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Noir et blanc Résumé Texture
Photo du rédacteurLexia White

#15- LE GRAND MÉCHANT LOUP

Dernière mise à jour : 17 avr. 2022




Aujourd'hui Monsieur vous rendez mon heure de midi un peu humide. Nous nous sommes vus hier et déjà nous échafaudons des plans kinky pour notre prochaine rencontre. En marchant dans le bois hier nous avons lancer des idées concernant un loup et un lapin, je ne connais pas grand-chose au primalplay, mais je crois que l'idée de me faire chasser doit s'en rapprocher. Mon entre-jambe est engourdi à l'idée de Vous qui me chassez, grand méchant loup avide de sa proie. Je suis très joueuse et j'imagine déjà le scénario :

La proie Je suis habillée tout en noir : legging, string, chandail ample, veste noire, soutien-gorge, paire de soulier de course et mes cheveux sont tressés dans le dos. Je me suis lavée d'un savon sans odeur et j'ai mis sur mon corps de l'huile d'amande douce avec de l'essence d'eucalyptus citronné et de la citronnelle pour repousser les moustiques. J'ai une petite pastille de couleur lumineuse à la taille pour permettre une certaine visibilité dans le noir.

Le chasseur Il est habillé lui aussi tout en noir : pantalon jogging, t-shirt, casquette. Il porte un sac à dos contenant des lingettes, un drap, une lumière de poche, de la corde, un bâillon, du feu et un couteau. Il possède aussi une pastille de couleur lumineuse à la taille.

L’état d’esprit

Lorsqu'on discute de proie et de chasseur le lapin et le loup sont souvent deux animaux aux antipodes auxquels nous pensons. Cependant pour cette occasion je n'ai pas envie d'un rôle ou je partirai avec un coup en moins parce que je suis une gentille lapine. C'est doux un lapin, c'est gentil un lapin, c'est innocent un lapin. Dans un cadre ou je me fais chasser, je préfère partir à égalité avec mon ennemi. Il est un loup et je suis une louve. Je mords, je griffe, je cours, je me débats, je me cache, je me défends. Si Monsieur désire que ce soit intense, je dois pouvoir avoir un rôle qui me donne toutes les chances de lui offrir un jeu intéressant. Nous savons tous que les lapins ne sont pas en haut de la chaîne alimentaire !

L'environnement

Le boisé est situé dans un parc au centre d'un quartier résidentiel et est traversé par plusieurs petites routes en terre battue. Certains sentiers sont éclairés et d'autre sont complètement plongés dans le noir. Le boisé est assez dense et les petites routes sont peu visibles les unes des autres. Il fait chaud mais pas humide et le vent est frais.

L’histoire Pendant qu'il fait encore jour j'en profite pour faire le tour du boisé question d'essayer d'avoir quelques repaires une fois la nuit tombée. Lorsque le soleil se couche je me dirige vers ma cachette. Le point de départ de cette chasse. 21h je lui envoie un texto : Attrape-moi.

