beaucoup moins fort en me plaçant de façon à ne plus donner accès à ma fesse.

Je caresse ma fesse d'une main tremblotante alors qu'une larme coule sur ma joue.

SR: << Oh, une larme sur ta joue ?>> << Oui, mais pas une larme de joie...>> que je réponds en tentant de faire de l'humour, incertaine s’il me taquine ou non SR: <<Ah non, comment ça ?>> <<Parce que là j'ai vraiment mal au cul >> que je réponds la mine basse <<Viens ici...>> qu'Il me demande en me tirant vers Lui.

Il me prend dans ses bras alors que je pose ma tête contre son torse. Monsieur caresse mes cheveux et me serre dans ses bras alors que je laisse aller mes larmes et que je tente de me remettre de ses sensations / émotions. Nous restons quelques minutes ainsi.

SR: <<Commence-tu à être fatiguée ?>> L: << Un peu et toi ?>> SR: <<Un peu mais je n'irai pas me coucher tout de suite, il ne faudrait pas y aller trop tard par contre genre max 21h. Tu pars à quelle heure demain ?>> L: <<D'accord, je pars tôt à 5h30 pour me sauver du trafic, comme d’habitude>>

Nous échangeons quelques minutes sur la journée de demain puis continuons d'écouter la télévision alors que mes yeux se font lourds. Les fessées m'ont bien allumées et j'espère que Monsieur voudra profiter de moi sexuellement avant d'aller dormir. Avant de tomber de sommeil je me lève, je cherche une façon pour Lui laisser savoir que j'ai envie de Lui là tout de suite. Ne sachant pas trop ce qui est permis ou non de faire comme initiative, placée derrière Lui je retire ma camisole que je Lui lance ensuite sur les épaules avant de me diriger lentement vers la chambre. Je me faufile dans le lit et je choisie de m'étendre sur le dessus des couvertures en espérant que ma nudité le titille. J'attends quelques secondes espérant sa venue, plutôt incertaine du succès de ma technique d'approche.

Je l'entends qui entre dans la pièce. Plongé dans l'obscurité, mon corps est faiblement éclairé par la lumière d'appoint utilisée dans la pièce adjacente. J'entends une boucle de ceinture, un pantalon qui tombe. J'ouvre les yeux, Il est assis face à moi dans le lit, parfaitement nu. Sa main caresse mon coup, mes seins, mon ventre et effleure mon entre jambe alors que mon corps frissonne. Je gémis sous la caresse, mon corps heureux d'avoir l'attention de Monsieur et un peu de douceur. Les caresses se transforment rapidement en pincement, mes mamelons étant la première victime. Ma respiration s'accélère et lorsqu'Il mordille mon mamelon je ne peux m'empêcher de gémir. J'adore me faire mordre, je dois trouver une façon pour qu'Il me mordre plus souvent c'est si bon...hmmm... Sa bouche se déplace vers mon autre sein et pendant une seconde je l'imagine déposer sa bouche contre mon sexe et mon excitation augmente. Sa main se faufile entre mes jambes, pince mes grandes lèvres, effleure mon clitoris et je l'entends dire, la tête toujours entre mes seins :

SR : <<T'es toute mouillée...Bonne fille...>>

Monsieur continu de me pincer un peu partout : les seins, le coup, le ventre, les bras, le sexe et les cuisses alors qu'Il enfonce un doigt dans mon intimité. Sa pénétration combinée aux pincements fait rapidement monter mon excitation. Je ne sais plus combien de doigt sont en moi, mais j'atteins un orgasme au moment même où Il me pince. Monsieur retire ses doigts qu'Il me fait lécher un à un. Je reprends mon souffle et je propose :

<<J'ai des épingles à linge dans ma valise...>> SR: <<Hmmm, ça pourrait être intéressant oui...vas les chercher...>>

Je me lève doucement, prenant bien soin de montrer mes fesses sur lesquelles il envoi une petite claque. Je ris, heureuse de l'attention mais aussi énervée d'essayer quelque chose pour la première fois. De retour dans la chambre je tente d'ouvrir le sac de pince à linge, sans succès. Monsieur me regarde, je me sens stupide de ne pas être capable d'ouvrir le sac !

SR: <<Besoin d'aide ?>> L: << Oui s'il-vous-plait...>>

Il prend le sac, Lui aussi incapable de l'ouvrir au premier essai.

L: <<Pas facile hein ?! >> SR: <<Non en effet...>>

Le sac s'ouvre finalement et je reprends ma position initiale sur le dos. Monsieur titille mon mamelon et pince en main je devine son intention. Je sens la pince qui tente de mordre un morceau de peau, sans succès. Mon corps est légèrement éclairé par la lampe du salon, dont le faible halo parvient jusqu'à la chambre.