Je suis accroupie entre deux arbres, cachée par des buissons. J'ai pris soin de marcher en laissant les pieds trainer au sol pour éviter les empruntes. Je tente de calmer ma respiration, je l'imagine qui entre dans la forêt. J'entends des pas, mais aussi des rires, deux adultes passent un peu plus loin et disparaissent dans la nuit. Plusieurs minutes s'écoulent dans le silence le plus complet sauf quelques courageux / courageuses qui passent dans le boisé. Au loin, j’aperçois une lumière. La lumière de sa pastille. Puis une lumière plus grande et immobile à hauteur du sol: un feu. C'est Lui, au loin je le vois partir dans une direction opposée à la mienne, j'en profite pour bouger doucement en tentant de rester caché le plus possible pour maintenir une bonne distance entre nous. Je ne sais pas si le craquement des branches est audible d'aussi loin. Je sais que tôt ou tard ma petite puce lumineuse vas me trahir mais pour l'instant j'arrive à diminuer son intensité. J'ai mal calculé mes déplacements et rapidement je me retrouve très peu cachée. Heureusement nous sommes loin du sentier ayant des lumières et la nuit est mon meilleur atout. Je ne vois rien, absolument rien je fonctionne à tâtons les mains et les genoux maintenant tous sales. Tout d'un coup il se retourne et fait pivoter la lumière vers moi. Rapidement je me plaque contre un arbre mais dans mon empressement je marche sur une branche qui craque fortement et je me coince la cheville ce qui me fait lâcher un grognement sonore. Je suis couchée au sol, la tête proche d'un tronc d'arbre, ma cheville qui me fait mal et le cœur qui cours le marathon. Je tente de voir si la lumière se rapproche...Oui il vient par ici !! Rapidement je me remets à quatre pattes et je tente de me faufiler entre les arbres, mais je n'avance pas vite. J'arrive à prendre un peu d'avance et à trouver une cachette un peu mieux. Je me rappelle une vieille ruse pour attirer des gens plus loin : je tâtonne et trouve une roche que je lance dans la direction opposée. Malheureusement celle-ci semble s'accrocher dans les branches et tombe tout prêt de moi. Je reste quelques secondes complètement scotcher, mon plan tombant à leau, oh putain. J'entends seulement mon cœur qui bat si fort et je vois sa lumière fouillé les environs. Comme de fait le bruit a attiré son attention et il se dirige vers moi, la lumière tout proche de ma cachette. Je me remets à quatre pattes et je tente de m'enfuir le plus vite possible. Je me dépêche et je fais beaucoup de bruit, ses pas se rapprochent et mon cœur bas de plus en plus vite. C'est sûr que s'il ne m'a pas vu il doit m'entendre. Je trouve un petit buisson parfait pour me cacher et je m'y installe. En douceur je ramasse une branche d’arbre de bonne taille que je tiens en main tout en restant cachée. Il est proche, très proche. Je l'entends respirer et je sais que mon meilleur atout en ce moment est soit de resté cacher, soit d'attaquer parce que tsé, l'effet de surprise. Je décolle la branche d'arbre du sol d'environ 2 po et lorsqu'il s'enfarge dedans j'en profite pour le pousser et m'enfuir ''à la course'' (de nuit dans le bois pas de lumière tu marches vite, tu ne cours pas à moins d’avoir envie de te saboter l’autre cheville). Je l'entends sacrer : <<<Ma p'tite criss !!>>

Je ris et je tente d'avancer dans la noirceur, me cognant les orteils et recevant un nombre incalculable de branches d’arbres directement sur la gueule. Dans mon empressement, je tombe au sol et me cogne le genou solide sur une roche. La douleur lancinante me clou au sol et je saisi mon genou entre mes mains, les yeux pleins d’eau, après quelques secondes je dis fortement : ''JAUNE'' M: <<T'es correct ???>> L: <<Oui mais je suis tombée pis je me suis cognée le genou sur une roche...>> Je laisse quelques secondes passer L: <<Okay, vert !!>> Il se rapproche de moi très vite et quand je tente de me relever il m'attrape en tirant sur le dos de ma veste. Il m'empêche de tomber vers l'arrière mais j'en profite pour faire volte-face alors qu'il tente de m'agripper par les cheveux. Le pod lumineux est toujours allumée à sa taille, je vois donc légèrement son visage. Mes vêtements et mes mains sont sales et mes cheveux en bataille. On se regarde alors que je recule doucement et qu'il avance tout aussi doucement. Je me retourne dans l'esprit de me mettre à ''courir'' mais étant encore hors-piste ça ne prend que quelques secondes pour m'enfarger dans une racine et perdre l'équilibre à nouveau. Écœurée de m'enfarger dans tout ce qui bouge et avant de me blesser sérieusement je dois penser à quelque chose... J'entends ses pas et lorsqu'il arrive en arrière de moi je n'ai même pas le temps de me retourner qu'il referme ses bras autour de moi comme une camisole de force. Je tente de me débattre, je saute, je pousse avec mes jambes, je tente de tourner avec mon haut du corps, je donne un coup de tête qu'il reçoit directement sur le menton

M: <<Ma tabarnack...>> Je continue de me débattre en grognant, ses bras ont glissés vers le haut et son avant-bras est presque à hauteur de ma gorge. Avant qu'il ne m'étouffe je plante mes dents dans son bras. M: <<Sacrament !!!>> Sa poigne se relâche et j'en profite pour me pousser vers l'avant mais il attrape ma tresse à la dernière minute et je lâche un cri alors qu’une douleur aigue se fait ressentir au niveau du cuir chevelu et que mon élan brisé me fait tomber sur les fesses. Au sol il maintient toujours ma tresse et je tente de lui envoyer des coups dans les jambes alors que ma veste s'est ouverte. Il plaque ma tête au sol me donnant l’occasion de goûter copieusement la terre et les feuilles. Il s’accroupit par-dessus moi à hauteur des fesses en tirant toujours ma tresse vers l'arrière et me dit le ton rageur :

<<J'pense que tu vas être plus tranquille de même... Ahh, tu ne dis rien cette fois ?>> L: <<Vas-chier !>> Lorsque je tente de bouger il appui son genou dans mon dos en maintenant la pressions sur ma couette, ce qui me fait l’effet d’un point au milieu des verterbes. Les jambes encore libres j'en profite pour lui donner un coup de pied dans le dos, qui ne s'avère pas très fort mais bon 5 points pour l'effort.

M: <<Ah parce que tu pense que tu peux me kicker pis m'envoyer chier ?>> <<C'est pas ça que je viens juste de faire ??!!!>> que je lui réponds en continuant de me débattre, le visage en sueur. M: <<Vrai...>> Toujours plaquée au sol son genou dans mon dos, il déchire ma veste et m'enfonce un gros morceau dans la bouche. M: <<T'as quelque chose à dire maintenant ?>> <<Gjsfoospfs, sodfoaqhap fpgfousda !!!>> que je marmonne en tentant de me retourner sans succès.

Je saisie des feuilles que je tente de lui envoyer au visage, encore 5 points pour l'effort !! Il appui ma tête contre le sol encore plus fermement et me dit : <<Écoute bien, on va aller jusqu'au feu pis tu vas te tenir tranquille ma p'tite criss...>> L: <<Pierao, aosad fogsidf soodfs !!>> M: <<Pis d'ici la ferme dont ta yeule ! Hein ?!>>

Je recommence à me débattre du mieux que je peux, mon chandail remonte dans mon dos et mes leggings me sont maintenant enfoncés dans la craque de fesse. Il passe la flashlight sur mon corps à moitié dévêtu M: <<Une belle petite salope, je sais pas c'que j'vais faire de toi rendu au feu...>> Il me tire par la racine des cheveux pour me redresser

M: <<À 4 pattes p'tite chienne !>> Il utilise ma tresse comme laisse alors que je marche à 4 pattes jusqu'au feu. Rendu au 3/4 du chemin je m'arrête. M: <<Tu fais quoi ? Je ne t’ai pas dis d’arrêter !!!>> Je le regarde et ne dis rien, immobile. Il tire de plus en plus fort sur ma tresse alors que je reste immobile. Mon legging m'irrite toujours le cul et en gigotant je tente d'être moins serrée. M: <<Awwww, t'es pas confortable ton legging enfoncé dans ton cul comme ça ? Ça doit être désagréable la couture de ton legging qui frotte sur ton piercing hein ?>> Je ne dis rien lorsqu'il passe derrière moi, mais je lâche un cri lorsqu'il tire brusquement sur mes leggings pour les enfoncer encore plus entre mes fesses au point où je les entends même craquer. <<Si tu ne te tiens pas tranquille je te jure que je t’amène là en te soulevant par la tresse et le fond de culotte !!!>> L: <<Edaidae apsdo fsf paodoasid sefosofos !!!>> Nous reprenons notre lente progression jusqu'au feu, chaque 2 minutes il enfonce mon legging davantage et je deviens rapidement très irritée. Une fois arrivé au feu alors qu'il me redresse je lui donne un coup de pied assez solide pour lui faire lâcher ma tresse. Fâcher je l'entends qui grogne en se frottant le tibia alors que nous sommes maintenant de chaque côté du feu. J'enlève mon bâillon que je lance dedans puis décoince mon foutu legging. <<Ça ben l’air que je vais pouvoir t'insulter encore un peu !! >> que je dis souriante M: <<Je vais te l’enlever ton esti de sourire de baveuse !!!>> Il fait mine de partir d'un côté, puis part de l'autre. Nous tournons autour du feu quelques secondes. Je tente de voir qu'elles sont les possibilités pour m'enfuir mais la nuit est noire et je ne peux aller nulle part sans lumière. J'essaie de voir le chemin avec lumière le plus proche est où et je m'élance, après seulement quelque pas mon genou me fait un mal atroce et je m'arrête, ça ne prend qu’un moment pour qu'Il me plaque au sol. Nous tombons tous les deux sur le chemin mouillé et poussiéreux dans un grognement de mécontentement. Alors qu'il est plaqué sur moi il saisit mes mains qu'il amène au-dessus de ma tête alors que je tente de bouger pour me défaire du poids de son corps. Je tente de pousser son bassin avec mes jambes, j'y parvient pendant quelques secondes <<Hmmm, t'es quand même forte des jambes ma p'tite criss...>> <<Hmmm, si tu savais tout ce que j'ai envie de faire avec en ce moment>> que je lui lance avec un regarde coquin...