SR: <<Eh merde je ne vois rien du tout...>>

Lorsqu'Il accroche la première pince sur mon mamelon, je suis surprise de ne pas avoir mal plus que ça. La douleur est vive mais bref et rapidement mon mamelon s'engourdit. Monsieur dispose plusieurs autres pinces sur mes seins, puis se dirige vers mon entre-jambe qu'Il parsème de pinces également. Rapidement les premières pinces au niveau des mamelons me cause une franche douleur, comme une aiguille. Monsieur continu d'ajouter des pinces mais c'est trop pour moi, Jaune. Je prends quelques secondes pour essayer d'endurer la douleur des pinces sur les mamelons, sans autre douleur supplémentaire. Bon Dieu que ça fait mal !!! J'hésite entre dire rouge et me mettre à pleurer.

L: <<Est-ce que c'est possible d'enlever les pinces de mamelons ?>> SR: << Pourquoi ? >> <<Parce que j'ai vraiment très mal Monsieur... sinon c’est rouge>> que je réponds la voix qui retient un sanglot.

Alors que je pense que Monsieur se prépare à retirer les pinces, il lèche le mamelon, ce qui me fait crier. Putain !!!! Ce n'est pas de la salive, c'est de la lave !!!! La douleur est si intense que je reste scotcher. J'ai le cœur qui bat la chamade, les épingles me font tellement mal !!! Pendant un instant je songe à les enlever moi-même, tabarnafuck ça vas faire avoir mal de même ! Monsieur donne une pichenette sur les pinces au lieu de les enlever en les ouvrant, chaque pichenette me fait crier. J'ai vraiment très envie de lui mettre une claque en ce moment OMFG !! Une fois les épingles toutes retirées de mes mamelons, je respire un peu mieux et je me calme même si j'ai les yeux pleins d'eau.

Les pinces toujours sur mon sexe me causent de l'inconfort, mais un inconfort agréable. Monsieur les bouge légèrement, caresse mon sexe alors que je commence à gémir. Après quelques minutes, je l'entends qui fouille dans le sac à épingle...Oh non... Il pince une première épingle dans mon coup, puis trace un chemin d'épingle jusqu'à mon mamelon. Cette fois-ci il attends moins longtemps avant de les enlever, ce qui me permet d'endurer sans devenir folle. Il en ajoute deux sur mes lèvres et une sur ma langue. Mon coup lui est très sensible et lorsqu'il tente de remettre une épingle pour la troisième fois je ne peux m'empêcher de bouger...

SR: <<Arrête de bouger...>>

Monsieur remet une épingle, je tourne la tête, l'épingle tombe. Tente à nouveau de remettre une épingle, même processus.

SR: << Arrête de bouger !!>> L: << Non, ça me fais fucking mal !! Le coup pis les seins pu la, pu capable !! >> SR: << Ah, fallais que tu me le dise. Parfait. >>

Je réalise que Monsieur n’est pas toujours très attentif à mon non verbal mais je m’abstiens de commenter en ce sens L: << Je ne voulais pas dire rouge parce que celles sur mon sexe c'est bien, mais le torse j'suis à boute>> << Ah oui, celles sur tes lèvres ça te plait ? >> qu'Il me demande en caressant doucement mes seins L: << Hmmm, oui...>> SR: << Bonne fille...>>

Monsieur s'amuse un peu avec les épingles du bas, les retirant lentement, une à une tout en me caressant. Ses caresses sont douces et ayant l'impression d'avoir les seins en feux, c'est plus qu'apprécié.

SR: << Oh oui, t'es toute mouillée...Ça t'a fait mal mais t'arrête pas de mouiller pour autant ! >>

Monsieur me retourne, enfile un condom et me pénètre. Il me baise dans plusieurs positions et je commence à avoir très chaud et à avoir la bouche sèche :

L: << J'ai...j'ai soif...>> SR: << Vas chercher de l'eau...>>

Je m'assoie sur le bord du lit, je me sens un peu faible, un peu à côté de la plaque

SR: << Ça va ?>> L: << Je...oui...je vais juste attendre un peu avant de me lever...>> SR: << Prends ton temps...>> L: << Hee...oui...>>

Je me lève, chambranle. Je me rends à la cuisine, bois un verre d'eau complet, un deuxième, un troisième et j'en apporte un quatrième dans la chambre

SR: << Est-ce que ça va mieux ?!>> L: << Oui, j'me sentais toute beurk mais je viens de m’enfiler 3 verres d'eau et c'est déjà beaucoup mieux !>>

Nous reprenons notre activité en ajoutant quelques orgasmes de plus au compteur. Le dernier orgasme est plutôt intense et nous laisse tous les deux haletant et en sueur. Monsieur se lève et sort de la chambre. Couchée dans son lit, j'analyse comment je me Le soleil se couche alors que moi et Monsieur écoutons un film, confortablement installés chez lui. Je porte une camisole noire ample, une culotte brésilienne grise et je me suis promenés dans cette tenue toute la journée laissant mes fesses bien en vue. Mi-couchée mi-assise sur le divan mes jambes sont repliées sur le côté et mes fesses n'étant pas couverte par ma camisole sont libre d'accès pas très loin des mains de Monsieur.