L: << ...comme par exemple te foutre un peu coup dans les gosses !!!>> Je me remets à me débattre en riant, alors qu'il appui ses jambes contre les miens et maintient mes mains au-dessus de ma tête M: <<T'es un vers-de-terre arrête de te débattre ça rien à rien...>> Ce à quoi je réponds en lui léchant la moitié du visage <<Miawwww>> Surpris il me regarde : <<What the fuck ?!>> Je le regarde souriante <<Qu'est-ce que tu vas faire de moi maintenant ?!>> qu’il me demande alors que je tente toujours de me débattre J'en profite pour frotter mon entre jambe contre la sienne <<Est-ce que ça t'exciterait par hasard de me voir en sueur, plein de terre ?>> que je lui demande d'une voix mielleuse ma bouche à quelques cm de la sienne <<Tu penses que les petites chiennes qui se débattent ça m'excite ?>> L: << Hmmmm, je sais pas pour celles qui se débattent mais pour les chiennes j’ai plusieurs semaines de sexe et de jeux plutôt intense pour te prouver que oui...>> Il m’envoie quelques gifles au visage qui me font rires et m'attache les mains avec les cordes de son sac à dos. Il me fait lever debout et me ramène au feu pour m'attacher debout à un arbre les jambes à la largeur du corps et s'occuper du feu quelques minutes. Lorsque le feu à repris vigueur il revient vers moi un bâton à la main... << Feck tu pense que les petites chiennes dans ton genre m'intéressent...>> qu'il me demande en frottant le bout de son baton contre mon ventre, puis sur mes cuisses et entre mes cuisses L: <<Hmmm, je pense que oui !>> <<Moi je pense plutôt que c'est toi qui es toute excitée à l'idée d'être MA chienne...>> qu'il me répond en frottant rudement le bâton entre mes cuisses

Il s'approche, tire sur mon chandail, tire plus fort encore jusqu'à temps qu'il déchire puis passes ses mains sur mes seins seulement couvert d'un petit soutient gorge. Il crache sur ma poitrine et saisi ensuite une poignée de terre pour m'en mettre partout sur la poitrine. Le mélange salive et terre reste coller sur mon corps puis il passe sa main sale sur mon visage et me saisit par le coup.

<<Hmmm, est-ce que tu vas me faire mal ?>> que je lui demande M: <<Peut-être...je sais pas encore...J'pense que c'est toi qui es bien excité quand tu te fais brasser...>> Il colle son corps au miens et continuer de me caresser au travers la saleté. Ses mains descendent vers mes cuisses qu'il caresse quelques secondes, puis il effleure mon entre jambe alors que je frisonne. M: <<Tu as froid ?>> L: <<Oui un peu …>> M: <<Je vais te réchauffer un peu ... je vais te détacher, pour te rattacher mais vers l'arbre. Je te jure que si tu tentes quoi que ce soit, tu vas tellement avoir mal au cul que tu pourras plus t'asseoir pendant plusieurs jours !>>