Je sens une très légère caresse m'effleure les fesses, si légère que je me demande si elle est réelle ou imaginée. Mon attention retourne sur le film alors que la caresse revient, toujours aussi légère mais maintenant je sais qu'elle est réelle. Mon cœur s'accélère légèrement alors que les mains de Monsieur s’assissent maintenant mes fesses à pleine main.

SR: <<T'aime ça montrer ton cul hein ? >>

Trop concentré sur la caresse j'oublie de répondre

<<Je te pose une question !>> qu'il me dit impatient <<Oui Monsieur !!>> que je réponds gênée

Monsieur commence par donner plusieurs petites fessées, pour réchauffer mes fesses. Au fur et à mesure l'intensité augmente et les fessées s'espacent. Moins de fessées mais elles sont plus fortes. Ma fesse droite étant déjà très sensible du aux fessées de la veille, je suis donc contente que ce soit mon autre fesse qui encaisse. J'adore le son de la fessée même si je ne suis pas très vocale. La douleur fait souvent en sorte que je serre les dents au lieu de crier. Après une claque particulièrement intense un cris m'échappe.

SR: << Oh oui...allez, cris plus...>>

La fessée reprend à un niveau acceptable de douleur et bien que mon souffle soit rapide et que je gémisse légèrement, je ne cri plus.

SR: <<Je veux que tu cris pour moi... Je veux entendre tes beaux cris de douleur...>>

Hmmmm, j'aime quand Monsieur me parle. Toutefois c'est difficile de me laisser aller, la douleur c'est tellement nouveau pour moi ! Monsieur augmente la force de ses fessées, sachant que c'est la seule façon de me faire crier comme il souhaite l'entendre. Je sens maintenant comme une brûlure sur ma fesse, c'est le moment désagréable ou la fesse devient très sensible pendant quelques minutes avant d'être capable d'en prendre davantage. Je me contorsionne à chaque claque, mon niveau d'endurance n'étant pas très haut à ce moment. La brûlure est de plus en plus intense

L: <<JAUNE !>> SR: <<Hmmm, presqu'aucun cris mais pour le code de couleur ça y'a pas de risque que je ne t'entende pas... >>

Je le regarde sans comprendre, mais c’est quoi ce commentaire idiot ? Il ne semble pas me taquiner, je n'aime pas ce commentaire, je n'aime pas ce qu'il sous-entend. C'est dans mes droits d'utiliser le code de couleur. En plus, je tente toujours d'endurer plus, je me pousse déjà moi-même pour avoir une meilleure résistance à douleur... Ce commentaire me fait de la peine et m'inquiète.

L: <<T'as pas le droit de rire du fais que je call jaune...>>

Il saisit mon visage entre le pouce et l'index.

SR: <<Tu penses être en mesure de me dire quoi faire ?>>

Je n'aime pas la tournure du jeu. Ce sont mes limites et personne n'a le droit d'en rire ou de voir ça comme étant ''dire quoi faire''. La gifle que je reçois à ce moment me met le feu au cul (comprendre ici : être en tabarnack), ma bouche se crispe et je plante mes yeux dans les siens. Je ne dis rien, mais l'expression sur mon visage doit être sans équivoque alors que je prends de grandes respirations pour me calmer.

SR: <<Onhh, pas contente fille ?>>

L: << Rouge >>

Monsieur se remet à masser doucement mes fesses, je suis soulagée de passer à autre chose. Je déteste caller un rouge, mais comme Monsieur et moi jouons ensemble depuis peu, je suppose que c'est le genre de truc qui arrive.

SR: <<Hmmm, ta fesse est encore toute chaude et tu as de jolies couleurs...>>

Ma fesse est vraiment très sensible, j'endure cette nouvelle fessée au mieux tout en tentant de me laisser aller davantage vocalement. Monsieur semble satisfait de mes efforts vocaux car je l'entends grogner lorsque sa main s'abat sur ma croupe et qu'il me dit :

<<Bonne chienne...Continue de crier...>>

Avec chaque claque vient un cri déchirant, mon fessier me fait mal, mes yeux sont pleins d'eaux et je n'en peux plus.

<< Rouge !>> que je dis cette fois beaucoup moins fort en me plaçant de façon à ne plus donner accès à ma fesse.

Je caresse ma fesse d'une main tremblotante alors qu'une larme coule sur ma joue.

SR: << Oh, une larme sur ta joue ?>> << Oui, mais pas une larme de joie...>> que je réponds en tentant de faire de l'humour, incertaine s’il me taquine ou non SR: <<Ah non, comment ça ?>> <<Parce que là j'ai vraiment mal au cul >> que je réponds la mine basse <<Viens ici...>> qu'Il me demande en me tirant vers Lui.

Il me prend dans ses bras alors que je pose ma tête contre son torse. Monsieur caresse mes cheveux et me serre dans ses bras alors que je laisse aller mes larmes et que je tente de me remettre de ses sensations / émotions. Nous restons quelques minutes ainsi.

SR: <<Commence-tu à être fatiguée ?>> L: << Un peu et toi ?>> SR: <<Un peu mais je n'irai pas me coucher tout de suite, il ne faudrait pas y aller trop tard par contre genre max 21h. Tu pars à quelle heure demain ?>> L: <<D'accord, je pars tôt à 5h30 pour me sauver du trafic, comme d’habitude>>

Nous échangeons quelques minutes sur la journée de demain puis continuons d'écouter la télévision alors que mes yeux se font lourds. Les fessées m'ont bien allumées et j'espère que Monsieur voudra profiter de moi sexuellement avant d'aller dormir. Avant de tomber de sommeil je me lève, je cherche une façon pour Lui laisser savoir que j'ai envie de Lui là tout de suite. Ne sachant pas trop ce qui est permis ou non de faire comme initiative, placée derrière Lui je retire ma camisole que je Lui lance ensuite sur les épaules avant de me diriger lentement vers la chambre. Je me faufile dans le lit et je choisie de m'étendre sur le dessus des couvertures en espérant que ma nudité le titille. J'attends quelques secondes espérant sa venue, plutôt incertaine du succès de ma technique d'approche.

Je l'entends qui entre dans la pièce. Plongé dans l'obscurité, mon corps est faiblement éclairé par la lumière d'appoint utilisée dans la pièce adjacente. J'entends une boucle de ceinture, un pantalon qui tombe. J'ouvre les yeux, Il est assis face à moi dans le lit, parfaitement nu. Sa main caresse mon coup, mes seins, mon ventre et effleure mon entre jambe alors que mon corps frissonne. Je gémis sous la caresse, mon corps heureux d'avoir l'attention de Monsieur et un peu de douceur. Les caresses se transforment rapidement en pincement, mes mamelons étant la première victime. Ma respiration s'accélère et lorsqu'Il mordille mon mamelon je ne peux m'empêcher de gémir. J'adore me faire mordre, je dois trouver une façon pour qu'Il me mordre plus souvent c'est si bon...hmmm... Sa bouche se déplace vers mon autre sein et pendant une seconde je l'imagine déposer sa bouche contre mon sexe et mon excitation augmente. Sa main se faufile entre mes jambes, pince mes grandes lèvres, effleure mon clitoris et je l'entends dire, la tête toujours entre mes seins :

SR : <<T'es toute mouillée...Bonne fille...>>

Monsieur continu de me pincer un peu partout : les seins, le coup, le ventre, les bras, le sexe et les cuisses alors qu'Il enfonce un doigt dans mon intimité. Sa pénétration combinée aux pincements fait rapidement monter mon excitation. Je ne sais plus combien de doigt sont en moi, mais j'atteins un orgasme au moment même où Il me pince. Monsieur retire ses doigts qu'Il me fait lécher un à un. Je reprends mon souffle et je propose :

<<J'ai des épingles à linge dans ma valise...>> SR: <<Hmmm, ça pourrait être intéressant oui...vas les chercher...>>

Je me lève doucement, prenant bien soin de montrer mes fesses sur lesquelles il envoi une petite claque. Je ris, heureuse de l'attention mais aussi énervée d'essayer quelque chose pour la première fois. De retour dans la chambre je tente d'ouvrir le sac de pince à linge, sans succès. Monsieur me regarde, je me sens stupide de ne pas être capable d'ouvrir le sac !

SR: <<Besoin d'aide ?>> L: << Oui s'il-vous-plait...>>

Il prend le sac, Lui aussi incapable de l'ouvrir au premier essai.

L: <<Pas facile hein ?! >> SR: <<Non en effet...>>

Le sac s'ouvre finalement et je reprends ma position initiale sur le dos. Monsieur titille mon mamelon et pince en main je devine son intention. Je sens la pince qui tente de mordre un morceau de peau, sans succès. Mon corps est légèrement éclairé par la lampe du salon, dont le faible halo parvient jusqu'à la chambre.