Il défait mes liens, puis me retourne brusquement vers l'arbre, tire sur mon bassin, pousse dans mon dos. Je suis à 90 degrés, mon épaule est maintenant contre le tronc d'arbre et j'ai les fesses bombées vers l'extérieur. Mes mains font le tour de l'arbre et sont attachées à l'autre bout. Il reprend les caresses avec le bout de bois sous mes vêtements, le bout du bâton irrite ma peau qui rosie sous le frottement. Le bâton est dans mon dos, puis sur mes fesses, puis ne me touche plus. Je me raidie alors qu'Il frappe mes fesses avec le bâton, doucement, puis plus durement. Je tente de rester tranquille, ne sachant pas si des piétons peuvent m'entendre. Il saisit une poignée de cheveux et me commente : <<T'es tranquille pour une petite chienne en chaleur...>> L: <<Je ne voudrais pas te donner trop grande satisfaction en étant TROP chienne...>> M: <<Tu veux jouer à ça p'tite criss...>>

Il m'assène un coup de bois sur les fesses, déchire ma blouse et dans le même élan m'empoigne par le coup et crache sur le côté de mon visage tout en se frottant contre mes fesses.

<<Une bonne petite salope ça se fais utiliser sans se plaindre !!>> qu'il me dit en passant devant moi et en approchant son visage du mien

<<Je pense que t'as pas la bonne salope si t'en veux une du genre tapis plat pour se faire piller dessus>> que je lui répond juste avant de lui donner un coup de tête

Dans les films les coups de tête c'est super badass mais en réalité ça fait un mal de chien et je reste quelques secondes étourdie pendant qu'Il sacre allégrement. On se regarde quelques instants en riant de cette initiative saugrenue.

<<Tu viens vraiment de me donner un coup de tête ma criss ??!!!!>> qu’il commente en passant derrière moi

Il déchire mes leggings puis saisit ma gorge jusqu'à temps que je tape 2x sur son bras. Lorsque le débit d'air est revenu à la normal j'en profite pour lui piller bien fortement sur le pied. Les sacres recommencent et lorsque je le regarde je vois dans son regard qu'il est vraiment fâché, très fâché. Il repousse fortement ma tête contre l'arbre et détache mes mains, j'en profite pour essayer de me sauver mais mes vêtements sont en lambeaux et je n'ai aucune lumière pour m'éclairer

<<Tu penses aller où d'même ?>> qu'il me demande alors que je me dirige vers le côté opposé <<Caliss...>> dis-je en regardant de chaque côté, essayant de trouver une alternative

Pendant quelques secondes, nous sommes chacun de notre côté à nous jauger, tentant d’anticiper les prochaines actions de l’autre Je pars à courir d'un côté, lui de l'autre, nous tournons ainsi autour du feu quelques minutes. Je suis complètement en sueur alors qu'il commente :

<<Pas trop en forme la p'tite chienne...>> <<Ahahaha, wouff wouff !>> que je lui réponds baveuse

Je tente un sprint pour saisir son sac, mais il était plus proche que moi et j'ai surestimer ma vitesse : nous arrivons en même temps et il me tord le bras en me fesant tomber au sol avec une jambette. J'ai le visage plein de terre, je sens des morceaux de bois qui me rentre dans le ventre et les jambes et au cheveux que j’ai dans le visage ma tresse ne doit plus vraiment en être une. Je me débats quelques instants en grognant alors qu'il plaque mes bras dans mon dos.

M: <<Je vais t'attacher comme un jambon et tu vas regretter d'avoir voulu te sauver p'tite criss de baveuse !!>>

Il me ligote à la Rambo, les bras dans le dos, face contre terre, des épaules jusqu'au mollet. Il s'occupe quelques minutes du feu et je le vois regarder le bâton utilisé pour bouger les braises... Moment de panique dans ma tête, non il ne va pas...Mais non, mais non... Lorsque je le vois s'approcher de derrière pour arracher ce qu'il reste de mon legging je panique intérieurement. M: <<Les petites pétasses détestable ça mérite de souffrir un peu...>>

Il plaque le bout du morceau de bois qui était dans la braise une fraction de seconde sur mes fesses, je lâche un cri

L: <<Jaune !!!>> M: <<Je t'ai dit que t'allais avoir mal au cul...>>

Il appui le bâton de plus en plus longtemps sur ma peau pendant plusieurs secondes jusqu'à temps...

L: <<ROUGE !!!!>> M: <<Ouin je te trouve pas très résistante pour quelqu'un qui a une aussi grande gueule ! Comment tu dis déjà ? Ah oui, les babines ne suivent pas les bottines ma p’tite lapine ? >>

Il fouille dans son sac et sort deux chandelles de paraffines qu'il allume grâce au feu. Il m’envoie quelques claques sur les fesses et soudainement je l'entends qui détache son pantalon... je pense qu'enfin il va m’enfoncer sa queue mais au lieu je sens un liquide chaud qui coule sur mes fesses...il est carrément en train de me pisser dessus !!!! Je l'entends qui soupire alors que je contracte la mâchoire, insultée. Il attache son pantalon et s’accroupit devant moi, les yeux plantés dans les miens.

<<Tu parles pas mal moins la hein...>>

Je soutiens son regard, silencieuse, la bouche qui ne doit que former qu'une très mince ligne.

<<Oh le bel éventail est fâché...>> qu'il me dit en avançant la main pour toucher mon visage Dès qu'il est proche de ma bouche je tente de le mordre, il retire sa main et me gifle au visage. Je me mets à rire, fort, beaucoup alors que je me tortille dans mes cordes. Inconfortable je réussie tout de même à me tourner sur le dos. Je le regarde :

<<Pauvre chou, c'est tout ce que tu as en réserve pour moi ?>>

Il me saisit alors par les cheveux et me traine sur quelques mètres, puis détache mes mains pour les mettre au-dessus de ma tête et les rattache sur une souche d'arbre un peu plus loin. Il saisit la chandelle et en fait glisser quelques gouttes sur mes bras, je lâche un cri de surprise. C'est chaud, mais pas brûlant. Il parsème mes bras, mon ventre, mes cuisses et lorsqu'il se rapproche de mes partes génitales la douleur est si intense que je dois dire rouge. <<Pas sur les parties génitales...ça vas faire trop mal...>> que j’explique tout de même

Il prend alors une photo de son travail : moi ligotée de la tête au pied, plein de sueur et de terre, mélanger avec la cire colorée.

M: <<Je vais te faire lever puis tu vas aller te bench sur le tronc d'arbre là-bas, ça serait dommage de gaspiller ce qu'il reste de cire et je suis certaine que ton cul est en manque d'attention.>> Il me détache et me conduis les mains dans le dos jusqu'au tronc d'arbre sur lequel il me pousse. Il attache mes mains après des branches solide et je sens son entre jambe contre mes fesses. J'ondule doucement des fesses alors que je le sens devenir dure. Il passe alors devant moi et détache son pantalon, je le regarde M: <<Ouvre ta bouche>> M: <<Lexia...Ouvre ta bouche...>> M: << J'ai dit ouvre-ta-bouche !!!>> M: <<Lexia...>>

Il enfonce alors ses doigts dans ma mâchoire, je garde ma bouche fermée malgré la douleur. Je continu de le fixé même les yeux pleins d'eau.

M: <<Ma caliss...>>

Il remonte son pantalon et fait couler une longue traînée de cire sur ma fesse, je lâche un cri.

M: <<Ah maintenant tu l'ouvre ta bouche !!!>>

Il se dirige en avant de moi et ouvre son pantalon à nouveau, cette fois ci je prends son sexe dans ma bouche et le semi-croquant devient une érection bien dure

<<Mouille le bien, ça va aller dans ta chatte ensuite...>> qu’il me dit en enlevant un peu des cheveux devant mon visage

Motivée je continu de le sucer avec entrain. Lorsqu'il sort de ma bouche un long filet de salive suit son membre entièrement ruisselant

M: <<Hmm, bonne chienne...>>

Il détache mes mains puis saisie mes cheveux alors que je me retourne brusquement, son membre bien dure entre nous deux. Il me saisit les fesses pour m'assoir contre le tronc d'arbre et frotte le bout de son gland contre mon clitoris. Je halète doucement alors qu'il arrête, je profite de sa proximité pour planter mes dents dans son épaule ce qui a pour effet de la faire crier alors qu'il me repousse me faisant tomber du tronc d'arbre. Sans avoir le temps de bouger il me pénètre en plaquant mon visage au sol avec sa main. Rapidement mes gémissements augmentent et les siens aussi, nous sommes en sueur, sale et extatique.

Le grand méchant loup a gagné.

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