SR: <<Eh merde je ne vois rien du tout...>>

Lorsqu'Il accroche la première pince sur mon mamelon, je suis surprise de ne pas avoir mal plus que ça. La douleur est vive mais bref et rapidement mon mamelon s'engourdit. Monsieur dispose plusieurs autres pinces sur mes seins, puis se dirige vers mon entre-jambe qu'Il parsème de pinces également. Rapidement les premières pinces au niveau des mamelons me cause une franche douleur, comme une aiguille. Monsieur continu d'ajouter des pinces mais c'est trop pour moi, Jaune. Je prends quelques secondes pour essayer d'endurer la douleur des pinces sur les mamelons, sans autre douleur supplémentaire. Bon Dieu que ça fait mal !!! J'hésite entre dire rouge et me mettre à pleurer.

L: <<Est-ce que c'est possible d'enlever les pinces de mamelons ?>> SR: << Pourquoi ? >> <<Parce que j'ai vraiment très mal Monsieur... sinon c’est rouge>> que je réponds la voix qui retient un sanglot.

Alors que je pense que Monsieur se prépare à retirer les pinces, il lèche le mamelon, ce qui me fait crier. Putain !!!! Ce n'est pas de la salive, c'est de la lave !!!! La douleur est si intense que je reste scotcher. J'ai le cœur qui bat la chamade, les épingles me font tellement mal !!! Pendant un instant je songe à les enlever moi-même, tabarnafuck ça vas faire avoir mal de même ! Monsieur donne une pichenette sur les pinces au lieu de les enlever en les ouvrant, chaque pichenette me fait crier. J'ai vraiment très envie de lui mettre une claque en ce moment OMFG !! Une fois les épingles toutes retirées de mes mamelons, je respire un peu mieux et je me calme même si j'ai les yeux pleins d'eau.

Les pinces toujours sur mon sexe me causent de l'inconfort, mais un inconfort agréable. Monsieur les bouge légèrement, caresse mon sexe alors que je commence à gémir. Après quelques minutes, je l'entends qui fouille dans le sac à épingle...Oh non... Il pince une première épingle dans mon coup, puis trace un chemin d'épingle jusqu'à mon mamelon. Cette fois-ci il attends moins longtemps avant de les enlever, ce qui me permet d'endurer sans devenir folle. Il en ajoute deux sur mes lèvres et une sur ma langue. Mon coup lui est très sensible et lorsqu'il tente de remettre une épingle pour la troisième fois je ne peux m'empêcher de bouger...

SR: <<Arrête de bouger...>>

Monsieur remet une épingle, je tourne la tête, l'épingle tombe. Tente à nouveau de remettre une épingle, même processus.

SR: << Arrête de bouger !!>> L: << Non, ça me fais fucking mal !! Le coup pis les seins pu la, pu capable !! >> SR: << Ah, fallais que tu me le dise. Parfait. >>

Je réalise que Monsieur n’est pas toujours très attentif à mon non verbal mais je m’abstiens de commenter en ce sens L: << Je ne voulais pas dire rouge parce que celles sur mon sexe c'est bien, mais le torse j'suis à boute>> << Ah oui, celles sur tes lèvres ça te plait ? >> qu'Il me demande en caressant doucement mes seins L: << Hmmm, oui...>> SR: << Bonne fille...>>

Monsieur s'amuse un peu avec les épingles du bas, les retirant lentement, une à une tout en me caressant. Ses caresses sont douces et ayant l'impression d'avoir les seins en feux, c'est plus qu'apprécié.

SR: << Oh oui, t'es toute mouillée...Ça t'a fait mal mais t'arrête pas de mouiller pour autant ! >>

Monsieur me retourne, enfile un condom et me pénètre. Il me baise dans plusieurs positions et je commence à avoir très chaud et à avoir la bouche sèche :

L: << J'ai...j'ai soif...>> SR: << Vas chercher de l'eau...>>

Je m'assoie sur le bord du lit, je me sens un peu faible, un peu à côté de la plaque

SR: << Ça va ?>> L: << Je...oui...je vais juste attendre un peu avant de me lever...>> SR: << Prends ton temps...>> L: << Hee...oui...>>

Je me lève, chambranle. Je me rends à la cuisine, bois un verre d'eau complet, un deuxième, un troisième et j'en apporte un quatrième dans la chambre

SR: << Est-ce que ça va mieux ?!>> L: << Oui, j'me sentais toute beurk mais je viens de m’enfiler 3 verres d'eau et c'est déjà beaucoup mieux !>>

Nous reprenons notre activité en ajoutant quelques orgasmes de plus au compteur. Le dernier orgasme est plutôt intense et nous laisse tous les deux haletant et en sueur. Monsieur se lève et sort de la chambre. Couchée dans son lit, j'analyse comment je me Le soleil se couche alors que moi et Monsieur écoutons un film, confortablement installés chez lui. Je porte une camisole noire ample, une culotte brésilienne grise et je me suis promenés dans cette tenue toute la journée laissant mes fesses bien en vue. Mi-couchée mi-assise sur le divan mes jambes sont repliées sur le côté et mes fesses n'étant pas couverte par ma camisole sont libre d'accès pas très loin des mains de Monsieur.

Je sens une très légère caresse m'effleure les fesses, si légère que je me demande si elle est réelle ou imaginée. Mon attention retourne sur le film alors que la caresse revient, toujours aussi légère mais maintenant je sais qu'elle est réelle. Mon cœur s'accélère légèrement alors que les mains de Monsieur s’assissent maintenant mes fesses à pleine main.

SR: <<T'aime ça montrer ton cul hein ? >>

Trop concentré sur la caresse j'oublie de répondre

<<Je te pose une question !>> qu'il me dit impatient <<Oui Monsieur !!>> que je réponds gênée

Monsieur commence par donner plusieurs petites fessées, pour réchauffer mes fesses. Au fur et à mesure l'intensité augmente et les fessées s'espacent. Moins de fessées mais elles sont plus fortes. Ma fesse droite étant déjà très sensible du aux fessées de la veille, je suis donc contente que ce soit mon autre fesse qui encaisse. J'adore le son de la fessée même si je ne suis pas très vocale. La douleur fait souvent en sorte que je serre les dents au lieu de crier. Après une claque particulièrement intense un cris m'échappe.

SR: << Oh oui...allez, cris plus...>>

La fessée reprend à un niveau acceptable de douleur et bien que mon souffle soit rapide et que je gémisse légèrement, je ne cri plus.

SR: <<Je veux que tu cris pour moi... Je veux entendre tes beaux cris de douleur...>>

Hmmmm, j'aime quand Monsieur me parle. Toutefois c'est difficile de me laisser aller, la douleur c'est tellement nouveau pour moi ! Monsieur augmente la force de ses fessées, sachant que c'est la seule façon de me faire crier comme il souhaite l'entendre. Je sens maintenant comme une brûlure sur ma fesse, c'est le moment désagréable ou la fesse devient très sensible pendant quelques minutes avant d'être capable d'en prendre davantage. Je me contorsionne à chaque claque, mon niveau d'endurance n'étant pas très haut à ce moment. La brûlure est de plus en plus intense

L: <<JAUNE !>> SR: <<Hmmm, presqu'aucun cris mais pour le code de couleur ça y'a pas de risque que je ne t'entende pas... >>

Je le regarde sans comprendre, mais c’est quoi ce commentaire idiot ? Il ne semble pas me taquiner, je n'aime pas ce commentaire, je n'aime pas ce qu'il sous-entend. C'est dans mes droits d'utiliser le code de couleur. En plus, je tente toujours d'endurer plus, je me pousse déjà moi-même pour avoir une meilleure résistance à douleur... Ce commentaire me fait de la peine et m'inquiète.

L: <<T'as pas le droit de rire du fais que je call jaune...>>

Il saisit mon visage entre le pouce et l'index.

SR: <<Tu penses être en mesure de me dire quoi faire ?>>

Je n'aime pas la tournure du jeu. Ce sont mes limites et personne n'a le droit d'en rire ou de voir ça comme étant ''dire quoi faire''. La gifle que je reçois à ce moment me met le feu au cul (comprendre ici : être en tabarnack), ma bouche se crispe et je plante mes yeux dans les siens. Je ne dis rien, mais l'expression sur mon visage doit être sans équivoque alors que je prends de grandes respirations pour me calmer.

SR: <<Onhh, pas contente fille ?>>

L: << Rouge >>

Monsieur se remet à masser doucement mes fesses, je suis soulagée de passer à autre chose. Je déteste caller un rouge, mais comme Monsieur et moi jouons ensemble depuis peu, je suppose que c'est le genre de truc qui arrive.

SR: <<Hmmm, ta fesse est encore toute chaude et tu as de jolies couleurs...>>

Ma fesse est vraiment très sensible, j'endure cette nouvelle fessée au mieux tout en tentant de me laisser aller davantage vocalement. Monsieur semble satisfait de mes efforts vocaux car je l'entends grogner lorsque sa main s'abat sur ma croupe et qu'il me dit :

<<Bonne chienne...Continue de crier...>>

Avec chaque claque vient un cri déchirant, mon fessier me fait mal, mes yeux sont pleins d'eaux et je n'en peux plus.

<< Rouge !>> que je dis cette fois beaucoup moins fort en me plaçant de façon à ne plus donner accès à ma fesse.

Je caresse ma fesse d'une main tremblotante alors qu'une larme coule sur ma joue.

SR: << Oh, une larme sur ta joue ?>> << Oui, mais pas une larme de joie...>> que je réponds en tentant de faire de l'humour, incertaine s’il me taquine ou non SR: <<Ah non, comment ça ?>> <<Parce que là j'ai vraiment mal au cul >> que je réponds la mine basse <<Viens ici...>> qu'Il me demande en me tirant vers Lui.

Il me prend dans ses bras alors que je pose ma tête contre son torse. Monsieur caresse mes cheveux et me serre dans ses bras alors que je laisse aller mes larmes et que je tente de me remettre de ses sensations / émotions. Nous restons quelques minutes ainsi.

SR: <<Commence-tu à être fatiguée ?>> L: << Un peu et toi ?>> SR: <<Un peu mais je n'irai pas me coucher tout de suite, il ne faudrait pas y aller trop tard par contre genre max 21h. Tu pars à quelle heure demain ?>> L: <<D'accord, je pars tôt à 5h30 pour me sauver du trafic, comme d’habitude>>

Nous échangeons quelques minutes sur la journée de demain puis continuons d'écouter la télévision alors que mes yeux se font lourds. Les fessées m'ont bien allumées et j'espère que Monsieur voudra profiter de moi sexuellement avant d'aller dormir. Avant de tomber de sommeil je me lève, je cherche une façon pour Lui laisser savoir que j'ai envie de Lui là tout de suite. Ne sachant pas trop ce qui est permis ou non de faire comme initiative, placée derrière Lui je retire ma camisole que je Lui lance ensuite sur les épaules avant de me diriger lentement vers la chambre. Je me faufile dans le lit et je choisie de m'étendre sur le dessus des couvertures en espérant que ma nudité le titille. J'attends quelques secondes espérant sa venue, plutôt incertaine du succès de ma technique d'approche.

Je l'entends qui entre dans la pièce. Plongé dans l'obscurité, mon corps est faiblement éclairé par la lumière d'appoint utilisée dans la pièce adjacente. J'entends une boucle de ceinture, un pantalon qui tombe. J'ouvre les yeux, Il est assis face à moi dans le lit, parfaitement nu. Sa main caresse mon coup, mes seins, mon ventre et effleure mon entre jambe alors que mon corps frissonne. Je gémis sous la caresse, mon corps heureux d'avoir l'attention de Monsieur et un peu de douceur. Les caresses se transforment rapidement en pincement, mes mamelons étant la première victime. Ma respiration s'accélère et lorsqu'Il mordille mon mamelon je ne peux m'empêcher de gémir. J'adore me faire mordre, je dois trouver une façon pour qu'Il me mordre plus souvent c'est si bon...hmmm... Sa bouche se déplace vers mon autre sein et pendant une seconde je l'imagine déposer sa bouche contre mon sexe et mon excitation augmente. Sa main se faufile entre mes jambes, pince mes grandes lèvres, effleure mon clitoris et je l'entends dire, la tête toujours entre mes seins :

SR : <<T'es toute mouillée...Bonne fille...>>

Monsieur continu de me pincer un peu partout : les seins, le coup, le ventre, les bras, le sexe et les cuisses alors qu'Il enfonce un doigt dans mon intimité. Sa pénétration combinée aux pincements fait rapidement monter mon excitation. Je ne sais plus combien de doigt sont en moi, mais j'atteins un orgasme au moment même où Il me pince. Monsieur retire ses doigts qu'Il me fait lécher un à un. Je reprends mon souffle et je propose :

<<J'ai des épingles à linge dans ma valise...>> SR: <<Hmmm, ça pourrait être intéressant oui...vas les chercher...>>

Je me lève doucement, prenant bien soin de montrer mes fesses sur lesquelles il envoi une petite claque. Je ris, heureuse de l'attention mais aussi énervée d'essayer quelque chose pour la première fois. De retour dans la chambre je tente d'ouvrir le sac de pince à linge, sans succès. Monsieur me regarde, je me sens stupide de ne pas être capable d'ouvrir le sac !

SR: <<Besoin d'aide ?>> L: << Oui s'il-vous-plait...>>

Il prend le sac, Lui aussi incapable de l'ouvrir au premier essai.

L: <<Pas facile hein ?! >> SR: <<Non en effet...>>

Le sac s'ouvre finalement et je reprends ma position initiale sur le dos. Monsieur titille mon mamelon et pince en main je devine son intention. Je sens la pince qui tente de mordre un morceau de peau, sans succès. Mon corps est légèrement éclairé par la lampe du salon, dont le faible halo parvient jusqu'à la chambre.

SR: <<Eh merde je ne vois rien du tout...>>

Lorsqu'Il accroche la première pince sur mon mamelon, je suis surprise de ne pas avoir mal plus que ça. La douleur est vive mais bref et rapidement mon mamelon s'engourdit. Monsieur dispose plusieurs autres pinces sur mes seins, puis se dirige vers mon entre-jambe qu'Il parsème de pinces également. Rapidement les premières pinces au niveau des mamelons me cause une franche douleur, comme une aiguille. Monsieur continu d'ajouter des pinces mais c'est trop pour moi, Jaune. Je prends quelques secondes pour essayer d'endurer la douleur des pinces sur les mamelons, sans autre douleur supplémentaire. Bon Dieu que ça fait mal !!! J'hésite entre dire rouge et me mettre à pleurer.

L: <<Est-ce que c'est possible d'enlever les pinces de mamelons ?>> SR: << Pourquoi ? >> <<Parce que j'ai vraiment très mal Monsieur... sinon c’est rouge>> que je réponds la voix qui retient un sanglot.

Alors que je pense que Monsieur se prépare à retirer les pinces, il lèche le mamelon, ce qui me fait crier. Putain !!!! Ce n'est pas de la salive, c'est de la lave !!!! La douleur est si intense que je reste scotcher. J'ai le cœur qui bat la chamade, les épingles me font tellement mal !!! Pendant un instant je songe à les enlever moi-même, tabarnafuck ça vas faire avoir mal de même ! Monsieur donne une pichenette sur les pinces au lieu de les enlever en les ouvrant, chaque pichenette me fait crier. J'ai vraiment très envie de lui mettre une claque en ce moment OMFG !! Une fois les épingles toutes retirées de mes mamelons, je respire un peu mieux et je me calme même si j'ai les yeux pleins d'eau.

Les pinces toujours sur mon sexe me causent de l'inconfort, mais un inconfort agréable. Monsieur les bouge légèrement, caresse mon sexe alors que je commence à gémir. Après quelques minutes, je l'entends qui fouille dans le sac à épingle...Oh non... Il pince une première épingle dans mon coup, puis trace un chemin d'épingle jusqu'à mon mamelon. Cette fois-ci il attends moins longtemps avant de les enlever, ce qui me permet d'endurer sans devenir folle. Il en ajoute deux sur mes lèvres et une sur ma langue. Mon coup lui est très sensible et lorsqu'il tente de remettre une épingle pour la troisième fois je ne peux m'empêcher de bouger...

SR: <<Arrête de bouger...>>

Monsieur remet une épingle, je tourne la tête, l'épingle tombe. Tente à nouveau de remettre une épingle, même processus.

SR: << Arrête de bouger !!>> L: << Non, ça me fais fucking mal !! Le coup pis les seins pu la, pu capable !! >> SR: << Ah, fallais que tu me le dise. Parfait. >>

Je réalise que Monsieur n’est pas toujours très attentif à mon non verbal mais je m’abstiens de commenter en ce sens L: << Je ne voulais pas dire rouge parce que celles sur mon sexe c'est bien, mais le torse j'suis à boute>> << Ah oui, celles sur tes lèvres ça te plait ? >> qu'Il me demande en caressant doucement mes seins L: << Hmmm, oui...>> SR: << Bonne fille...>>

Monsieur s'amuse un peu avec les épingles du bas, les retirant lentement, une à une tout en me caressant. Ses caresses sont douces et ayant l'impression d'avoir les seins en feux, c'est plus qu'apprécié.

SR: << Oh oui, t'es toute mouillée...Ça t'a fait mal mais t'arrête pas de mouiller pour autant ! >>

Monsieur me retourne, enfile un condom et me pénètre. Il me baise dans plusieurs positions et je commence à avoir très chaud et à avoir la bouche sèche :

L: << J'ai...j'ai soif...>> SR: << Vas chercher de l'eau...>>

Je m'assoie sur le bord du lit, je me sens un peu faible, un peu à côté de la plaque

SR: << Ça va ?>> L: << Je...oui...je vais juste attendre un peu avant de me lever...>> SR: << Prends ton temps...>> L: << Hee...oui...>>

Je me lève, chambranle. Je me rends à la cuisine, bois un verre d'eau complet, un deuxième, un troisième et j'en apporte un quatrième dans la chambre

SR: << Est-ce que ça va mieux ?!>> L: << Oui, j'me sentais toute beurk mais je viens de m’enfiler 3 verres d'eau et c'est déjà beaucoup mieux !>>

Nous reprenons notre activité en ajoutant quelques orgasmes de plus au compteur. Le dernier orgasme est plutôt intense et nous laisse tous les deux haletant et en sueur. Monsieur se lève et sort de la chambre. Couchée dans son lit, j'analyse comment je me

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